Comment en finir avec les mensonges d’état en république islamique de Mauritanie ? Les choses tournent très mal selon les informations alarmantes qui nous parviennent au compte goute. Ils sont quatre plus les victimes sous séquestration de Bouboutt Dieng, commandant de la gendarmerie D’Ain-Fara, une ville située dans la commune de Tintane à 800 Km de la capitale Nouakchott. Ils ont tout laissé à Nouakchott avec la ferme volonté de porter assistance et de libérer des enfants mineurs sous le joug de l’esclavage primitif, l’esclavage antique des Ehl Khanvour. Malheureusement, ils se retrouvent séquestrer, jeter en prison sans aucun motif ni explication et ils ont entamé une grève de faim, la seule carte qui les reste à battre pour de se faire entendre face à des gendarmes indifférents, ignorant l’application de la loi incriminant l’esclavage. Comment peut-on croire , où faire confiance au général Mohamed Ould Abdel Aziz, un fou furieux perpétuellement déchainé contre les militants des droits de l’homme, en ébullition constante niant publiquement l’esclavage à chaque sortie pour protéger les maitres d’esclaves dont il est issu. Cet homme nous nargue avec des propos d’un chef de gangs des proxénètes d’esclaves « n’est esclave que celui qui veut l’être » sans remord. Dès les premières heures de leur séjour en cellule, les menottes sont serrées au point fixe maxi jusqu’à l’os dur durant des heures, sous prétexte l’ordre vient d’en haut selon les propos des gendarmes afin que la ville Ain-Farba entend les hurlements des militants abolitionnistes qu’ils considèrent comme des terroristes. Ils se sont tous évanouis, terrassés par la douleur et ont saigné du sang. Qui sont-ils ?
- Lehbouss Ould Omar, travaillant dans le commerce
- Ely Ould Ravaa, professeur vacataire à l’université de Nouakchott
- Ell Mehdy Ould Lemrabott, journaliste
- Abdallahy Abou Diop, photographe
- Ely Ould Ravaa, professeur vacataire à l’université de Nouakchott
- Ell Mehdy Ould Lemrabott, journaliste
- Abdallahy Abou Diop, photographe
Le zèle avec lequel, les autorités Mauritaniennes gèrent les cas d’esclavages, est tout simplement déconcertant mais aussi révoltant. Les arguments se suivent et se ressemblent, ils se reposent sur le fait, l’ordre nous vient d’en haut et nous n’avons d’autres choix que de vous torturer et humilier etc…. Tout ça sur les mêmes motifs fallacieux et bidon troubles à l’ordre public. Nous ne pouvons plus laisser faire, nous sommes au 21 ème siècle, apparemment la Mauritanie descend au fond du trou moyenâgeux avec la ferme volonté soldatesque. Nous disons non, les habitants Ain Farba doivent botter dehors immédiatement cette brigade de gendarmerie pour montrer leur désapprobation totale de cette l’escalade de violence gratuite sur des militants abolitionnistes pacifiques. Une délégation de L’IRA-Mauritanie est en route vers les lieux, ils seront accueillis certainement avec des menottes dès qu’ils arrivent donc il y a urgence de se mobiliser.
Écoutez en direct Le témoignage Lahbouss Ould Oumar très affaiblie sous l’effet de la torture et la grève de faim sur ce lien ci-dessous:
Diko hanoune
Articles
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire