Certains policiers confirmeront que
leur hiérarchie a été saisie aussitôt de cette affaire pour démentir l’info,
apparemment la communication venait d’en haut pour brouiller les pistes.
D’ailleurs certains policiers ont témoigné selon eux qu’aucun membre de leur
corps n’a le droit et le pouvoir de recenser qui que ça soit. Leur rôle se
limite juste au maintien de l’ordre en assurant la sécurité des locaux. Le
directeur de l’état civil et le pouvoir du fou faux général Aziz trouvent qu’il
y a trop de noirs recensés, donc il faudra baisser le nombre « chiffre »
de citoyens noirs afin de dégager une majorité arabe dans le pays. Certaines
personnalités au sommet de l’état très proches du général ont tout simplement
demandé de supprimer dans les registres de l’état civil en cours ceux qui ont quitté l’Europe, Etats-Unis et
ailleurs dans le monde pour se recenser sur place en Mauritanie. Ces gens
seront remplacés par les réfugiés Touaregs du Mali sur le territoire
Mauritanien et des Sahraouis. L’affaire agite la police Mauritanienne qui a vu
son image se dégradé de plus en plus suite aux multiples meurtres, viols et la
montée de la délinquance dans la capitale Nouakchott. Affaire à suivre, si le
peuple Mauritanien ne bouge pas dans son ensemble, on payera les pots cassés
très chers.
Merci
Diko
hanoune
Ci-dessous l’article en question incriminant la
police :
Des policiers à la tête d’un vaste réseau de
falsification de pièces d’état-civil
Les autorités sécuritaires ont dévoilé l’existence
en Mauritanie d’un vaste réseau de falsification des pièces d’état-civil dirigé
par des policiers travaillant dans les centres où ce scandale a été découvert.
Et selon les sources particulières d’El Hourriya,
le commissariat de la police judiciaire a transféré, jeudi dernier, un groupe
de policiers dont un travaillant dans un centre d’état civil à Dar Naim et
accusé d’avoir falsifié un certificat de recensement au profit d’un citoyen
algérien qui a ainsi pu obtenir un passeport mauritanien. Tous les
membres du groupe ont été envoyés à la prison civile de Nouakchott jeudi
dernier.
Au même moment, le commissariat de police n°1 de
Teyarett poursuit les investigations avec un autre groupe dirigé par un
brigadier chef qui était membre d’un bureau d’enrôlement dans la moughataa du
Ksar. Ceux-ci sont accusés d’avoir falsifié des papiers pour des ressortissants
sénégalais et maliens.
Les investigations en cours pourraient dévoiler un
vaste réseau qui a des ramifications dans d’autres centres d’enrôlement.
Source : Elhouriya : http://elhourriya.net/fr/fait-divers/8678-mauritanie.html
Réaction: Abdoulaye Baba Sy
Réaction: Abdoulaye Baba Sy
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