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samedi 2 juin 2012

Notre aîné le capitaine Breika Ould M’bareck regrette-t-il son soutien au général Aziz ?


 
A  notre Aîné le capitaine Breika Ould M’Bareck, l’histoire retiendra que vous vous êtes trompé en soutenant un faux général putschiste qui a violé la loi suprême de notre pays. Vous m’avez traité tous les noms d’oiseaux sur terre, vous voila déçu si ce n’est regretté  même votre soutien à ce faux général en si peu de temps. Je m’en réjouis absolument pas mais cela nous servira de leçon. Je vous cite :   « Je suis content de savoir que vous êtes le secrétaire Général de l’association des haratine de Mauritanie en Europe et à ce propos, j’avais entrepris de rechercher votre représentation ou bureau à Nouakchott pour remettre ma réponse à votre lettre, mais en vain, nulle trace de cette association. »


Certes on est invisible, introuvable pour notre aîné le capitaine Breika Ould M’Bareck mais pourtant présent, voir très visible. Les tonneaux vides font beaucoup de bruits mais ne servent strictement à rien, sachez cher aîné, nous ne serons jamais absent et assisterons les haratine à résoudre  l’ensemble de leurs problèmes. Vous le savez, il y a des choses qu'on dit pas au public, vous en savez quelque chose lorsque vous étiez  Dakar. Bon courage sur la nouvelle approche.

Diko hanoune

 SG (A.H.M.E)

Breika Ould M’bareck : « Cette attitude m’a amené à réagir aux propos de certains cadres de la composante haratine qui qualifient le régime actuel de régime Beydanes et qui considère que la Mauritanie est géré par un système Apartheid  semblable à celui qui a sévi en Afrique du Sud. Certains vont jusqu’à inciter les haratines à se joindre aux autres communautés Pulaar, Soninkés, Ouolofs pour constituer une majorité, pour gouverner le pays.

Or, je considère que dans le régime actuel, il y a toutes les composantes qui sont représentées (Mairies, parlement, forces armées et de sécurité, administration, gouvernement etc..).

S’agissant de l’Apartheid, dans notre pays nous fréquentons les mêmes écoles, prions dans les mêmes mosquées, empruntons les mêmes moyens de transport, nous nous soignons dans les mêmes hôpitaux, nous nous ravitaillons dans les mêmes marchés, nous habitons dans les m^mes quartiers, dans toutes nos communautés, une classe moyenne, des riches et des pauvres ce qui, à mon avis, ne laisse aucune comparaison possible avec le régime de l’Apartheid.

Quant à l’appel cité plus haut, je pense qu’il s’agit là d’un précédent d’une extrême gravité, sans fondements sociologique, historique, culturel, pour ne citer que ceux là. Cependant, je comprends les frustrations de la composante haratine de la communauté beydane qui se sent exclue dans ce pays.

J’ai salué l’engagement du Président de la République Mohamed Ould Abdelaziz, qui s’est traduit par un ensemble de mesures visant l’éradication des séquelles de l’esclavage et un certain rééquilibrage dans la répartition des portefeuilles de responsabilité, exemple la dernière nomination du Directeur Général de l’Agence Mauritanienne d’Information (AMI). »
Signé : Capitaine Breyka M’Bareck Varaji Boutimitt,
Ancien membre du Comité Militaire de Salut National
Membre de la Commission Nationale des Droits de l’Homme,
Membre fondateur de l’Alliance Arabe pour la Démocratie , le développement et les droits de l’Homme,
Président du Collectif des Anciens et retraités des forces armées et de sécurité,
Président du Réseau Africain de développement durable



Capitaine Breyka Ould M'Bareck: Protestation.
Le communiqué de la Présidence de la République nommant le Haut Conseil de la Fatwa et des recours gracieux confirme que les conseillers du Président de la République et du Premier ministre persistent et signent pour continuer de favoriser la composante esclavagiste en Mauritanien. Afin qu'elle reste la seule à bénéficier de toutes les promotions.

Si l'on ajoute à cela la réinsertion des retraités issus de cette frange à la tête des conseils d'administration et des postes comme le "Croissant Rouge" mauritanien ,immédiatement après leur mise à la retraite.On ne peut que dénoncer ces pratiques d'un autre âge. Ces faveurs restent exclusivement réservées à une certaine frange des cadres mauritaniens de nos différentes composantes.

C'est pourquoi l'attention de Mr le Président de la République doit être attirée sur l'influence désastreuse que ces pratiques auront sur sa politique pour lutter contre les inégalités, la discrimination , le racisme en Mauritanie et sur la stabilité et la paix civile. Aujourd'hui les Oulémas et les retraités ne sont pas uniquement l'apanage de deux composante de la société mauritanienne.

Le temps est peut-être venue d'accompagner l'évolution de la Société mauritanienne.        
                                                                                         
                                                                                                            
Source :breykamvb.blogspo



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