Ain Farba : L’ira traque les esclavagistes, La réponse du Docteur Sy Ousmane

 

Non ce n’est pas un conte mais une histoire vrai qui  ce passe à Ain Farba au centre -Est de la Mauritanie : Encore un cas d’esclave et encore un Etat qui protège les esclavagistes  

Actuellement il se joue à Ain Farba une localité du département de Tintan au centre-Est de la Mauritanie (une partie qui devrait figurer dans les insolites si nous n’étions pas dans la réalité).

Car il s’agit bien d’une anecdote digne de l’âge des pierres  qui se passe 21^éme siècle ou les hommes sont censés être assez civilisés. En effet un cas triste d’esclavage s’est déclaré dans la localité de Agharhar donc le chef lieu ou se trouve la gendarmerie est Ain Farba, Mr. Lemine Ould Mbarek Ould Laghdaf un ancien esclave de la famille Khanfour  à demander l’aide d’IRA-Mauritanie pour libérer ses frères  qui sont restés esclaves de ses derniers car étant  encore des mineurs et ne pouvant pas se libérer. Il s’agit des jeunes Taleb Jidou, Mohamed El Moctar et leur sœur Aynna Mint Mbarek.

Comme à l’accoutumée IRA à envoyer des émissaires pour conseiller le plaignant et l’aidé à libérer ses frères. Mais à leur arrivé ils  ont été froidement accueilli par les autorités qui les ont proposé d’attendre à Ain Farba tandis que l’adjudant Bouboutt Dieng accompagné de ses brigadiers partirons chercher les frères du plaignant à El Khanfour ce qu’ils ont  acceptés sous condition que l’adjudant respecte les procédures en vigueurs.

Mais à son arrivé à El Khanfour Mr Adjudant  sont parties voir la famille esclavagiste et ont passé la journée a profité des  « largesses » de la famille. Ils avaient pris la peine de confisquer le téléphone du plaignant pour qu’il ne prévienne pas les émissaires d’IRA. Le comble de tout est qu’ils ont aussi profité de cette occasion pour intimider la grande sœur des plaignants pour qu’elle apporte un démenti  aux propos de ses jeunes frères.

Au même moment les émissaires d’IRA n’en pouvaient plus d’attendre l’adjudant.  L’adjudant et ses hommes finirent qu’a même de revenir   mais sans les plaignants, mais avec d’autres idées dans la tête (ce qui n’est pas une surprise) qui est de mettre  en garde à vue les émissaires d’IRA pour des raisons inconnus.

Mal traité et humilier  les émissaires  El Mehdi ould Lemrabott, le Dr Ely ould Ravee, Lehbous ould Omar et  Abdallahi Abou Diop ont entamé une grève de la faim pour  qu’on les explique le crime qu’ils ont commis, actuellement leurs état de santé ne cessent de se détérioré. Cette situation est une preuve de plus que l’état Mauritanien soutien les esclavagistes. Notons que l’esclave  est pourtant un crime dans les textes de lois de notre pays.

Aujourd’hui nos dirigeants dans leurs refus de traduire en justice la famille Akhfour et d’aidé les anciens esclaves dans le quête de liberté ce mettent dans une situation inacceptable.

Notre camarade Lehbous Oul Omar nous a fait pas de leurs traduction  devant la justice aujourd’hui (Dimanche 15 Janvier) apres avoir fait une grève de la faim pour exiger justice, nous espérons que les autorités de notre pays ne vont pas « donner l’ordre » de ne pas rendre la vrais justice, qu’elle aidera conformément à la loi au jeune Lemine Ould Mbarek Ould Laghdaf  a libéré ses jeunes frères et sa jeunes sœurs.

Dr. Ousmane Sy 

 

Ain Farba : L’ira traque les esclavagistes

 Si dans les grandes métropoles mauritaniennes, les pratiques d’asservissement et d’exploitation outrancière ne se font plus au grand jour, en raison de la psychose qui a gagné les milieux esclavagistes depuis l’emprisonnement de certains d’entre eux, sous les pressions persistantes de l’Ira sur les autorités, toujours mal engagées dans la criminalisation de ce phénomène, certaines familles pensent être à l’abri de toute traque des militants de l’organisation, dans le pays lointain.
Mais, à leur grande surprise, l’Ira réussit grâce à ses ramifications à garder l’œil vigilant sur tout manquement à la loi, prête à attirer l’attention de l’administration nonchalante sur les cas esclavagistes dont le plus récent a été découvert à Ain Farba
Evoquant cette nouvelle affaire d'esclavage, que l’Ira accuse les autorités de tenter de blanchir les auteurs, l’organisation indique avoir dépêché une délégation à Ain Farba, dans le département de Tintane dans la wilaya du Hodh Gharbi, qui observe actuellement (mercredi 11 janvier) un sit-in dans les locaux de la Brigade de gendarmerie de cette localité.
L’Ira estime que le commandant de Brigade de Ain Farba, l’Adjudant Boubout, vraisemblablement au parfum de l’arrivée de sa mission, aurait jouer sur le temps pour camoufler cette affaire d’esclavage avérée, indiquant qu’il ne cesse d’intimider ses militants et qu’il aurait même porté la main sur le journaliste rédacteur en chef de « elmuchahid .net », qui accompagne la délégation. « Le commandant est en train de chercher a convaincre le plaignant de laisser tomber cette affaire au lieu d’aller chercher les esclavagistes et les victimes » ajoute qui dans son rappel des faits estime que tout a commencé quand Med Lemine Ould Mbarek Ould Laghdhaf est venu demander à cette organisation de l’aider à libérer ses deux frères(mineurs) Taleb Jidou et Mohamed El Mokhtar, et sa sœur (mineure) Aynna mint Mbarek, « tous tenues en esclavage par Mohamed Nouh Ould Khanfour et son épouse Louty mint Gardy qui habitent dans la commune de Agharghar » affirme l’Ira.
Devant ce nouveau cas, Ira dit mettre en garde contre l’agissement des autorités dans le département de Tintane, exigeant l’enclenchement de la procédure visant à libérer les frères de Mohamed Lemine et à arrêter les esclavagistes Ehl Khnafour en application à la loi 0048/2007. Reste à savoir si ces appels de l’organisation militantiste seront entendus où si l’affaire, qui se déroule dans des lieux reculés du pays finira par être étouffée par les autorités pour sauver les esclavagistes des taules

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