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jeudi 28 février 2013

Mauritanie – Esclavage / Quai d’Orsay – Déclarations du porte-parole


PARIS, France, 28 février 2013/African Press Organization (APO)/ Quai d’Orsay – Déclarations du porte-parole
 
Q – Que pensez-vous des initiatives menées par les militants de l’Initiative pour la Résurgence du mouvement Abolitionniste (IRA) contre l’esclavage en Mauritanie?
 
R – La France est fermement engagée dans la lutte contre toutes les formes d’esclavage. Nous saluons à ce titre l’engagement de l’association “IRA Mauritanie”, à l’origine de l’initiative “La caravane contre l’esclavage et pour la liberté”.
 
La France appelle la Mauritanie à respecter les conventions internationales qu’elle a ratifiées, notamment le pacte international relatif aux droits civils et politiques et la convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
 
SOURCE
France – Ministry of Foreign Affairs 


Sahara : Un film sur l'esclavage dans les camps de Tindouf crée la polémique

 
 Extrait de documentaire Stolen
« Stolen », film-documentaire tourné dans les camps de Tindouf, en Algérie, a été diffusé mardi soir par la chaîne de télévision américaine World Channel. Sa diffusion était initialement prévue pour le 5 février. Le report serait dû à la polémique qui entoure le documentaire depuis sa réalisation et notamment aux pressions du Polisario et de l'Algérie pour empêcher sa diffusion, selon les réalisateurs.
« Stolen », un film-documentaire sorti en 2009, réalisé par la Bolivienne Violeta Ayala et l’Australien Dan Fallshaw, a été diffusé, dans la soirée du mardi 26 février, par la chaine de télévision américaine World Channel. Le film se concentre sur les conditions de vie des refugiés vivant dans les camps de Tindouf, situés à l’extrême pointe sud-ouest de l’Algérie, et affirme que certains d'entre eux sont victimes d’ « un esclavage moderne ».  Le documentaire devait, initialement, être diffusé le 5 février par la même chaine, mais cette dernière a décidé de reporter son passage à la télévision en raison de la polémique qui l’entoure depuis sa première diffusion au Festival du film international de Toronto, en 2009, rapporte le site spécialisé Indiewire.com.
« En 2006, nous nous sommes rendus dans les camps de réfugiés sahraouis en Algérie pour faire un film sur l'aspect humain de ce conflit de longue date, entre le Maroc et le Polisario concernant le Sahara […]. Nous ne savions pas ce que nous allions découvrir », racontent les réalisateurs du film. « L’Organisation des Nations Unies organise souvent des retrouvailles de familles » sur place. « Nous avons décidé de concentrer le film sur l’une d’entre elles. Nous avons rencontré Fetim, une belle femme noire sahraouie […]. Elle a été la première personne à nous parler sans évoquer la politique. » C’est elle et sa sœur, Leil, qui seront finalement les deux principales figures du documentaire.
Esclavage moderne
Selon les témoignages de Leil, les camps de Tindouf seraient divisés en deux camps, l’un pour les noirs de peau et l’autre pour les blancs, les « Bayden », expliquent Violeta Ayala et Dan Fallshaw. Les Noirs n’auraient pas les mêmes droits que les Blancs qui, eux, dirigeraient les camps. « Elle nous a dit que les Noirs étaient toujours des esclaves, qu’ils n’avaient pas le droit de décider avec qui ils allaient se marier, que leurs enfants pouvaient être enlevés et qu’ils n’avaient pas non plus de pouvoir sur leur destin ».
« Le Polisario qui gère les camps a découvert que nous avions appris pour les pratiques d’esclavage. Nous avons décidé de cacher les images qu’on avait récolté pour protéger les ‘Noirs’, et aussi pour faire notre film. Les autorités du Polisario nous ont alors placés sous détention. C’est à partir de ce moment là que le Polisario a lancé sa campagne pour nous discréditer », affirment-ils.
« Sans savoir ce que nous avions tourné avec la caméra, ils ont dit à l’ONU que nous avions payé des gens pour qu’ils jouent des scènes d’esclavage […] Nous avons été accusés de travailler pour le gouvernement marocain, mais « Stolen » montre également que la partie contrôlée par les autorités marocaines est également concernée par ces pratiques ». « Le Polisario et le gouvernement marocain voulaient nous empêcher de faire « Stolen » pour la simple raison que le film traite de l’esclavage, une violation des droits de l’Homme qu’ils préfèrent cacher », déplorent les auteurs du film.
Pressions de l’Algérie ?
Selon les deux réalisateurs, « il y a eu des pressions significatives sur Public Broadcasting Service (PBS) [un réseau de télévision public à but non lucratif, ndlr] de la part de lobbyistes aux Etats-Unis, payés par le gouvernement algérien qui soutient le Polisario.» Parmi ces lobbyistes, figurerait selon Indie Wire le cabinet Foley Hoag. Ce dernier aurait empoché « la plus grande part du million de dollars, dépensé chaque année par le gouvernement algérien auprès des lobbyistes américains », rapporte la même source. Les accusations des deux réalisateurs ont immédiatement été reprises et déformées par l'agence de presse marocaine MAP.
A lire sa dépèche, on comprend que c'est le cabinet  Foley Hoag qui reçoit, à lui seul, un million de dollars par an pour défendre les intérêts du Polisario, en réalité il s'agirait, selon les déclarations des deux réalisateurs d'un ensemble de plusieurs cabinets de lobbying. Une information réaliste bien que non prouvée. En juillet 2009, Africanintelligence avançait le chiffre de 210 000 dollars déboursés par l'Algérie auprès du cabinet Foley Hoag. Côté marocain, si aucune somme n'est connue, nulle doute que le royame utilise lui aussi les armes du lobbying pour faire avancer sa cause à l'ONU. Le gouvernement algérien n’a pas encore réagi à ces accusations. Le Maroc, non plus.

Camarades opprimés : Unissez-vous !


Bâ Sileye, Sociologue et Journaliste mauritanien
Bâ Sileye, Sociologue et Journaliste mauritanien 

Je ne me suis jamais prononcé sur le différend existant au sein de certains mouvements citoyens noirs ou de défense des droits humains en Mauritanie. Même pas en dehors des réseaux sociaux. J'ai écouté des versions, entendu parler de l'échec de médiation, mais la seule chose dont je suis convaincu, c'est qu'il existe une honteuse division.


Honnis par les pouvoirs publics, adulés par les populations, les mouvements citoyens sont souvent minés par des querelles intestines. Des guéguerres qui créent souvent des malentendus, voire des cassures au sein de leur milieu. A l’heure où le déni de démocratie et les violations de droits de l’homme sont monnaie courantes en Mauritanie, seule la maturité doublée d'une sagesse parviendra à réunir ces hommes et femmes dans une même direction : Instaurer une société juste et égalitaire dans laquelle les droits humains sont respectés.

Cependant, je me permets d’apporter mon humble avis. Mon intention n’est ni d’affirmer mon alliance à une telle tendance où une autre. Je me situe dans le groupe des opprimés unis de la Mauritanie. Je pars sur la base qu'il y a toujours des problèmes de leadership dans les mouvements en Mauritanie ; des plus structurés au plus divisés. C'est tout à fait normal, mieux encore, c'est fort louable.

Ceci signifie que le noyau de ces mouvements est solide. Car il est constitué autour des synergies. Et un groupe sans synergies (la motivation et les compétences) ne bougera pas d'un iota. Un mouvement d’avant-garde est généralement constitué de ceux qui sont aptes à investir financièrement, de ceux qui sont déterminés à supporter les coups de matraque, d'autres à écrire des tracts, et même, ceux qui achètent de l'eau. Chacun est utile et nul n'est indispensable.

Le seul individu indispensable pour les masses opprimées reste celui qui incarne et défend l'idéologie du groupe. L’acteur qui conceptualise pour sortir le peuple du joug de l’oppression. Celui qui rend le citoyen capable de comprendre la réalité de son malheur.


Cependant, si certains se voient plus aptes à diriger un mouvement que les autres, le bon sens oblige d'user d'une bonne stratégie. Dans le tumulte actuel, il convient d’appeler à un dialogue interne qui soit supervisé par de la dynamique militante (toutes les tendances confondues). Un dialogue qui sera mené en présence des personnalités nationales respectueuses. Pour la direction de cette dynamique, l’on doit faire appel à la majorité des acteurs impliqués. Ce qui veut dire que l’esprit de la concession doit être anticipé pour la pérennisation du mouvement. Car au dessus de tout, il y a l'intérêt commun.


La lutte des égos et des petites personnalités relèvent d'une comédie digne de « Star Academy ». Sur le terrain de la lutte, la seule « star » qui mérite les applaudissements du peuple est celle qui porte le fardeau des autres. Pour cela, il n y a que deux alternatives : Honorer ses engagements ou s'excuser en cas d'échec. Le reste, c’est le travail de l’histoire. S’arroger le statut de leader demeure facile, mais le justifier, c'est là le grand problème des hommes.

Dans un contexte de tension, l'idéal à mon avis, c'est de convoquer toutes les parties au tour de la même table.


- Organiser des assises lors d'un grand Congrès de la Réconciliation avec la participation des toutes personnalités et "sensibilités" ( bon nombre de militants, reste sous le poids de la passion et de l’émotionnel).

-Réorganiser le bureau

- changer l'appellation des groupes une fois unis

-Définir les priorités, élargir la lutte...

- Lancer des initiatives de l'intérieur comme de l'extérieur...


Voilà à mon avis des solutions capables de sauver la nouvelle génération d’opprimés et la préserver du sort subi par ses ainés minés par un égocentrisme teinté de féodalité et de divisions idéologiques vaines et lamentables.


Pour y arriver, il faut que tout un chacun essaie d’étouffer son orgueil personnel. Et à partir de là, je suis convaincu que nous disposions des hommes capables d’offrir le meilleur d’eux-mêmes. L’heure est à l’union sacrée. Il faut dés à présent se surpasser et créer et fumer le calumet de la paix, afin de relever le défi qui nous attend.


A ces défenseurs de droits de l’homme : Nous disons que leurs qualités humaines, morales et ethniques sont largement suffisantes pour réussir à former un mouvement d'avant-garde solide et consensuel. Car pour chacun d’entre eux, l'amour de son peuple tant opprimé est inestimable. Nous aimons notre peuple, et nous avons honte de ne l'avoir pas prouvé jusqu’ici.

mercredi 27 février 2013

Droit de réponse à Tawassoul de Jemil Ould Mansour « Le pays est en Danger »



J’ai lu avec beaucoup d'inquiétudes les slogans du parti Tawassoul que vous dirigez lors de votre dernière manifestation un reportage du site Alakhbar-info sous le titre « Le pays est en danger, selon Tawassoul » que brandissaient sur des banderoles et je peux supposer cela a dû se passer dans les sonorisations des haut-parleurs traversant la capitale Mauritanienne de l’est à l’ouest, du nord au sud.  Laissez-moi Monsieur, vous poser cette question : est ce qu’un parti islamiste peut être modéré ? 
 
