Dénoncer le racisme me fait passer pour raciste aux yeux des
commentateurs sur un prestigieux site d’informations et dans bien
d’autres sites non moins
importants.
Ces individus, qui se cachent derrière l’anonymat pour participer au débat à leur manière, n’hésitent pas à verser dans le propos haineux et le discours déshonorant, rappelant – s’il en était besoin – que l’anonymat au service de l’insulte et de la calomnie est la marque déposée des lâches et des tirs-au-flancs.
Des poltrons sans apport constructif pour un débat dépassionné pour le bien du pays. Des déficients mentaux avec des positions et des analyses versatiles déversées contre l’intérêt commun des Mauritaniens.
Pour ces individus nourris à la bile et au cholestérol mal maîtrisé, Camara Seydi Moussa est un mécontent ; et même un raciste. Oui, je suis mécontent du comportement honteux de certains de mes compatriotes.
Oui je suis raciste contre tous ceux dont la vision se limite à compartimenter, sens dessus-dessous et de la plus mauvaise des manières, la Mauritanie en races et en communautés, car moi je suis pour une Mauritanie plurielle ; et ceci est mon combat. C’est dire que ma Mauritanie à moi n’est pas celle des flagorneurs et des hypocrites. Dans ma Mauritanie, il ne peut y avoir de place que pour ceux qui craignent Dieu, aiment leur prochain, se soucient du devenir commun.
Et Allah Soit Loué ! Ils sont nombreux, même si les clameurs et les vociférations de la horde qui a mis en coupe réglée le pays veut noyer sa noble voix. Oui, je suis raciste parce que je dénonce le racisme de ceux qui, après avoir précipité mon pays dans le gouffre des incertitudes, veulent encore le mener dans les récifs d’une mer de plus en plus agitée. Ma Mauritanie est blanche, ma Mauritanie est noire, ma Mauritanie est multicolore, ma Mauritanie est arc-en-ciel.
Que ceux qui ne sont pas contents de ma Mauritanie et qui se sentent morveux se mouchent. Le chien de la discorde aboiera à l’infini, la caravane de ma Mauritanie, héritière de Sijilmassa, de Koumbi-Saleh, du Tekrour, des Mourabitounes, des Emirats et des Almaamis disparus, continuera son bonhomme de chemin.
Je suis fier, je suis honoré de mon racisme contre ceux qui ne veulent pas l’égalité des citoyens en droits et en devoirs ; ceux qui n’ont de cesse d’instaurer une Mauritanie d’enhaut et une Mauritanie d’en bas ; ceux qui troquent la belle Mauritanie, pays profond, contre une Mauritanie des profondeurs tout aussi fangeuses que nauséabondes. Non et non !
Je ne partage rien, et ne veux absolument rien partager, avec cette légion sournoise qui parle d’Etat de droit le jour mais prône le tribalisme, le régionalisme au crépuscule et cultive l’exclusion et l’esclavage la nuit. Si être contre ce genre d’individus, c’est cela être raciste, moi Camara Seydi Moussa, je clame haut et fort, sur la montagne du Kédia d’Ijil et sur les contreforts de Kankossa que je suis raciste et que j’en suis fier…
Qu’il me soit permis ici de dire que je mène mon modeste combat à visage découvert et les yeux ouverts. Sans faux-fuyants ni formules alambiquées ; loin du comportement de ceux qui s’abritent derrière l’anonymat du clavier pour répandre leur venin et empuantir l’atmosphère d’une Mauritanie qui veut vivre en paix et ensemble.
Une Mauritanie plurielle et fraternelle où on ne parlera plus de cohabitation mais de symbiose; où chaque fils et fille du pays se sentira digne et honorable. Oui je suis raciste mais pas lâche. Si être raciste c’est dénoncer le Soninké féodal et égocentrique, le Halpulaar féodal et sectaire, le Beydhane esclavagiste et hypocrite, le Wolof féodal et insensible, le Haratine tricheur et orgueilleux, le Bambara désabusé et qui a renoncé, alors JE SUIS RACISTE.
Car je ne vois pas d’avenir pour une Mauritanie d’injustice, une Mauritanie d’esclavage, une Mauritanie d’exclusion, une Mauritanie où les chauvins tiennent le pompon; où le vol est célébré, le mensonge élevé au rang de courage et où les lâches, les médiocres et les applaudisseurs sont promus.
Oui, je suis raciste car je suis un cadavre ambulant qui incommode les narines de ces bons vivants qui nous volent, nous violent, nous tuent. Je suis raciste car je suis un faible qui refuse la résignation. Je suis raciste car je ne désespère pas d’une Mauritanie qui quittera sa station de 4 pattes pour se tenir, enfin, sur ses deux jambes comme toutes les nations qui se respectent et qui sont respectées. Vive la Mauritanie des racistes qui l’aiment et qui aiment leurs semblables !!
