Dans une démonstration théâtrale imbibée d’hypocrisie de cynisme et de lâcheté au sein d’un monde d’hommes et des femmes haratines discriminé par le système beyedano-berbères dans la Moughata de BARKEWOL, sur la terre des esclaves et anciens esclaves, fief de la pauvreté et de la maladie, voila que YARBE OULD SKHAIR prêche un discours d’extrême bassesse et avilité : « L’esclavage n’existe que dans la conscience de ceux qui le disent ».
A l’origine appelé YOWBE (Esclave robuste), mais du fait de son irresponsabilité et sa soumission inconditionnelle devant ses maitres le nom YARBE (Soumis) lui fut donné.
Dans ces sorties insolites et médiocres dans la presse audiovisuelle raciste du système beydane, YARBE dit ceci dans un arabe approximatif : « ceux qui ont incinéré les livres, ont atteint à notre fikh, à nos oulémas et à nos ancêtres CHANAGHYTAS) ».
YARBE (le Soumis), a-t-il oublié que sa mère est une esclave de KOUNTA que son père un esclave de OULD NACER ; et que lui se considère KOUNTAWI, donc il est resté fidele au contenu des interprétations brulées qui lient l’enfant à sa mère contrairement au saint Coran qui le lie à son père.
Quelle négationnisme aveugle permettra-il à cet esclave de ADABAYE de nier l’esclavage au sein ces siens du triangle de la pauvreté ployant dans une descente abyssale dans la force des ténèbres ?
YARBE (le Soumis), continue dans ses diatribes élogieuses pour ses maitres comme le faisaient ces ancêtres par AZKHARITE VI ELMARGAA (style où l’esclave saute allé retour sur un seul pied, applaudissant et chantant les prouesses guerrières des ses maitres.
YARBE (le Soumis), le piètre, grand abonné des salons nocturnes de Nouakchott, son seul soucis conserver son poste de Directeur de l’AMI.
Accompagné par les esclavagistes semeurs de troubles, violeurs d’esclaves à l’occurrence ould Abghari, Ould Zeiene et le débuté des caporaux Mohamed Ould Babane élu par les voix des ADWABE, ils doivent savoir que la jeunesse harratine croisera le fer contre leurs prêches mensongères et que la guerre civile qu’ils craignent est inévitable du fait de la marginalisation criante et de l’asservissement des esclaves et des anciens esclaves qui très bien tôt se sacrifieront pour se frayer une place dans cette Mauritanie où ils sont majoritaires .
Je lance un appel solennel à ma sœur femme de YARBE de ne pas donner le nom de ce soumis à ses enfants afin d’éviter la poursuite que la jeunesse haratine comptera poursuivre contre YARBE et ses semblables dans le monde de la liberté et de la vérité des harratines.
Aussi Je lance un appel solennel à mes sœurs harratine de s’assumer comme le sont nos sœurs de Zoueratt, Nouadhibou, Kaedi, Rosso, Boghé et certaines moughata de Nouakchott ; de sensibiliser s’unir avec leurs sœurs négro-mauritaniennes, et de sensibiliser sur la marginalisation haratine sur le racisme d’état, sur l’esclavage et sur l’exclusion cynique dont sont victimes les femmes haratine dans tous les appareils de l’état. La lutte continue tant que les YABEITES SOUMIS existeront en Mauritanie
Au nom de la Coordination de la Jeunesse Haratine : JEMILA MINT MAATA MOULANE
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