Je vous  cite : « L'intervention au nord du Mali et les groupes extrémistes constituent un danger sur l'unité du pays et de la région »



En quoi l’intervention au Nord du Mali affectera obligatoirement  « l’unité » nationale des Mauritaniens à plus forte raison celle de la sous-région ? Qu’entendez-vous du mot « unité nationale » ? Est-ce que le Nord du Mali fait parti du territoire Mauritanien ? Êtes-vous entrain de nous dire les généraux Mauritaniens ont eu raison d’avoir soutenu les rebelles Touaregs et les terroristes qui agissent sur le territoire Malien illégalement en terrorisant les populations ? Curieusement je ne me souviens pas avoir lu un communiqué de Tawassoul condamnant l’occupation d’un pays voisin si on n'en croit nos politiciens qui n’arrêtent pas de nous chanter ce pays est considéré comme  un pays  « frère ». Ce qui a mis le pays en danger comme vous le prétendez, ce n’est point l’intervention au nord du Mali mais le soutien logistique, financier et l’appuie militaire qu’offrent nos généraux aux terroristes pour couper le Mali en deux. Comme d’habitude, on voit certains politiciens sortir du bois avec des larmes de crocodile pour brandir l’arme de la peur  d’une quelconque menace à l’unité nationale  qui n’a jamais été leur préoccupation auparavant pour berner le peuple parce qu’ils  logent, nourrissent des terroristes, ne sachant plus comment il faudra s’en débarrasser et qui ont la capacité de tout faire sauter du jour au lendemain. C’est seulement aujourd’hui que Tawassoul se rend compte qu’un terroriste est dangereux ? Dommage !



Vous dites : « La cause palestinienne est notre cause centrale »



Là au moins, vous avez été clair, les souffrances des Mauritaniens est votre dernier souci n’est ce pas. Ne me dites pas le contraire, le langage  est clair, net, limpide et précis. Votre objectif est de « libérer »  d’abord la Palestine, pas les Mauritaniens de la dictature militaire qui nous étouffe depuis en 1978. Nous sommes avertis, Tawassoul se préoccupe plus de se qui se passe en dehors de la Mauritanie que les problèmes des Mauritaniens sur le sol national. C’est cas même très grave non! Je me demande pourquoi n’allez-vous  pas organisé vos manifestations et compagnes électorales en terre Palestinienne aux côtés de vos semblables Mohmoud ABass où le Hamas, d’ailleurs je suis  convaincu que vous êtes plus proche du  Hamas Messieurs  au lieu de rendre l’air irrespirable à Nouakchott par la poussière soulevée de vos chaussures, avec vos marches insensées si vous croyez au fond de vous même que c’est vraiment  la « cause centrale » de votre programme politique ? L’esclavage qui frappe la communauté haratine majoritaire, les déportations et exactions sommaires, la pauvreté ne sont gères vos causes centrales ? Et pourquoi la Palestine avant la Mauritanien ? Tawassoul est il un parti des « infiltrés Hamas » palestiniens sur le sol Mauritanien ? Selon notre sainte religion l’islam, votre parent le plus proche serait le voisin d’à côté, mais apparemment selon la religion du parti islamiste Tawassoul, leur parent le plus proche reste d'abord l’arabe qui se trouve à des milliers  de kilomètres. Oui la Mauritanie est en danger par rapport à votre idéologie panarabiste aveugle. La Mauritanie en danger où Tawassoul est un danger pour la Mauritanie ?






Je vous remercie



Diko hanoune

Des prêcheurs appellent au meurtre et l’Etat se tait… »




L’IRA (initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste en Mauritanie) a organisé une conférence de presse au siège de l’AFCF (Association mauritanienne des femmes chefs de familles) à Nouakchott. Cette conférence a été organisée lundi 25 janvier quelques heures après le retour du président et des militants de IRA d’une campagne de sensibilisation à l’Intérieur de la Mauritanie. Les responsable de IRA ont pendant cette rencontre avec la presse, dénoncé une « campagne de diabolisation menée contre leur organisation par certains milieux religieux. »

