Si les pouvoirs publics ont transféré la semaine dernière un groupe de 17 salafistes vers la prison nouvellement construite d’Aleg, d’autres sont toujours détenus dans la maison d’arrêt de Dar Naim et constituent au vu de leur refus catégorique de se repentir et de bénéficier de l’amnistie présidentielle, des religieux radicaux prêts à mourir en martyr pour défendre les causes de l’Islam.
Le transfert de Biram Ould Dah Ould Abeid dans cette geôle constitue donc une menace sérieuse pour sa personne, puisque gardé- di-t-on parfois pour assurer sa propre sécurité des vindictes extrémistes, le leader de l’Ira serait actuellement jeté en pâture à des salafistes qui rivalisent pour se payer sa liquidation dans l’espoir de venger l’acte d’incinération des livres malékites.
Des informations généralement bien informées indiquent que des salafistes auraient menacé de mort Biram à son arrivée dans la prison promettant d’appliquer sur lui « la loi d’Allah ».
Conscient de cette situation embarrassante, le régisseur de la prison aurait décidé de maintenir pour leur sécurité Biram et ses codétenus dans une pièce bien surveillée avec l’interdiction de circuler dans la cour où ils peuvent s’exposer à la colère des salafistes surexcités.
Mais, garder un leader abattu dans une cellule présente aussi l’inconvénient de conditions carcérales difficiles et démoralisantes qui peuvent avoir des effets déplorables sur Biram. Devant cette expectative, quelle autre solution adéquate peut se présenter alors aux autorités judicaires ? It’s the question .
Des informations généralement bien informées indiquent que des salafistes auraient menacé de mort Biram à son arrivée dans la prison promettant d’appliquer sur lui « la loi d’Allah ».
Conscient de cette situation embarrassante, le régisseur de la prison aurait décidé de maintenir pour leur sécurité Biram et ses codétenus dans une pièce bien surveillée avec l’interdiction de circuler dans la cour où ils peuvent s’exposer à la colère des salafistes surexcités.
Mais, garder un leader abattu dans une cellule présente aussi l’inconvénient de conditions carcérales difficiles et démoralisantes qui peuvent avoir des effets déplorables sur Biram. Devant cette expectative, quelle autre solution adéquate peut se présenter alors aux autorités judicaires ? It’s the question .
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