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mercredi 29 janvier 2020

L’interview de Baliou Mamayary Coulibaly : « Dans la société Soninké les pratiques de l’esclavage se manifestent dans toutes les étapes de la vie ; de la naissance à la tombe… »

Interview très fructueuse avec M. Baliou Mamayary Coulibaly, professeur d’anglais, journaliste, homme de culture et fervent militant des droits humains. Il  a ouvert ses portes pour répondre à nos questions d’actualité sociale dans le milieu Soninké. Bonne lecture.

1-Bonjour Baliou Mamayary Coulibaly, merci d’avoir accepté à répondre aux questions du site guidumakha.com, pouvez vous nous présenter votre parcours aux lecteurs ?

Merci Monsieur Dicko pour m’avoir donné l’occasion de m’adresser à vos lecteurs. Je m’appelle Ba Aliou Coulibaly connu sous le nom de Baliou Mamayary, je suis originaire de Kaédi, Gattaga. J’ai fait mes études à Kaédi,  après mon bac en 1985 j’ai poursuivi les études à l’université de Nouakchott, ensuite j’ai intégré  l’Ecole Normale  Supérieure ou je suis sorti comme professeur d’Anglais. J’ai enseigné pendant 12 ans avant d’intégrer Oxfam GB comme chargé de l’interprétation et de la Communication. Aujourd’hui je travaille dans le domaine de la gouvernance des industries extractives. Parallèlement à ces activités je milite activement pour le respect des droits humains de manière générale et je  lutte  contre les pratiques  esclavagistes en milieu Soninké de manière particulière.

2-Vous êtes le porte parole d’un Collectif de Lutte Contre l’esclavage en milieu Soninké, votre collectif est composé de combien d’associations et citez nous leurs noms ?

Effectivement je suis le porte parole du Collectif des associations de lutte contre l’esclavage en milieu Soninké qui regroupe l’ensemble des  mouvements et associations de lutte contre l’esclavage en milieu Soninké notamment  Ganbaanaxu ; A ce titre nous avons publié plusieurs déclarations dénonçant les violations de droits humains liés à l’esclavage et organisé un important sit-in  devant la Présidence  pour attirer l’attention des pouvoirs publics et de l’opinion nationale et internationale sur l’esclavage en milieu Soninké . Cette manifestation   a été couverte par la presse nationale et internationale notamment RFI

3-Comment décrire les pratiques de l’esclavage dans le milieu Soninké aujourd’hui?

Jusque dans un passé très récent beaucoup de nos détracteurs niaient   l’existence de l’esclavage chez les Soninké. En réalité ce que ces négationnistes souhaitaient c’est de voir  des personnes enchainées et marquées au fer rouge pour reconnaitre que l’esclavage existe.  L’esclavage est un ensemble de pratiques qui se manifestent de différentes manière chacune aussi abjecte que l’autre. Certes la violence physique est plus  brutale et visible mais  les manifestations liées à l’ordre social  sont encore plus dévastateurs et avilissants. Dans la société Soninké les pratiques de l’esclavage se manifestent  dans toutes les étapes de la vie ; de la naissance à la tombe en passant par les cérémonies  sociales et religieuses,  l’accès aux ressources et à la propriété.

4-Est-il vrai que les descendants d’esclaves Soninké ne peuvent être des imams, si oui, pourquoi le ministère des cultes islamiques ferme les yeux sur cette discrimination grave liée au crime de l’esclavage, votre collectif s’est-il engagé à interpeller le ministère concerné ? 

Dans un village Soninké un descendant d’esclave quelque soit son érudition, ne peut jamais diriger une prière collective dans un lieu public.  Cela est une  règle tacite acceptée et admise de tous.  Sur ce plan des associations de lutte contre cette pratique se sont levées pour s’opposer à cela. Elles ont d’abord commencé par fonder leurs propres mosquées dans leurs villages et designer des personnes issues de leur rang pour  désormais diriger les prières. Nous savons que jusqu’à-là  l’administration n’a pas facilité  ces initiatives pour plusieurs raisons, mais  face à l’immobilisme des féodaux, nous encourageons fortement les groupes  abolitionnistes à disposer de  mosquées dans lesquelles seule la loi d’Allah  SWT prévaut.

5-Apparemment, les descendants d’esclaves Soninké sont discriminés sur beaucoup de postes, ils ne peuvent être  chefs de villages, ils ne sont  pas représentés dans les partis politiques de l’opposition comme le pouvoir lors des élections, ils ne sont pas nommés dans le gouvernement malgré leur compétence, comment expliquez vous cette situation ?

Effectivement, les descendants d’esclaves sont non seulement victimes de discrimination dans leurs villages  mais sont aussi  inexistants dans les sphères de l’administration. Cela est dû au fait que les différents pouvoirs qui se sont succédés ne sont rien d’autre que le prolongement de l’ordre féodal. Le comble, c’est de voir certains qui se  déclarent   militants de droits humains défendre avec véhémence  l’ordre féodal et justifier que les citoyens ne doivent pas être égaux dans leurs propres villages car ils sont esclaves

6-Vous avez suspendu vos activités en tant que membre de la commission technique chargée de travailler sur l’harmonisation de l’écriture (Orthographe, et grammaire) Soninké au sein du FISO (festival international Soninké), expliquez nous les raisons ?

Effectivement suite au silence complice de toutes les organisations Soninké qui regroupent l’ensemble des intellectuels face aux actes de barbaries perpétrés contre des femmes , des enfants et même des vieillards   tout simplement parce que ces derniers ont voulu rejeté l’ordre féodal, et compte tenu de la gravité de ces actes qui sont assimilables à un crime contre l’humanité, j’ai décidé de suspendre ma participation dans toutes les organisations sociales et culturelles Soninké.   

7-Ces dernières années, nous avons suivi avec stupeur des scènes  violentes sur les militants abolitionnistes Soninké (Ganbanaaxu Feddé) : en Mauritanie, au Mali, Sénégal et en Gambie, pourquoi selon vous cette violence gratuite envers des populations qui réclament leur droit à l’égalité entre des citoyens pacifiquement  au 21ème siècle ? Les états ont-ils failli à leur mission ?

Cela est scandaleux et totalement inacceptable. Le Gouvernement Malien et l’ensemble des intellectuels Soninké se sont royalement tus face à un  génocide perpétré contre une communauté qui a comme seul tort d’avoir revendiqué son droit inaliénable à la dignité humaine ; Dans ce cadre , en intelligence avec le mouvement Ganbanaxu  à travers son illustre président  Traoré Gaye , nous avons contacté Maitre Assane Diouma Ndiaye pour introduire une plainte contre le gouvernement Malien auprès de la cour Africaine d’Abuja. Nous tenons le gouvernement responsable de tout ce qui arrive à ces paisibles citoyens.

8-Comment jugez-vous l’attitude de la justice Mauritanienne qui met en liberté provisoire des individus incriminés sur des faits de l’esclavage et ses séquelles et qui prennent la fuite avant leur jugement ?

Effectivement ces derniers temps les pouvoirs publics ont fait des efforts notables  qui ont conduit à l’arrestation et l’incarcération des trois personnes  pour  propos haineux et apologie de l’esclavage. Nous nous   félicitons de ces progrès mais nous continuons à  exhorter les autorités compétentes à plus de vigilance et de rigueur dans l’application stricte de la loi.  La loi Mauritanienne considère l’esclavage comme un crime par conséquent, les sanctions doivent être à la hauteur des actes sinon, les forces du mal vont continuellement récidiver.

9-La politique et la défense des droits humains font-il bon ménage ?

Personnellement je considère cette dualité  comme étant  un faux débat.  Les actes et les paroles d’un homme sincère doivent  être en harmonie dans tous ses agissements,  tout au long de son parcours. Les principes d’équité, de tolérance et de dialogue doivent être valables aussi bien en politique que dans les droits humains. Au lieu d’une antinomie, je vois entre ces deux concepts une parfaite complémentarité. Ils peuvent  être contradictoires seulement pour ceux qui considèrent la politique comme le théâtre de la perfidie et intolérance

Merci d’avoir répondu à nos questions, bonne continuation.  

