Depuis bientôt trois mois, un événement dont on aurait bien voulu se passer occupe le devant de la scène l'actualité politique dans notre pays. Il s'agit d'une opération de recensement des populations qui cache mal ses intentions politiques d'exclusion et de marginalisation des populations noires.
L'organisation d'un recensement pour réactualiser le fichier d'état civil, en soi est une opération administrative et technique utile. Mais , il est curieux de constater, de façon flagrante, que son instrumentalisation idéologique et politiques a été bien perçue par les populations concernés et les acteurs politiques conscientss de la radicalisation dusystèmee raciste et esclavagiste, lancée par le président Mohamed Ould Abdel Aziz.
En effet, en dépit de nombreusesss réactions, manifestationsprotestations, dénonciations et indignations, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur de la Mauritanie, Ould Abdel Aziz a réitère, par son discours du 05 aout 2011, sa volonté de poursuivre le déroulement du recensement tant décrié et impopulaire, par ses intentions racistes.
Par cette opération de recensementtt, le président Mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz et son gouvernement viennent rappeler à lcommunautété noire que la politique raciste et esclavagiste ne fléchira pas dans son objectif de réduire le poids démographique des populations noires. Transformer la minorité maure en majorité dans le pays, est la visée politique manifeste de cette opération.
Nous condamnons avec fermeté cette violation grave des droits fondamentaux des populations négro-africaines et exigeons en conséquence, l'arrêt immédiat du déroulement des opérations et invitons le président mauritanien à faire preuve de bon sens et aux conséquences incalculables.
Nous condamnons, par la même occasion, les violations, les brimades, les arrestations des militants de l'IRA dans leur lutte juste et courageuse pour l'éradication de l'esclavage dans notre pays.
Nous invitons les organisations mauritaniennes, la société civile, les leaders d'opinion, l'UE, l'ONU, l'Union Africaine, et les organisations de défense des droits humains à faire pression sur le gouvernement mauritanien pour exiger la cessation du déroulement de cette opération préjudiciable à la stabilité dans notre pays et dans la sous région.
Bruxelles le 14 aout 2011
La Coordination des Mauritaniens de Belgique
L'organisation d'un recensement pour réactualiser le fichier d'état civil, en soi est une opération administrative et technique utile. Mais , il est curieux de constater, de façon flagrante, que son instrumentalisation idéologique et politiques a été bien perçue par les populations concernés et les acteurs politiques conscientss de la radicalisation dusystèmee raciste et esclavagiste, lancée par le président Mohamed Ould Abdel Aziz.
En effet, en dépit de nombreusesss réactions, manifestationsprotestations, dénonciations et indignations, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur de la Mauritanie, Ould Abdel Aziz a réitère, par son discours du 05 aout 2011, sa volonté de poursuivre le déroulement du recensement tant décrié et impopulaire, par ses intentions racistes.
Par cette opération de recensementtt, le président Mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz et son gouvernement viennent rappeler à lcommunautété noire que la politique raciste et esclavagiste ne fléchira pas dans son objectif de réduire le poids démographique des populations noires. Transformer la minorité maure en majorité dans le pays, est la visée politique manifeste de cette opération.
Nous condamnons avec fermeté cette violation grave des droits fondamentaux des populations négro-africaines et exigeons en conséquence, l'arrêt immédiat du déroulement des opérations et invitons le président mauritanien à faire preuve de bon sens et aux conséquences incalculables.
Nous condamnons, par la même occasion, les violations, les brimades, les arrestations des militants de l'IRA dans leur lutte juste et courageuse pour l'éradication de l'esclavage dans notre pays.
Nous invitons les organisations mauritaniennes, la société civile, les leaders d'opinion, l'UE, l'ONU, l'Union Africaine, et les organisations de défense des droits humains à faire pression sur le gouvernement mauritanien pour exiger la cessation du déroulement de cette opération préjudiciable à la stabilité dans notre pays et dans la sous région.
Bruxelles le 14 aout 2011
La Coordination des Mauritaniens de Belgique
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