Le mouvement
politique Flam après avoir fêté tout juste ces 30 ans, les dirigeants de ce mouvement ont aussitôt éteins la flamme
de l’espoir comme ils aiment le dire des négro-africains opprimés. Les
flamistes disent à qui veut les entendre qu’ils sont les premiers à payer le
prix fort du racisme d’état, seulement après 25 ans d’exil, les voici à quatre
pattes dans le bureau du président Ould Abdel Aziz pour se repentir de leurs
mensonges internationaux certainement
ayant refusé la main tendue d’un président civil qui a été élu démocratiquement
Sidi Ould Cheikh Abdallahi. Faut-il en rire ou pleurer ? Le président Aziz
est un lion blessé, les Flam se sont des
noirs vexés, alors l’association de ces deux extrêmes têtes brulés très amères nous
emmènent à se poser la question : « Dessein d’un nouveau génocide en
cours à qui le tour » ? Depuis l’annonce de la rencontre Aziz-Flam,
le ciel s’est assombri brusquement sur la
tête des mauritaniens de toutes les couches confondues au point même les
éclaires sont devenus invisibles. Ça fait trois ans qu’ils disent vouloir
aller se battre auprès des victimes sur le terrain, seulement la
priorité n’a pas été d’aller à la rencontre
des victimes, ni l’opposition mais du président Mohamed Ould Abdel Aziz pour
demander selon le communiqué de leur porte parole Kaaw Touré depuis
Stockholm :« Les échanges
francs et respectueux entre les parties ont porté, d'une part, sur la situation
sociale, politique et économique du pays, et d'autre part, sur les
préoccupations de sécurité et de liberté des Flam et de leurs militants. »
Ceux qui ne sont pas militants flamistes, sont ils concernés par leurs
demandes sociales et sécuritaires qui
ont été émises au président Aziz lors de
cette rencontre ? Seuls les militants flamistes sont-ils concernés donc toi
le mauritanien lambda, débrouille toi Madame et Monsieur. N’est ce pas
scandaleux et honteux de la part d’un mouvement qui se targue d’être
avant-gardiste de tout le temps? Le bilan de se mouvement est très maigre
en résultat positif, il se résume rapidement que leur militantisme se passe sur
un désordre notoire et dans l’incohérence parfaite avec ce qu’ils prétendent
être réellement. Des flamistes disent
avoir subis des exécutions des membres de leurs familles, ils ont été torturés,
expulsés et ainsi de suite. Des avions chargeaient de flamistes en direction
d’Etats-Unis, D’Europe et ailleurs dans le monde ont été constaté, curieusement
aucune plainte de se mouvement n’a été enregistré contre l’état Mauritanien à
plus forte raison contre le premier homme qu’ils désignent comme responsable Maouwia
Ould Sid’ahmed Taya. Peut-on se résoudre à l’idée qu’ils sont partis
orgueilleux et revenus bredouilles pour demander pardon à l’état Mauritanien en
mentant allègrement aux déportés et les familles des victimes dont ils sont
toujours orgueilleux consciemment d’être à l’origine du conflit qui a emporté
des innocents en 1987-1989-1990-1991 ? Nous constatons que certains barons
du mouvement ne laissent personne prononcer un mot sans lui sauter dessus en la
signifiant qu’elle est militante de la 25ème heure, pourtant le
constat est là, quand on voit l’ardeur avec la quelle leurs militants attaquent
les haratins, on prend vite congés de ce mouvement. Il n’est nullement
admissible de dénoncer de la féodalité chez eux, nous connaissons certaines
personnes qui étaient très proches du mouvement aujourd’hui qu’ils veulent leur
mort à cause de leur lutte contre la féodalité négro-africaine qu’ils refusent
de dissocier de l’esclavage. Selon certains Haalpoular, ce mouvement est
constitué du concentré noyau dur de la féodalité noire qui existe dans le pays.
Ils sont peu ouverts, pas tolérant du tout et des eternels vexés-complexés.
Après la rencontre Aziz-Flam, à quoi doit s’y attendre les
Mauritaniens ? Des langues se délient dans les salons feutrés. Les
panarabistes « Bassistes-Nacesseristes » sont très dessus du
président Aziz alors sommes nous de retour dans l’ère des putschs ?
D’autres mauritaniens disent
comprendre cette rencontre fut un piège mortel dans le sens politique tendu par
les conseillers au président pour précipiter sa chute. Qui croire dans ces
rumeurs ? Nommes-nous dirigés par un président détesté par ses propres conseillers,
si c’est le cas, c’est cas même grave et la situation est dangereuse. Un
militant des droits de l’homme d’un mouvement négro-africain nous avouera que
si c’était Biram Ould Dah qui avait rencontré le président aujourd’hui, ces mêmes
flamistes seraient les premiers à le maudire en crachant sur tout ce qui est
haratin dans le pays et c’est dommage. Il ajoutera comme conclusion, « Espérons
que c’est juste une Bourde difficilement consommable pour nous les haalpoular
puisque nous ne savons plus vers qui se tourner. Ibrahima Sarr, Kane Hamidou
Baba, Ballas Somas, Abdoul Wane et les autres sont tous passés par là mais ils
n’ont rien obtenus et les flam viennent les emboiter le pas. Vraiment
regrettable, ils ont oublié tout ce que l’état les a fait, dans ce pays tous
les noirs nationaux ou étrangers vivent tous dans l’insécurité, Ibrahima Mifo n’a
rien demandé à part la sécurité des militants flamistes alors on lui souhaite
la bienvenue dans la loi de la jungle des injustices»
Espoir Ould déception
Union de tous les Mauritaniens, notamment de ceux qui s'estiment asservis ou le sont réellement, pour faire advenir la démocratie, seule voie de réunir tout le monde et d'abolir discriminations et pire
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