lundi 13 janvier 2020

En réponse à un certain nationaliste habité d’illusions/Maham Youssouf


En réponse à un certain nationaliste habité d’illusions qui, commentant l’audacieuse et édifiante publication de mon grand frère R’chid Mohamed, intitulée : Au-delà de l'événement ; dans la quelle il se posait la question suivante : Pourquoi, lorsque le député et homme politique hratine, Biram Dah Abeid, saisit cette occasion pour attirer l’attention de l’opinion nationale sur les déséquilibres des politiques, menées jusqu’ici par nos gouvernements successifs, et qui ont laissé en marge plusieurs de nos concitoyens, devrait-il passer pour un populiste incendiaire, qui veut déstabiliser le pays, en complicité avec l’ancien président ? .

Ce qui exaspéra un aigris nationaliste qui posta un commendataire d’une grande légèreté où il écrivit ceci : Biram n'est pas un homme politique au sens responsable du terme, c'est plutôt un baroudeur de la 5ème colonne en quête d'incendie.

Ma réaction fut celle là :
Notre chère Mauritanie risquerait fort une déflagration du fait justement de certains aigris ( à la trame de Cheikh Bnéijara et les troubadours du même acabit), animés plus par la haine contre toute personne qui porte la contradiction à ceux qui détiennent tous les pouvoirs ( l’avoir et le savoir) et qui depuis toujours ont pratiqué des politiques d’accaparement des biens sans rien laisser aux autres, oui rien si ce n’est que des habitations de fortune comme loge et les fonts de marmite ( likrata en hassaniya ou khogne en wolof ) comme nourriture.

Comment pourrions-nous comprendre que dans les zones habités par les privilégiés de naissance qui sans effort fourni se retrouvent avec des terrains de 700 m2 alors que dans la périphérie excédée, les plus chanceux se retrouvent avec des lopins de 120 m2 ? Et la majorité dans des taudis que la moindre étincelle transformera en flamme. Les haratines sont effectivement les marginalisés et les oubliés de cette espace dénommé La Mauritanie. Vas dans les Quartiers périphériques(les Adwaba urbains), vas également dans les adwaba de l’Aftout et d’Avele tu sauras comment vivent ces damnés et ces oubliés.

Dire que Biram est une création de la décennie d’Aziz, quel mensonge ?, n’oublies pas que l’homme a connus 4 procès, ses militants des dizaines d’emprisonnements et des centaines de blessés y compris des femmes, et bien dites ce que vous voulez mais le rouleau compresseur anéantira le système féodal faux tant décrié. Je comprends bien pourquoi, les vrais baroudeurs comme cheikh beneijara ont la peur au ventre, là je leurs dis ceci que l’éveil des hratin étend de plus en plus son empire et qu’il restera dans les gorges de leurs oppresseurs jusqu'à la fin de leurs jours.

Cette femme qui a perdu tous ses enfants du fait justement de son état de précarité conséquence de sa marginalisation est déplorable et tout celui qui reste froid devant se drame est un monstre.

Maham Youssouf

Mauritanie : l’Etat infiltré Note d’alerte



مبادرة إنبعـــاث الحــــركة الانعتـــــــاقية
INITIATIVE DE RESURGENCE DU MOUVEMENT ABOLITIONNISTE EN MAURITANIE
IRA – Mauritanie

Mauritanie : l’Etat infiltré Note d’alerte

Contexte

Le 10 janvier 2020, à l’aéroport de Nouakchott, la police cautionne puis avalise l’entrée, dans le territoire, d’une délégation de la section France de l’Ong interdite Initiative de résurgence abolitionniste en Mauritanie (Ira-M). Quatre personnes la composent. Jean-Marc Pelenc dirige la mission d’information. Au moment où ce dernier s’apprête à rejoindre la ville avec le comité d’accueil local, les hommes en uniforme l’interpellent sur le terrain de stationnement des véhicules et lui signifient son expulsion, par le premier avion, à destination de Marseille. D’après les autorités en charge de la conformité du séjour des étrangers, il figurerait sur une liste de « persona non grata ». Le document demeure confidentiel. Jean Marc Pelenc rentre chez lui ; sa brève visite provoque, en Mauritanie, l’embarras du gouvernement, incapable, pour l’instant, de solder les pratiques liberticides et l’influence du Président sortant Mohamed Ould Abdel Aziz, sur les services de sécurité. Il y a lieu de reconnaitre, au leader de la Commission nationale des droits de l’Homme (Cndh), maître Ahmed Salem Ould Bouhouboiny, la diligence de dénoncer l’abus, aux prémices de sa mise en œuvre.

La persécution des militants de l’égalité et des droits de l’individu se poursuit manifestement, en dépit de l’élection d’un nouveau Président de la république, dès juin 2019. Cependant, signe d’un renouveau, le Ministère des affaires étrangères rassure l’Ambassadeur de France sur une « erreur », tandis que Monsieur Pelenc est invité à revenir, sans frais supplémentaires pour lui. L’incident semblait clos, jusqu’à l’entrée en scène de Madame Mariem Mint Aoufa, diplomate et fonctionnaire statutaire, par ailleurs ex-ambassadrice de Mauritanie à Rome.

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Le lendemain, à 14 heures, en dehors de la moindre instruction reçue de la tutelle - qui dispose d’ailleurs d’un porte-parole - Son Excellence, la Directrice du département Amérique-Asie-Pacifique, publie un tweet, ainsi libellé : « Il est louable ce que les autorités ont fait, en expulsant le juif Jean Marc du journal Charlie Hebdo qui offense la religion islamique en général, le Saint Coran et le Grand Messager, que Dieu le bénisse et lui accorde la paix en particulier, en essayant d'entrer, dans notre pays, par l'aéroport Oum Tounsi. Il est donc bien naturel de chasser la malveillance et ses adeptes, de la terre de lumières et des Almoravides ». La réaction ne comporte rien de bien original si l’on considère la banalité de tels propos, dans un environnement social où l’islamo-arabisme, ses fantasmes, raccourcis et facilités tiennent lieu d’idéologie, de savoir et de rapport au monde. Si l’auteur n’était un membre du personnel de l’administration publique, le propos se noierait certainement dans la banalité et l’impunité des justification du « négrocide », de l’esclavage, du système de caste et de l’infériorité de la femme.

Interprétation
La judéophobie, réflexe hérité en Mauritanie, se double, ici, d’une promotion du Jihad, de la part d’une employée de l’Etat, dans le domaine, ô combien, stratégique de la diplomatie. Le gouvernement qu’elle représente participe à la force conjointe G5 Sahel et compte, parmi ses alliés, d’Afrique, du Monde libre et de l’ensemble arabo-musulman, des puissances qui collaborent dans le cadre de résistance à la terreur au nom de la foi. L’honorable Mariem Aoufa approuve, in fine, l’attentat contre Charlie Hebdo parce qu’elle adopte les arguments des frères Kouachi, exécutants de la tuerie du 7 janvier 2015, à Paris. Elle l’agrémente d’une incitation à la haine raciale qu’un nazi ne désavouerait et où n’importe quel illuminé trouverait la raison évidente d’assassiner Jean-Marc Pelenc et tout hôte, membre ou sympathisants de l’Ira-M. L’incident révèle - disons confirme plutôt – le noyautage de l’appareil de décision par des zélateurs de la violence religieuse. Ceux-là agissent et s’expriment, au grand jour, parfois avec la complicité de terroristes « repentis ».

Conséquences
Les mots de Madame Aoufa interrogent la crédibilité extérieure du pays ; le problème se présente sous des auspices d’autant moins rassurants que le parti au pouvoir, si l’on en croit son congrès du 28 novembre 2019, abritait un contingent de délégués âpres à réclamer une revanche contre le Français. A divers niveaux de sensibilité sécuritaire, notamment la police criminelle, la magistrature, la diplomatie et les renseignements, la Mauritanie abrite des sympathisants spontanés de l’extrémisme, produits de trois décennies d’hostilité aux langues étrangères. La menace vient, à présent, du cœur de l’entité en charge de protéger, sur le sol national, les citoyens et les ressortissants d’ailleurs. Aujourd’hui, il convient d’admettre la faille et la traiter, sans atermoiement ni paranoïa, avant de devoir payer le prix lourd de sa duplication. Le nouveau gouvernement dispose des outils d’enquête et ne saurait donc s’exonérer de l’action requise, au prétexte de n’avoir su, à temps. L’histoire rappelle à quel degré de ruine mènent le racisme et la répulsion envers un humain, du seul fait de sa différence. Les grandes tragédies commencent souvent en petites phrases.

Nouakchott, 13 Janvier 2020
Commission de communication

samedi 11 janvier 2020

Le président Jean Marc Pelenc n’a pas tenté d’entrée en Mauritanie sans visa.



Est-il un crime d’être né « JUIF »  dans le monde? Apparemment, ce que le prophète Mohamed(PSL) tolérait à la Mecque, il y a plus de 1400 ans, n’est plus tolérable en Mauritanie en 2020 à cause de l’extrémisme de la religiosité qui fait des ravages. Il faudra le rappeler,  le prophète Mohamed avait son voisin Juif côte à côte, cela n’a jamais posé de problème, pourquoi  le simple fait d’être taxé « juif » pose problème  en Mauritanie?


J’ai lu avec consternation des allégations mensongères, comme dans les sales habitudes de cette « presse arabe maure», venant  du site Alwiam info, dont,  le site Adrar info, détenu par le doyen Ely Salem a eu la gentillesse à nous traduire en français. De primo, nous constatons avec dégout que tout article traduit de l’arabe en français, après vérification, on se rend compte très vite que l’information ou les informations sont erronées. Les « journalistes » arabophones diffusent de fausses informations sans retenu comme  leur choix gras depuis plusieurs années, surtout, des informations à caractères racistes, haineuses , en violation  la déontologie journalistique.


Le site Alwiam info : « Vendredi matin, les autorités mauritaniennes ont expulsé Jean Marc Pelenc, l’un des propriétaires du journal Charlie Hebdo,en France,  qui a offensé le prophéte Mohamed , que Dieu le bénisse et lui accorde la paix, après avoir tenté d’entrer ,sans visa,sur le territoires mauritanien, depuis l’aéroport international d’Oum Tounsy. »


-Premier mensonge à souligner, le président IRA-France, Jean Marc Pelenc n’a jamais tenté d’entrée sur le sol Mauritanien sans visa, il est  bel et bien rentré sur le sol Mauritanien légalement. Un policier est parti l’intercepter dans le parking de l’aéroport pour lui demander de le suivre, ensuite, séquestré pendant plusieurs heures dans un bureau avant d’être expulsé malgré son visa dans son passeport  vers la France sans explication.


A propos du journal Charlie Hebdo : « Le directeur de la rédaction, Laurent Sourisseau, plus connu sous le pseudonyme Riss a cédé des actions à trois journalistes de son équipe contre une somme symbolique de quelques centimes d’euros. Le nouveau trio d’actionnaires est composé du journaliste Yann Diener (Psychananlyse), du journaliste économique Gilles Raveaud - surnommé Jacques littauer - dans les colonnes de Charlie et du dessinateur Pierrick Juin. »


D’où nous sort le site Alwiam info ses informations fausses que le président Jean Marc Pelenc détiendrait 15%  d’actions du journal satirique Charlie Hebdo ?  D’autant plus, ce sont des informations accessibles à tous. Ceci n’est rien d’autre qu’une veille stratégie malsaine de ladite « presse » arabe, qui  jette en pâture leur proie à la vindicte  populiste islamiste extrémiste qui diffuse de la haine publiquement sans crainte. Pourquoi la loi contre l’extrémisme n’est pas appliquée sur ces exhibitionnistes de l'extrême ?   


Ces fausses informations ont été commandées illico-presto pour  diffamer le député Biram Dah Abeid, son épouse Leilla Ahmed, le président IRA-France Jean Marc Pelenc, le vice-président IRA-France, M. Moussa Soumaré et un  Flamiste Ibrahima Diallo. Tout ça, avec une bonne dose d’anti-juif. Nous exprimons toute notre solidarité avec le président Jean Marc Pelenc et l’ONG IRA-France Mauritanie.


Lire l’article traduit sur ce lien : https://adrar-info.net/?p=59742







Diko Hanoune