L'Union des Forces de Progrès a appris
avec regret le décès du défunt Cheikh ould Almoualla qui a rendu l’âme hier
après midi à 17 heures au marché situé en face de la Polyclinique de la
Capitale. Le disparu avait inhalé d’importantes quantités de gaz lacrymogène
que la police déversait abondamment sur des manifestants de l’IRA au cœur de ce
marché.
L’UFP, tout en présentant ses
condoléances les plus attristées et sa sympathie à la famille éplorée du défunt,
condamne énergiquement cet excès de violence. Cette brutalité exercée par les
forces de sécurité depuis un certain temps contre de nombreux manifestants réclamant
pacifiquement leurs droits.
Une férocité aveugle n’épargnant même pas
des innocents retranchés paisiblement dans leurs commerces ou leurs domiciles. Et,
à l’heure actuelle, nul ne peut se sentir à l’abri de cette répression qui a
pour scènes les lieux publics et les centres de regroupement des populations.
Les autorités doivent se rendre à
l’évidence que la barbarie ne peut résoudre les problèmes. Au contraire, elle
engendre une résistance à ses auteurs qui finit toujours par les emporter.
Nouakchott, le 11/06/2012
Le Département de la Communication
avec regret le décès du défunt Cheikh ould Almoualla qui a rendu l’âme hier
après midi à 17 heures au marché situé en face de la Polyclinique de la
Capitale. Le disparu avait inhalé d’importantes quantités de gaz lacrymogène
que la police déversait abondamment sur des manifestants de l’IRA au cœur de ce
marché.
L’UFP, tout en présentant ses
condoléances les plus attristées et sa sympathie à la famille éplorée du défunt,
condamne énergiquement cet excès de violence. Cette brutalité exercée par les
forces de sécurité depuis un certain temps contre de nombreux manifestants réclamant
pacifiquement leurs droits.
Une férocité aveugle n’épargnant même pas
des innocents retranchés paisiblement dans leurs commerces ou leurs domiciles. Et,
à l’heure actuelle, nul ne peut se sentir à l’abri de cette répression qui a
pour scènes les lieux publics et les centres de regroupement des populations.
Les autorités doivent se rendre à
l’évidence que la barbarie ne peut résoudre les problèmes. Au contraire, elle
engendre une résistance à ses auteurs qui finit toujours par les emporter.
Nouakchott, le 11/06/2012
Le Département de la Communication
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