La jeunesse noire et blanche dans son ensemble ( haratine, wolof,beidhane, peulh, bambara, soninké et même les étrangers présents considéraient comme de la peste sur le sol Mauritanien) est appelée à se soulever, résister contre le régime oppresseur barbare du général qui terrorise l’ouest-africain afin d'éviter l'Ivoirisation de la Mauritanie. Les renforts des pays voisins: Maroc, Mali, Algérie et le Sénégal sont sollicités pour déguerpir l’armée. N’y-a –marre des dirigeants sans foi ni loi. Ce qui se passe en se moment, nous rappelle des mauvais souvenirs des années appelées de « braises », on a assisté en plein mois du ramadan des femmes éventrées, violées suivi de la pendaison de leurs maris devant une foule de villageois qu’on obligeait à assister à la scène de mise à mort de l’âme qui les est chère parce qu’ils étaient tout simplement des noirs. Avant chaque macabre scène, un imam passait à la lecture exhibant des passages du livre Rite Malikite signe d’adieu à se bas monde. Mois de Ramadan Avril 1989, mois de toutes les horreurs du monde alors pourquoi les imams ne se sont pas révoltés contre ces barbaries et n’ont pas dénoncé le pouvoir ? Ils ont suivi à la lettre le rite Malikite n’est ce pas ? C’est ça le malikisme, le pouvoir a le droit de vie et mort sur n’importe quel citoyen sans explication ni émotion !
Rappel du contenu livre rite Malikite
Dans ce livre que l’on voudrait « référence » à tout, on lit à la page 32 : « la femme esclave ne doit pas cacher son corps, contrairement à la femme libre, mais si son maître la possède et trouve un enfant avec elle, même sans mariage, elle doit se comporter comme les femmes de bonne extraction » (se couvrir).
Ainsi, l’on permet au maître, à travers cette « législation » de disposer de son esclave comme il veut, car c’est son bien, « sa chose ». Le summum de cette aberration se trouve être l’autorisation faite au maître de coucher avec son esclave, même quand elle est mariée ; et ce, même devant son époux de même condition qu’elle !
A la page 118 de cette propédeutique clairement avilissante, il est dit que le maître peut, à tout moment, prononcer la nullité du mariage de son esclave (homme ou femme), s’il veut le ou la vendre par exemple. Dans Khalil, le maître peut castrer son esclave pour qu’il s’assure qu’il n’aura pas de rapports avec sa maîtresse. Les mêmes craintes d’être cocu par son propre esclave poussent les maîtres à n’acheter, comme esclaves de tente, que des « hommes laids » !
Ainsi, l’on permet au maître, à travers cette « législation » de disposer de son esclave comme il veut, car c’est son bien, « sa chose ». Le summum de cette aberration se trouve être l’autorisation faite au maître de coucher avec son esclave, même quand elle est mariée ; et ce, même devant son époux de même condition qu’elle !
A la page 118 de cette propédeutique clairement avilissante, il est dit que le maître peut, à tout moment, prononcer la nullité du mariage de son esclave (homme ou femme), s’il veut le ou la vendre par exemple. Dans Khalil, le maître peut castrer son esclave pour qu’il s’assure qu’il n’aura pas de rapports avec sa maîtresse. Les mêmes craintes d’être cocu par son propre esclave poussent les maîtres à n’acheter, comme esclaves de tente, que des « hommes laids » !
A la page 321, il est dit que le maitre peut affranchir une partie de son esclave (le quart, la moitié, quelques jours) . Pour ce qui est des affranchis (Elmewali), ils restent dans la lignée du maître pour grossir le nombre de la tribu. Dans Khalil, il est dit que le djihad (guerre sainte) est l’une des sources de l’esclavage, ce qui est une contradiction flagrante avec le Coran
L’islamologue mauritanien Dr. Mohamed El-Moctar El-Shinqiti : « Se référant à des ouvrages malékits, l’islamologue mauritanien, révèle parmi ces conclusions: «On ne tue pas un musulman libre qui tue un esclave » (Taj Wal Iklil Li Mukhtasar Khalil, tome 4 p 602)». «Si un musulman libre tue un esclave, il ne devra pas être puni pour son acte » (El Kharchi, Sharh Mukhtasar Khalil, tome 8 p 3). «Aucune sanction n’est prévue contre le maître qui commet un meurtre involontaire sur son esclave. Si un esclave tu un musulman libre, ou se passe le contraire, l’esclave est par unanimité condamné à mort, mais l’homme libre doit seulement payer la moitié de la valeur de sa victime »
Diko hanoune
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