Nous avons
lu l’éditorial du journaliste Camara
Seydi Moussa directeur Nouvelle
Expression sur CRIDEM sous le titre « Oui je suis raciste, mais pas
lâche ». L’homme vient de débarquer
fraichement d’un voyage en Europe, précisément la France nous a fait un
réquisitoire sans appel très édifiant sur le caractère phénoménal de la
profondeur de l’hypocrisie certains
Mauritaniens. Ces perroquets du net cherchent à banaliser certainement des mots
qui ont un sens extrêmement grave :
« raciste, xénophobie, negrophobie, arabophobie etc… » Ce qui est
très regrettable, cela se passe au nez et la barbe de tous sans vraiment soulever des
réactions dignes des grands intellectuels que comptent le pays désormais tristement
célèbre par son million de
pokers-menteurs. L’excès de zèle se manifeste le plus souvent quand un auteur
dit la vérité, surtout quand elle est gênante, dérangeante et tranchante comme
le sabre. Serait-il possible de parler vrai sans se faire laminer, insulter,
haïr, se faire cracher dessus par les
houliganes cagoulés qui n’ont le culot de s’identifier ? Il suffit de
défendre les victimes d’injustices diverses sur le sol Mauritanien pour
déclencher leur hérésie certainement héréditaire haineuse incontrôlable sans
raison. Que vous soyez Maure Blanc, Haratine, Haalpoular, Soninké ou Oulof, ils
ne vous louperont pas. Ces anonymes sont ils identifiables dans la fonction
publique au cœur des sales draps ? Depuis quand dénoncer une injustice est
synonyme de racisme, extrémisme et j’en passe ? Le comportement de
certains mauritaniens laissent entendre qu’ils
trouvent le plaisir de voir leurs voisins souffrir en ricanant d’ autant plus
ils n’ont pas honte de chanter qu’ils sont bons musulmans nom Dieu! Curieusement
ils sont plus affectés sur des choses qui se passent en dehors de nos
frontières qu’à l’intérieur du pays. Aï, Pitié ne m’insultez pas Mesdames,
Messieurs, le mensonge aboie, la vérité passe, …………. Fin
Le Bâtard
Ould Sainteté
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