Jeudi dernier, l’esplanade de la mosquée marocaine était noire de monde aux environs de 17heures.Il y avait les militants de l’IRA et ceux du Mouvement TPMN (Touche pas à ma nationalité) ainsi que les jeunes hommes et femmes qui se réclament de la CJH (Coordination de la Jeunesse Harratine ), qui disent ne pas être membres, ni des sympathisants d’aucun parti politique, ni d’aucune ONG de défense de droits de l’homme.
Les uns et les autres sont massivement sortis pour dénoncer avec «la plus grande rigueur la campagne de diabolisation d’épuration ethnique et raciale entretenue par le régime raciste de Ould Abdel Aziz».
En effet, les différentes personnes se sont mises en l’ordre de la marche sous la bonne escorte policière et ont commencé à marcher jusqu’à la place des «Blocs rouges». Certaines scandaient ainsi des slogans hostiles au régime en place du genre le «régime de Mohamed Ould Abdel Aziz est un régime raciste, qui s’adonne à l’épuration ethnique». D’autres laissaient entendre : «Nous dénoncions avec la dernière énergie les conditions de détention de Biram Ould Dah Ould Abeid».
Dans une déclaration distribuée à la presse, la Coordination de la Jeunesse harratine avait identiquement durci le ton à l’égard du pouvoir en place. Comme en atteste son contenu : « La Coordination de la Jeunesse Harratine dénonce avec la plus grande rigueur cette campagne de diabolisation, d’épuration ethnique et raciale entretenue par la minorité d’ethno-classe Beydano-berbère par le régime de raciste de Mohamed Ould Abdel Aziz et sa clique militaire contre nos frères droit l’hommistes gardés au secret depuis la campagne de diabolisation raciste sciemment planifiée par la féodalité réactionnaire esclavagiste en vue d’écraser l’élan militantisme contre la criminalisation de l’asservissement des esclaves et des anciens esclaves».
Un plan «génocidaire» à caractère raciste
Dans la même déclaration, la CJH a dit qu’elle a appris avec désarroi et tristesse les informations parues dans le journal Le Rénovateur Quotidien du 15/05/2012 n°1305, décrivant une situation carcérale inhumaine et dégradante dont sont victimes Biram Ould Dah Ould Abeid et ses compagnons. Cette situation est un prélude du plan génocidaire à caractère raciste intelligemment planifié par le Général Mohamed Ould Abdel Aziz avec sa minorité berbérisée beydane, voulant répéter le même scénario que Maouya Ould Sid’Ahmed a perpétré contre nos cousins de rage négro-mauritanienne au cours des années 1986, 1990 et 1991.
Le Général suit les pas de son idole, mais cette fois-ci contre une autre communauté de la race noire en Mauritanie (les Harratines) A cet effet , la CJH alerte l’opinion internationale régionale et sous régionale de la gravité du projet génocidaire que la clique de Ould Abdel Aziz compter exécuter à travers des intentions racistes contre les activistes et l’élite intellectuelle de cette communauté, d’où la nécessité pour la communauté harratine d’unir ses forces et de résister contre toute éventualité infiltration de la part des agents de renseignements du système beydane».
Camara Mamady
Les uns et les autres sont massivement sortis pour dénoncer avec «la plus grande rigueur la campagne de diabolisation d’épuration ethnique et raciale entretenue par le régime raciste de Ould Abdel Aziz».
En effet, les différentes personnes se sont mises en l’ordre de la marche sous la bonne escorte policière et ont commencé à marcher jusqu’à la place des «Blocs rouges». Certaines scandaient ainsi des slogans hostiles au régime en place du genre le «régime de Mohamed Ould Abdel Aziz est un régime raciste, qui s’adonne à l’épuration ethnique». D’autres laissaient entendre : «Nous dénoncions avec la dernière énergie les conditions de détention de Biram Ould Dah Ould Abeid».
Dans une déclaration distribuée à la presse, la Coordination de la Jeunesse harratine avait identiquement durci le ton à l’égard du pouvoir en place. Comme en atteste son contenu : « La Coordination de la Jeunesse Harratine dénonce avec la plus grande rigueur cette campagne de diabolisation, d’épuration ethnique et raciale entretenue par la minorité d’ethno-classe Beydano-berbère par le régime de raciste de Mohamed Ould Abdel Aziz et sa clique militaire contre nos frères droit l’hommistes gardés au secret depuis la campagne de diabolisation raciste sciemment planifiée par la féodalité réactionnaire esclavagiste en vue d’écraser l’élan militantisme contre la criminalisation de l’asservissement des esclaves et des anciens esclaves».
Un plan «génocidaire» à caractère raciste
Dans la même déclaration, la CJH a dit qu’elle a appris avec désarroi et tristesse les informations parues dans le journal Le Rénovateur Quotidien du 15/05/2012 n°1305, décrivant une situation carcérale inhumaine et dégradante dont sont victimes Biram Ould Dah Ould Abeid et ses compagnons. Cette situation est un prélude du plan génocidaire à caractère raciste intelligemment planifié par le Général Mohamed Ould Abdel Aziz avec sa minorité berbérisée beydane, voulant répéter le même scénario que Maouya Ould Sid’Ahmed a perpétré contre nos cousins de rage négro-mauritanienne au cours des années 1986, 1990 et 1991.
Le Général suit les pas de son idole, mais cette fois-ci contre une autre communauté de la race noire en Mauritanie (les Harratines) A cet effet , la CJH alerte l’opinion internationale régionale et sous régionale de la gravité du projet génocidaire que la clique de Ould Abdel Aziz compter exécuter à travers des intentions racistes contre les activistes et l’élite intellectuelle de cette communauté, d’où la nécessité pour la communauté harratine d’unir ses forces et de résister contre toute éventualité infiltration de la part des agents de renseignements du système beydane».
Camara Mamady
le-renovateur
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