CSM
Ces individus, qui se cachent derrière l’anonymat pour participer au débat à leur manière, n’hésitent pas à verser dans le propos haineux et le discours déshonorant, rappelant – s’il en était besoin – que l’anonymat au service de l’insulte et de la calomnie est la marque déposée des lâches et des tirs-au-flancs.
Des poltrons sans apport constructif pour un débat dépassionné pour le bien du pays. Des déficients mentaux avec des positions et des analyses versatiles déversées contre l’intérêt commun des Mauritaniens.
Pour ces individus nourris à la bile et au cholestérol mal maîtrisé, Camara Seydi Moussa est un mécontent ; et même un raciste. Oui, je suis mécontent du comportement honteux de certains de mes compatriotes.
Oui je suis raciste contre tous ceux dont la vision se limite à compartimenter, sens dessus-dessous et de la plus mauvaise des manières, la Mauritanie en races et en communautés, car moi je suis pour une Mauritanie plurielle ; et ceci est mon combat. C’est dire que ma Mauritanie à moi n’est pas celle des flagorneurs et des hypocrites. Dans ma Mauritanie, il ne peut y avoir de place que pour ceux qui craignent Dieu, aiment leur prochain, se soucient du devenir commun.
Et Allah Soit Loué ! Ils sont nombreux, même si les clameurs et les vociférations de la horde qui a mis en coupe réglée le pays veut noyer sa noble voix. Oui, je suis raciste parce que je dénonce le racisme de ceux qui, après avoir précipité mon pays dans le gouffre des incertitudes, veulent encore le mener dans les récifs d’une mer de plus en plus agitée. Ma Mauritanie est blanche, ma Mauritanie est noire, ma Mauritanie est multicolore, ma Mauritanie est arc-en-ciel.
Que ceux qui ne sont pas contents de ma Mauritanie et qui se sentent morveux se mouchent. Le chien de la discorde aboiera à l’infini, la caravane de ma Mauritanie, héritière de Sijilmassa, de Koumbi-Saleh, du Tekrour, des Mourabitounes, des Emirats et des Almaamis disparus, continuera son bonhomme de chemin.
Je suis fier, je suis honoré de mon racisme contre ceux qui ne veulent pas l’égalité des citoyens en droits et en devoirs ; ceux qui n’ont de cesse d’instaurer une Mauritanie d’enhaut et une Mauritanie d’en bas ; ceux qui troquent la belle Mauritanie, pays profond, contre une Mauritanie des profondeurs tout aussi fangeuses que nauséabondes. Non et non !
Je ne partage rien, et ne veux absolument rien partager, avec cette légion sournoise qui parle d’Etat de droit le jour mais prône le tribalisme, le régionalisme au crépuscule et cultive l’exclusion et l’esclavage la nuit. Si être contre ce genre d’individus, c’est cela être raciste, moi Camara Seydi Moussa, je clame haut et fort, sur la montagne du Kédia d’Ijil et sur les contreforts de Kankossa que je suis raciste et que j’en suis fier…
Qu’il me soit permis ici de dire que je mène mon modeste combat à visage découvert et les yeux ouverts. Sans faux-fuyants ni formules alambiquées ; loin du comportement de ceux qui s’abritent derrière l’anonymat du clavier pour répandre leur venin et empuantir l’atmosphère d’une Mauritanie qui veut vivre en paix et ensemble.
Une Mauritanie plurielle et fraternelle où on ne parlera plus de cohabitation mais de symbiose; où chaque fils et fille du pays se sentira digne et honorable. Oui je suis raciste mais pas lâche. Si être raciste c’est dénoncer le Soninké féodal et égocentrique, le Halpulaar féodal et sectaire, le Beydhane esclavagiste et hypocrite, le Wolof féodal et insensible, le Haratine tricheur et orgueilleux, le Bambara désabusé et qui a renoncé, alors JE SUIS RACISTE.
Car je ne vois pas d’avenir pour une Mauritanie d’injustice, une Mauritanie d’esclavage, une Mauritanie d’exclusion, une Mauritanie où les chauvins tiennent le pompon; où le vol est célébré, le mensonge élevé au rang de courage et où les lâches, les médiocres et les applaudisseurs sont promus.
Oui, je suis raciste car je suis un cadavre ambulant qui incommode les narines de ces bons vivants qui nous volent, nous violent, nous tuent. Je suis raciste car je suis un faible qui refuse la résignation. Je suis raciste car je ne désespère pas d’une Mauritanie qui quittera sa station de 4 pattes pour se tenir, enfin, sur ses deux jambes comme toutes les nations qui se respectent et qui sont respectées. Vive la Mauritanie des racistes qui l’aiment et qui aiment leurs semblables !!
CSM
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