Translate

samedi 9 février 2013

Révélations dans les coulisses des nègres de service : Ahmed Ould Khatry, Abdallahi Ould Abdel Barka, El Moudir Ould Bouna et Yarba Ould Sghayir.




 Le site arabophone  mushahid découvre des informations graves sur l'initiative " OUI à l'exécution de Biram"

Le site « El  mushahid » a appris de sources concordantes que de profondes divergences ont apparu entre les membres de l'initiative " OUI à l'exécution de Biram", dès sa création, suite à l'incinération symbolique des textes qui légifèrent sur l'esclavage. Ce sont ces mêmes divergences qui ont conduit par la suite a sa dislocation. 

Selon la source qui a rapporté la nouvelle à "El moushahid",  l'initiative a été créée  par  proposition de l'ex – directeur général des Procapec Ahmed Ould Khatry et le narrateur de l’histoire du Prophète et Conseiller du ministre des affaires islamiques, Abdallahi Ould Abdel Barka, avant d'être rejoints par les deux directeurs généraux de la télévision et de l'AMI , respectivement El Moudir Ould Bouna et Yarba Ould Sghayir.

La source a indiqué que l'un des objectifs de  cette initiative était de mettre en œuvre une campagne acharnée à travers les deux organes officiels afin de mobiliser bon nombre de haratine demandant l'exécution de Biram en guise de désaveux de sa communauté, et, par la même occasion, permettre aux initiateurs de cette singulière initiative de courtiser le système.

Mais suites au développement inattendu de l'affaire de l'incinération symbolique des textes instituant l'esclavage, et qui a montré l’ampleur de la compassion qu'a eu Biram et ses camarades dans le milieu Hratin, l'initiative s'est écroulée comme un château de cartes. Les autres membres de l'initiative ont compris  que l'objectif de Ahmed Khattry était de rentrer dans les grâces du général chef de l'Etat, ce qui a conduit Abdallahi Ould Abdel Barka à visiter Biram en prison, en cachette, pour lui expliquer les raisons de sa position et de son intervention à la télévision nationale demandant l'exécution de Biram. Tout cela a été pour satisfaire son ministre Ahmed Oud Ninni qui l'avait menacé de le limoger s’il ne descend pas dans l’arène pour fustiger Biram en direct sur la TVM ! Alors qu’Ould Abdel Barka, lors de son entrevue avec Biram en prison, avait condamné les propos des érudits mauritaniens et la campagne qu'il a jugée comme étant une campagne dirigée  contre les hratin de façon générale, Il a ensuite reconnu que, malgré que cela était  son point de vue, il ne pouvait l’exprimer publiquement de crainte de perdre son poste. Quant aux directeurs des organes de presse officiels, ils ont fait marche arrière lorsqu'ils ont compris que le système acculé par l'envergure de la compassion qu'a eu Biram à l'intérieur et à l'extérieur du pays, ne pouvait plus aller jusqu’au bout de sa logique. Ils ont surtout eu peur des hratin qui se sont montrés en faveur de Biram et ses camarades.

A noter que Abdallahi Ould Abdel barak a servi de guide à la police pendant l'arrestation des membres de IRA. C'est lui qui leur montrait les maisons des militants qu'ils cherchaient et ceci en raison de sa relation de copinage avec l'Imam de IRA , Elid Ould Limlih et, auparavent, ce même Ould Abdel Barka a passé des mois à fréquenter Biram chaque jour dans une mission de renseignement qu'il avait dévoilé plus tard à son ami Elid lors de sa visite en prison. Il l’a même mis en confidence de son travail avec le général Meguet directeur des renseignements de l'Etat et il lui a montré sa carte professionnelle d’agent des renseignements pour le compte du  BED.


Source: Hamady  LEHBOUSS
Conseiller du président de IRA-Mauritanie


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire