Translate

dimanche 11 septembre 2011

Une lutte ne peut être pacifique avant de traverser certaines étapes importantes.



Juste une précision mes chers frères et sœurs, nous n'avons jamais cherché la violence en Mauritanie, elle nous a été imposée depuis l’indépendance du pays. L'ANC a commencé à se faire entendre lorsque Nelson Mandela a crée la cellule armée, qui répondait taco-tac aux actes racistes de l'apartheid contre les noirs. Les blancs étaient désemparés, obligeant ainsi ces derniers qui se croyaient intouchables à vivre barricadés dans la peur, ils étaient coupés du monde extérieur. Cette cellule était chargée de saboter, de poser des bombes, de faire dérayer les trains, d’éliminer physiquement les hommes clés du racisme  d’état  et leurs nègres complices. Ce que je dis, répond tout à fait à des actes de légitime défense. Croyez vous si les palestiniens se limitaient à des manifestions ici et là, le monde entier allait parler de leur problème avec l’état hébreu? Non ! Il nous faut des leaders à la hauteur de la situation apocalyptique que nous vivons, ne reculant devant rien pour laver l’affront, nous n’avons eu jusqu’à présent que des faux leaders du ventre , du confort, et de la poche, des griots du système pour leur bien être au détriment de la majorité qui crève à petit feux. Le pacifisme a ses limites, une fois qu’elles sont atteintes, il faut se réorganiser, c’est-à-dire agir comme les maures, ensuite s’ils seront prêts à négocier, c’est en ce moment seulement qu’on parlera de la  pacification de la lutte. En réalité la lutte  n’a pas encore commencée. Certains nous parlent de l’indépendance du sud, pensez-vous que l’autonomie ou l’indépendance s’acquiert sans prendre les armes ? Arrêtez de rêver debout !!!!!!!!!! 

Merci
Diko hanoune

2 commentaires:

  1. Il n'y a aucune révolution non violante, pour être libre il faudra se battre par tous les moyens nécessaires .« C’est toujours l’oppresseur, non l’opprimé, 
    qui détermine la forme de la lutte. Si l’oppresseur 
    utilise la violence, l’opprimé n’a pas d’autre choix 
    que de répondre par la violence ».
    Nelson MANDELA

    RépondreSupprimer
  2. Je d'accord avec Mr. Diko. il faut que nous les negros agissent cmme les maures. Sa peux couter du sang et des de la fortune mais nous les negros nous aurons rien a perdre parce que si une person n'a aucun droit, de dignite cette derniere est consideree comme etant un animal. Donc se sont les maures qui seront les perdent et nous seront les ganant et nous les negros nous devont savoir que liberte ne se donne pas mais elle se recupere.

    RépondreSupprimer