Janvier 2013, Biram Ould Dah Ould Abeid a fait sa toute première apparition à Arafat après
plusieurs mois de séjour en terre occidentale. Et il a mis à profit
l’occasion pour dire aux barbus qui cherchent à prendre le pouvoir que
le combat pour l’égalité de tous les citoyens ne cessera jamais.
« Biramania » dans les chansonnettes
Ils sont jeunes, artistes-musiciens-compositeurs, mais surtout des sympathisants de l’IRA et son leader Biram Ould Dah Ould Abeid. En effet, les uns et les autres ont poussé la chansonnette pour magnifier le combat que mène le président du mouvement abolitionniste de l’esclavage en terre islamique de Mauritanie.
Le groupe «Double Black Haratine» composé de Sidi Ould Malick et Abderrahamane Ould Mohamed, qui sont respectivement âgés de 18 et 19 ans, ont chanté maintes fois le même morceau «Beydane et Haratine» à la demande des leaders militants et sympathisants de l’IRA de la section d’Arafat.
Un morceau qui met en exergue la relation de domination maître-esclave qui liait les Beydanes et les Haratines. Que certains veulent continuer à perpétuer, mais que le combat de Biram Ould Dah Ould Abeid est en train de réveiller les Haratines qui ont été mal éduqués avec les enseignements des livres du rite malékite pour les maintenir sous la dépendance des Maures.
Comme le «Double Black Haratine», Family Haratine et les étoiles de l’avenir ont également chanté pour les louanges de Biram et de ses valeurs compagnons de lutte pour la cause des négro-mauritaniens et des haratines en Mauritanie en évoquant l’épineux problème du passif humanitaire les voyages à Inal et à Sorimalé.
«Je veux mourir en martyr»
Il y avait un monde fou pour assister à la toute première sortie du couple Biram Ould Dah Ould Abeid dans le quartier périphérique d’Arafat. Ils ont bravé le froid pour venir écouter leur leader. Mais plusieurs personnalités ont pris la parole - entre autres, le sénateur Youssouf Sylla, , Dia Alassane TPMN , l’Imam Cheikh Ahmed Ould Mehdi, Aminata Alassane Dia de la section de l’IRA d’Arafat, Balla Touré de l’IRA, et Brahim Ould Abeid, le vice-président de l’IRA- pour dire qu’il est temps de mettre fin à la pratique de l’esclavage.
Pour sa part Biram Ould Dah Ould Abeid a dit que les barbus qui cherchent le pouvoir en Mauritanie, doivent savoir qu’ils nous trouveront sur leur passage si jamais ils prennent le pouvoir. Car, a-t-il dit, nous ne sommes contre personne et nous ne combattons que l’injustice en Mauritanie. Notre combat n’est dirigé contre personne. Si Ould Abdel Aziz est victime de l’injustice aujourd’hui.
Nous allons nous lever pour le défendre sans aucune hésitation. Et d’ajouter que le combat que lui et ses amis mènent est «noble. Et nous n’avons pas peurs de mourir en martyr. Moi, je veux mourir en martyr pour cette noble cause de la libération de tous les haratines voire de tous les noirs en Mauritanie.
Après avoir appris la mobilisation de mes frères négro-mauritaniens, beydanes civilisés et haratines pendant mon incarcération, j’ai compris que les combats de la libération des Haratines et de l’égalité de tous en Mauritanie sont portés par plusieurs personnes dans notre pays. Et que je peux désormais mourir en paix. Parce que son absence ne voudra pas dire que le combat cessera faute de combattants»
Camara Mamady
« Biramania » dans les chansonnettes
Ils sont jeunes, artistes-musiciens-compositeurs, mais surtout des sympathisants de l’IRA et son leader Biram Ould Dah Ould Abeid. En effet, les uns et les autres ont poussé la chansonnette pour magnifier le combat que mène le président du mouvement abolitionniste de l’esclavage en terre islamique de Mauritanie.
Le groupe «Double Black Haratine» composé de Sidi Ould Malick et Abderrahamane Ould Mohamed, qui sont respectivement âgés de 18 et 19 ans, ont chanté maintes fois le même morceau «Beydane et Haratine» à la demande des leaders militants et sympathisants de l’IRA de la section d’Arafat.
Un morceau qui met en exergue la relation de domination maître-esclave qui liait les Beydanes et les Haratines. Que certains veulent continuer à perpétuer, mais que le combat de Biram Ould Dah Ould Abeid est en train de réveiller les Haratines qui ont été mal éduqués avec les enseignements des livres du rite malékite pour les maintenir sous la dépendance des Maures.
Comme le «Double Black Haratine», Family Haratine et les étoiles de l’avenir ont également chanté pour les louanges de Biram et de ses valeurs compagnons de lutte pour la cause des négro-mauritaniens et des haratines en Mauritanie en évoquant l’épineux problème du passif humanitaire les voyages à Inal et à Sorimalé.
«Je veux mourir en martyr»
Il y avait un monde fou pour assister à la toute première sortie du couple Biram Ould Dah Ould Abeid dans le quartier périphérique d’Arafat. Ils ont bravé le froid pour venir écouter leur leader. Mais plusieurs personnalités ont pris la parole - entre autres, le sénateur Youssouf Sylla, , Dia Alassane TPMN , l’Imam Cheikh Ahmed Ould Mehdi, Aminata Alassane Dia de la section de l’IRA d’Arafat, Balla Touré de l’IRA, et Brahim Ould Abeid, le vice-président de l’IRA- pour dire qu’il est temps de mettre fin à la pratique de l’esclavage.
Pour sa part Biram Ould Dah Ould Abeid a dit que les barbus qui cherchent le pouvoir en Mauritanie, doivent savoir qu’ils nous trouveront sur leur passage si jamais ils prennent le pouvoir. Car, a-t-il dit, nous ne sommes contre personne et nous ne combattons que l’injustice en Mauritanie. Notre combat n’est dirigé contre personne. Si Ould Abdel Aziz est victime de l’injustice aujourd’hui.
Nous allons nous lever pour le défendre sans aucune hésitation. Et d’ajouter que le combat que lui et ses amis mènent est «noble. Et nous n’avons pas peurs de mourir en martyr. Moi, je veux mourir en martyr pour cette noble cause de la libération de tous les haratines voire de tous les noirs en Mauritanie.
Après avoir appris la mobilisation de mes frères négro-mauritaniens, beydanes civilisés et haratines pendant mon incarcération, j’ai compris que les combats de la libération des Haratines et de l’égalité de tous en Mauritanie sont portés par plusieurs personnes dans notre pays. Et que je peux désormais mourir en paix. Parce que son absence ne voudra pas dire que le combat cessera faute de combattants»
Camara Mamady
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