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jeudi 5 janvier 2012

Biram Ould Dah Ould Abeid échappe de très peu à un l’assassinat prémédité.


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Hier Mercredi 4 Janvier 2011 dans l’après midi entre 14h et 16h, nous avons échappé de peu au début de cette nouvelle année 2012, à un drame national qui allait sombrer certainement  la Mauritanie dans un spirale de violence sans précédente. Lors d’une manifestation de soutien à l’opposant Moustapha Ould Limam Chafi qui est frappé par un mandat d’arrêt international injustement, organisée par son comité de soutien à l’intérieur, un policier armé en civil reconnu par plusieurs témoins selon nos informations, un maure blanc qui  exerçait dans la très contestée brigade de mineure, haut lieu de contestation des militants abolitionnistes pour introduire les dossiers  de plaintes sur la pratique d’esclavage des enfants mineurs. Le policier s’est faufilé en douceur au milieu de la foule pour tenter d’atteindre sa cible Biram Ould Dah Ould Abeid président IRA-Mauritanie, au moment où il s'apprête à vider son arme sur Biram, la garde rapprochée  le maitrise très rapidement  et la foule se jette à son tour sur l’individu pour le lyncher. La police qui semble être au courant du macabre projet vient très rapidement à la rescousse de l’individu et le fait disparaître avec son arme. Les militants abolitionnistes insistent  auprès de la police en se moment pour retrouver l'homme et une forte tension persiste entre les deux parties. Malgré tous les efforts consentis par la police pour libérer un homme qui a tenté de commettre un assassinat en public, ils ont laissé l’étui de l’arme à la foule en colère. Le danger de l’assassinat du président IRA-Mauritanie  guette et disons que ce n’est qu’une partie remise de ces assassins officiels de la république islamique des généraux Maures. Il est du devoir de chaque Mauritanien de veiller à la sécurité de Biram Ould Dah Ould Abeid et de tous les opposants qui sont dans la ligne des couloirs de la mort du pouvoir dictatorial du général Assassin Mohamed Ould Abdel Aziz. Il y a urgence, le danger est là sérieux, n’attendons pas la dernière minute pour pleurer avec un si grand risque de guerre civile qui menace le pays d’éclater. Sachez chers compatriotes, ces faux généraux assassins cherchent à prolonger  la longévité de leur pouvoir en installant la peur, le terrorisme, et une criminalité officielle coûte que coûte en divisant le peuple donc voila une belle occasion de les  dire non, non, non, non et niet.
 
La lutte continue surtout veillons les uns sur les autres.

Diko hanoune

7 commentaires:

  1. C'est un fait très grave qui doit pousser les ong des droits de l'homme à agir vite.

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  2. La police qui semble être au courant du macabre projet vient très rapidement à la rescousse de l’individu et le fait disparaître avec son arme.

    ils ont laissé l’étui de l’arme à la foule en colère.
    ............................................
    Ne voyez- vous pas que ces deux phrases sont en contradiction avec votre derniere photo ou l'on voit le presume policier remettre tranquillement son arme dans son etui.
    Reflechissons toujours avant d'ecrire.Je ne prends pas la defense de qui que ce soit.Mais je n'accepte pas qu'on nous fasse avaler des couleuvres. Merci

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  3. Vous dites couleuvres Monsieur? Ton problème est ailleurs? La police a bien extirper l'auteur du tentative d'assassinat laissant son l'étui de son l'arme est resté. Les images sont disponibles dans d'autres sites en arabe, la preuve sur ce lien:http://taqadoumy.com/
    Pourquoi l'arme a disparu Monsieur le connaisseur de couleuvres? Vous étiez sur le lieu pour démentir l'info ou donner une autre version des faits? On vous écoute! Et l'enregistrement sono-audio ne vous parle pas? Le couac des couleuvres réside chez vous, vous qui tente de minimiser une situation de meurtre.Et si vous étiez à la place de biram, son entourage,etc..qu'allez vous répondre à votre commentaire sans tête ni queue.Vous trop fort, vous cherchez le poux sur le crane ragé , chapeau..

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  4. Tous les Mauritaniens doivent se lever pour combattre l'impunité qui gangrène notre société. Si Ould Taya et ses sbires avaient été jugés, si ceux qui ont torturé, assassiné de 1985 à 1992 des innocents, déporté des villages entiers, brulé des gens dans leurs cases,violé des femmes et des filles de moins de 8 ans, aujourd'hui,auucun n'aurait jamais osé tenter d'assassiner un individu, même inconnu.

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  5. Merci d'avoir publié ce commentaire, puisse Allah nous préserver tous. Bonne et heureuse année de paix, de solidarité entre maures et noirs, prospérité pour tous les musulmans. Allah, nous dit que nous devons aimer notre semblable autant que nous même.
    Aussi, à retenir que notre différence est complémentaire, est un enrichissement. Si nous étions tous noirs ou tous blancs, nous aurions trouvé une autre cause de conflit. Les Woutous et les Toutssis sont tous noirs, le Khmers rouges et les autres Vietnamiens sont tous jaunes.....Réfléchissons...

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  6. Au commentateur no 3 je dis:

    Gardez votre sang froid. Je n'ai pas parlé de Biram. Je n'ai pas minimisé, non plus, la situation. Vous avez essayé de jouer sur le mot "couleuvres", mais malheureusement vous aviez été très maladroit. C'est un exercice que vous n'avez pas maîtrisé.
    Je vais vous expliquer ce que j'ai dit, espérant que vous prenez le temps de le lire avant de répondre par un vocabulaire qui reflète peut-être votre subconscient :tête-queue-poux…
    Extrait de l'article:
    "La police qui semble être au courant du macabre projet vient très rapidement à la rescousse de l’individu et le fait disparaître avec son arme".
    Puis:
    ."ils ont laissé l’étui de l’arme à la foule en colère"
    Au niveau de la dernière image (plus haut)
    Ouvrez bien vos yeux si vous en avez.
    Le bonhomme en question est en train de nettoyer son étui et son arme la-dans bien après que les gardes de corps l'avait lâché
    Pour information ,sachez que je n'ai pas de problèmes " El hamdoullilahi"
    N'y a-t-il pas une contradiction entre les deux phrases citées plus haut? Si vous ne le percevez pas ,faites vous aider.

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  7. si vous regardez bien l'image l'homme qui est armé est un garde il a le méme pull-over sous son boubou(darra) que celui de la garde nationale
    ce qui passe en Mauritanie c'est tristement rééll

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