L'imposture du fonds de commerce de la part d'un Noir mauritanien qui pouvait beaucoup compter pour notre cause ajoute à l’usurpation du statut de journaliste à la solde des maures. L’histoire retiendra le nom de monsieur Diko. Monsieur Diko s’est positionné sur le créneau qui est le cancer de la Mauritanie, la tragédie des Négro-mauritaniens. L’esclavage et l’apartheid ont ruiné l’identité et l’intégrité des Noirs en Mauritanie comme la traite négrière aura hypothéqué pour au moins mille ans l’essor de la condition du Noir en général. La saignée et l’humiliation que subissent les Noirs en Mauritanie est comparable en se cristallisant dans la condition actuelle des Noirs de Mauritanie, à la traite transsaharienne. La grande question reste de savoir qui ose contre vents et marées, contre maures et confort intellectuel et moral épouser la position intransigeante de monsieur Diko, contre les crimes de génocides, esclavage et déportations qui se perpétuent pas plus qu’il y a deux jours ! Non, pas vous Diagana, pas vous non plus Dia. Monsieur Diko, oui ! Il l’a prouvé et continue de le prouver. Les responsables d’extermination des Noirs mauritaniens et de tout Noir qui transite par la Mauritanie sont là, vivants et vivaces. C’est une vérité de notoriété publique. Il y a des Noirs « juristes » et faux « journalistes » dans leurs heures perdues qui courent derrière ces maures en chantant leurs louanges. Ces Noirs là ne respirent qu’à travers le souffle infernal de lucifer. Mensonge et encore mensonge que de vouloir fourguer un fonds de commerce tiré de vos cours de droits de lycéens ! Encore la question : la position d’un Négro-mauritanien digne devrait au moins être l’intransigeance à toute épreuve contre génocide, esclavage et déportation, car l’ennemi guette et ne s’arrêtera pas. Osez porter votre lettre et votre esprit contre les criminels et les esclavagistes maures. Nous verrons bien que vaut tant de philosophie de marchands de pacotille à la sauvette.
Fall Moctar
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