Balla Touré, chargé des relations extérieures de IRA, a l’entame de la conférence, a déclaré « les détenteurs du système de domination ont mené une campagne dans les milieux religieux, notamment les mosquées, une campagne de diabolisation des membres de IRA en les présentant comme des apostats qui ont renié leur religion. » Pour Touré, « c’est une instrumentalisation dangereuse de la religion à des fins politique. » Et, ce qui aggrave la situation, « c’est que certains medias audiovisuels et électronique se font relais des appels à la haine lancé contre nous » a ajouté Touré. Ces milieux religieux, selon les membres de IRA, « revendiquent leurs appartenance au parti Tawassoul dit Islamiste modéré. » Pour Balla Touré « c’est une campagne dangereuse qui rappelle les agissement de la tristement célèbre radio des mille colline du Rwanda. » Une radio « qui a préparé le terrain au génocide rwandais. » Pour les responsables de IRA Mauritanie, « il est temps d’attirer l’attention de l’opinion publique mauritanienne et des partenaires de la Mauritanie pour qu’ils agissent contre ces comportements. » Balla Touré a indiqué que « les Hratine, descendants d’esclaves ont connu les pires traitements inhumain mais ils n’ont jamais posé d’actes violents et ont fait toujours preuve de responsabilité face a ceux qui nient leur humanité. » Il a ajouté « Tout ce que les Hratine réclament, c’est une Mauritanie de justice, de liberté et d’égalité assurant l’accès au bien être a tous. »
Birame Ould Dah Ould Abeid a lui noté que « tout le monde se résigne face a la campagne de diabolisation des militants de IRA. » Il a martelé « l’Etat se tait alors qu’il y a des appels aux meurtres, des appel lancé publiquement dans les mosquées et aussi des medias esclavagistes car l’Etat mauritanien n’a octroyé les licences pour la création des organes de presse audiovisuel qu’a une partie de la communauté nationale. »
Par rapport au contenu précis de « cette campagne contre l’IRA », Balla Touré a déclaré « quand un imam, du haut de la tribune d’une mosquée, déclare que Biram et ses amis sont apostats, nous considérons que ces un appel au meurtre car l’apostasie est punie de la peine de mort en Islam. » Ensuite, ajoute-t-il « les tenants de cette campagne demandent aux masses populaires de se dresser devant nous, ce sont des appels au lynchage. »
Yaghoub Ould Saleck, membre de IRA a déclaré “ils appellent les populations a se dresser contre les militants de IRA qui distribuent la bible et qui sont financés par Israël et le Vatican.” Sur cette lancée Biram Ould Dah Ould Abeid a martelé « l’APP (alliance populaire progressiste) est a l’origine de cette accusation de distribution de bible dans son communiqué paru après l’incinération des livres du rire malékite… » Voir en encadré ledit communiqué. Biram a aussi cité une déclaration de certains imams de la région de Tiris Zemmour . Un communiqué dans lequel « il est demandé aux populations de cette région de barrer la route de Zoueiratt au militants de IRA. » Mais a Zoueirat ajoute Biram « L’IRA a mobilisé une immense foule ; ce qui signifie que majoritairement, les populations désavouent ces religieux qu’elles ont toujours vu dans le rôle de laudateurs de tous les systèmes. » Mais, prévient-il « il y a toujours des personnes qui croient a ces prêcheurs comme le monsieur qui a tenté en vain de me balancer une pierre a Atar. » « Après m’avoir écouté, ce monsieur a compris que je n’étais pas le diable et s’est publiquement excuser. Les personne qui écoutent ces prêcheurs même si elles sont minoritaires peuvent être a l’origine de l’embrassement en me tuant ou en tuant quelqu’un d’autre » a ajouté Birame.
Pour Mohamed Vall Ould Sidi Moyla, membre de IRA « les auteurs de ces prêches crée une atmosphère, un bourrage des crane qui peut pousser au meurtre… »
Enfin Balla Touré a noté qu’IRA Mauritanie va continuer sa campagne de « déconstruction du système esclavagiste en Mauritanie. »
IRA Mauritanie est une organisation de lutte contre l’esclavage non encore reconnue.


Khalilou Diagana