Le régime putschiste du faux général Mohamed Ould Abdel Aziz a procédé aux arrestations arbitraires des étudiants sans aucune raison valable aux yeux de la loi suprême du pays qui est la constitution ; en se basant sur des accusations grossières et mensongères de la police politique avec la bénédiction de la hiérarchie des faux généraux qui pillent le pays depuis les années 1970. La situation du pays s’est considérablement dégradée depuis que faux général Ould Abdel Aziz s’est imposé par un putsch le 06 Aout 2008 contre le régime civile de Sdid Ould Cheikh Abdeallahi. Nous condamnons fermement cette chasse ouverte contre l’élite intellectuelle du pays et exigeons la libération immédiate sans condition des étudiants détenus arbitrairement. Nous assistons bel et bien au dérapage d’un régime totalitaire qui cultive la loi du plus fort. Selon les informations qui nous parviennent, le régime totalitaire actuel accuse les étudiants d’avoir brulés des « bus » et dégradés les locaux de l’université alors qu’il n’en est rien. Les étudiants réclament le paiement de leurs bourses et l’amélioration de leur condition de vie, en plus l’équipement des universités de matériels adéquats qui les permettront de travailler correctement durant leur cursus universitaire. Nous rappelons au digne peuple Mauritanien sous l’oppression que le fils du faux général Aziz, le nommé Badr Ould Mohamed Abdel Aziz a tiré sans sommation sous l’emprise des produits psychotropes à bout pourtant sur la jeune Raja Mint Weiss Ould Esyadi , alors pourquoi ce délinquant au col blanc n’a pas été envoyé en prison par cette justice qui est inféodée avec le régime de son père ? L’adage nous dit tel père, tel fils, nous appelons le peuple Mauritanien à la résistance dans l’endurance face aux injustices et la dictature que veut nous imposer Mohamed Ould Abdel Aziz avec sa milice du BASEP. Vive la résistance, vive le peuple Mauritanien, A bas la dictature Militaire, le peuple sortira vainqueur quoi qu’il arrive Inchallah.
Je vous remercie
Diko hanoune
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire