Suite aux arrestations arbitraires des militants abolitionnistes de IRA-Mauritanie, nous invitons toutes les bonnes volontés, associations et ONG de défenses des droits humains à se joindre à nous pour manifester devant l'ambassade de Mauritanie à paris le samedi 12 mai à partir de 14h, lieu du départ : place Trocadéro métro ligne 6 et 9.
Le vendredi 27 Avril 2012 , Birame Ould Dah Ould Abeid a tenu un point de presse au courant duquel il a déclaré que les recueils de Khalil, Ebn Acher, Risalla, Alakhdary imam Malikite et d'autres sont une sorte de légalisation de l'esclavage. Il incinère les livres de l’imam Malikite, dont le rite est pratiqué majoritairement y compris par l’état Mauritanien. Aujourd’hui, il risque la peine capitale.
Dans ce livre que l’on voudrait « référence » à tout, on lit à la page 32 : « la femme esclave ne doit pas cacher son corps, contrairement à la femme libre, mais si son maître la possède et trouve un enfant avec elle, même sans mariage, elle doit se comporter comme les femmes de « bonne extraction » (se couvrir).
Ainsi, l’on permet au maître, à travers cette « législation » de disposer de son esclave comme il veut, car c’est son bien, « sa chose ». Le summum de cette aberration se trouve être l’autorisation faite au maître de coucher son esclave, même quand elle est mariée ; et ce, même devant son époux de même condition qu’elle !
A la page 118 de cette propédeutique clairement avilissante, il est dit que le maître peut, à tout moment, prononcer la nullité du mariage de son esclave (homme ou femme), s’il veut le ou la vendre par exemple. Dans Khalil, le maître peut castrer son esclave pour qu’il s’assure qu’il n’aura pas de rapports avec sa maîtresse. Les mêmes craintes d’être cocu par son propre esclave poussent les maîtres à n’acheter, comme esclaves de tente, que des « hommes » laids !
A la page 321 , il est dit que le maitre peut affranchir une partie de son esclave (le quart, la moitié, quelques jours) . Pour ce qui est des affranchis (Elmewali), ils restent dans la lignée du maître pour grossir le nombre de la tribu. Dans Khalil, il est dit que le djihad (guerre sainte) est l’une des sources de l’esclavage, ce qui est une contradiction flagrante avec le Coran (imma memnnoun we imma bidaa).
Ainsi, l’on permet au maître, à travers cette « législation » de disposer de son esclave comme il veut, car c’est son bien, « sa chose ». Le summum de cette aberration se trouve être l’autorisation faite au maître de coucher son esclave, même quand elle est mariée ; et ce, même devant son époux de même condition qu’elle !
A la page 118 de cette propédeutique clairement avilissante, il est dit que le maître peut, à tout moment, prononcer la nullité du mariage de son esclave (homme ou femme), s’il veut le ou la vendre par exemple. Dans Khalil, le maître peut castrer son esclave pour qu’il s’assure qu’il n’aura pas de rapports avec sa maîtresse. Les mêmes craintes d’être cocu par son propre esclave poussent les maîtres à n’acheter, comme esclaves de tente, que des « hommes » laids !
A la page 321 , il est dit que le maitre peut affranchir une partie de son esclave (le quart, la moitié, quelques jours) . Pour ce qui est des affranchis (Elmewali), ils restent dans la lignée du maître pour grossir le nombre de la tribu. Dans Khalil, il est dit que le djihad (guerre sainte) est l’une des sources de l’esclavage, ce qui est une contradiction flagrante avec le Coran (imma memnnoun we imma bidaa).
IRA-France
Mohameden Ould Dah ZahafTel: +33 651828909
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