"Tout semble corroborer la présomption que la fille a été tenue éloignée des regards, pour masquer sa condition de personne exploitée d’où le viol, caractérisé, des lois de la France, par le diplomate, avec des circonstances aggravantes de préméditation, dissimulation caractérisée, recel, faux et usage de faux", a dénoncé le mouvement abolitionniste dans une note de presse parvenue à Alakhbar.
"Ayant été alerté qu’IRA était sur le point de rassembler les informations nécessaires, sur la victime, sa filiation, sa condition et l’épilogue de son calvaire autant en outre-mer qu’en métropole, le comptable se précipita, avec elle, hors des frontières de France pour la rapatrier vers les latitudes nationales où l’impunité des crimes d’esclavage prévaut, sous bonne licence de l’Etat arabo-berbère, successeur défaillant et imparfait de la colonisation française", a précisé la note.
"L’actuel ambassadeur de la Mauritanie en France, Cheyakh Ould Ely, entre autres dignitaires de la tribu Ijoumane, s’est employé avec succès, à soustraire son cousin, médecin, Ahmed Ould Cheikh Ould Mini, des mains de la police, en février 2011, quand IRA dénonçait, alors, les pratiques esclavagistes auxquelles ce praticien soumettait la fillette Hasniya mint Bebbe (7 ans)" a rappellé le mouvement présidené par Biram Ould Dah.
IRA a aussi rappelé "le flagrant délit d’infamie se rapportant au trafic, surtout de femmes mineures, entre la Mauritanie et les pays du Golfe Arabique, commerce étayé par la prédication d’un Imam saoudien, le 14 avril 2012, transmise sur les ondes de la radio officielle de Mauritanie, et faisant l’apologie du marché d’esclaves mauritanien, qui pour cet imam, est une aubaine à la portée de toutes âmes pieuses désirant de se purifier grâce au rachat et à l’affranchissement des serviteurs. (…) Après avoir ressuscité et ravivé la filière orientale de la traite des Noirs au 21 ème siècle, voila que esclavagistes mauritaniens sont en train, sous couvert officiel de la diplomatie, d’ouvrir des filiales clandestines dans le monde libre, à Paris, siège de toues les révolutions au service du genre humain!", ajoute IRA.
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