Clémence à Dieu, l'unique et l'éternel : le commandant de cercle de la circonscription du TRARZA ; Moussa Charbonnier dont la photo apparaît à mon coté gauche et à droite de l'émir du trarza Ahmed salim ould brahim Salim l'un des émir du Trarza, m'avait demandé de lui publier une vue succincte sur les esclaves renfermant leur sort, leur situation dans la juridiction musulmane et le droit coutumier qui. leur est appliqué et de lui donner la documentation existante dans le livre saint (le Coran), la Suna et dans les pratiques coutumicres de la société ancienne. Répondant à sa demande comme me le demande la religion qui m'impose la soumission au détenteur du pouvoir afin qu'il la regarde et que ceux qui y réfléchissent y trouve une source d'inspiration.
Je dis et le dieu l'appui sur lui on s'appui : « les esclaves et les libres se différencies dans notre religion dans plusieurs choses révélées dans le coran , dans la Suna et les livres de la jurisprudence Malékitte notamment dans l'abrégée de Khalil et ses explieateurs, parmi ceci la possibilité pour les maitres d'utiliser un groupe infini et sans limite de ses servantes sexuellement contrairement aux elharayir ( femmes libres mauresques blanches ) dont seules quatre peuvent être unie dans un foyer ; encore il est permis aux hommes libres de regarder le corps et la nudité ( de la poitrine , de la tète, des jambes) de sa servante par contre il ne l'est pas pour une mauresque, ensuite l'obligation de la Zakatt, et du pèlerinage sur l'homme libre par contre l'esclave ceci lui est interdit, la IDA (l'indisposition) de la femme libre est de 3 mois et la femme esclave de 2 mois ; l'esclave n'est pas responsable du mariage de ses filles et ses fils dont seul le maître décide de leur sort et même s' ils sont affranchi s'est toujours le maitre qui en décide de leur situation, l'esclave et ses descendants n'héritent pas les biens de leurs parents qui reviennent au maitre, une femme libre qui se marie à un esclave par méconnaissance a le choix de casser le mariage, l'esclave quelque soit sa droiture et son honnêteté est exclu du témoignage , la possibilité au maitre de prendre les bien de son esclave même sans son consentement et en fin quant un maure tue un esclave celui-ci ne peut être tué à sa place dans notre religion et que l'esclave est toujours de couleur noire ».
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