Marcus Garvey disait: Dans la lutte pour s’élever, les opprimés sont toujours
handicapés par ceux d’entre eux qui trahissent leur propre race et leur propre
peuple, c’est-à-dire par les hommes de peu de foi, et tous ceux qui se laissent
corrompre et acceptent de vendre les droits de leurs propres frères.
Nous non plus, membres de la race noire, les Negros-Mauritaniens ne sommes pas totalement à l’abri de ce genre de fléau. Si j’exprime le fond de ma pensée, je dirai même que nous en sommes affligés plus que toute autre race, parce que nous n’avons pas la formation et la préparation nécessaires pour occuper la place qui nous revient parmi les peuples et les nations du monde. Chez les autres races, le rôle du traitre se limite en général à l’individu médiocre et irresponsable. Les traîtres de la race noire, malheureusement, sont la plupart du temps, des gens haut placés par l’instruction et la position sociale, ceux-là même qui s’arrogent le titre de leaders. De nos jours, en effet, tout individu, ou presque, qui tente sa chance comme leader de la race, commence par s’établir, tel un animal domestique, dans les faveurs d’un philanthrope d’une autre race : il va le voir, dénigre sa race dans les termes les plus vils, humilie sa fierté d’homme, et gagne ainsi la sympathie du « grand bienfaiteur », qui lui dicte ce qu’il doit faire dans son rôle de leader de la race noire.
Comment cela est-il possible qu`on ne doit pas les dénoncer parce qu`ils sont des pères, mères, oncles, frères, sœurs bref des PARENTS ?
Leurs conspirations clandestines posent des problèmes très difficiles à nos mouvements d`action, à nos partis politiques, à nos ONG et a tous les opprimées.
Comment la police politique et les agents de renseignements du système ont pu connaître les plans et les intentions de tous nos mouvements, nos intentions et nos programmes a l`intérieurs et a l`extérieur du pays ?
Ces Negrions vendus que certains soit disant combattant pour la liberté défendent sur tous les réseaux comme étant leurs parents ont contribué à la peur psychologique que vive les habitants de la vallée, ce qui a décourage la résistance et réduit le nombre de participants à certaines activité politique.
Ils ont aussi contribué à répandre la suspicion et entraîner des vagues d’accusations, de trahison souvent injustifiées, à l’intérieur de la lutte pour aider le système Esclavagiste et génocidaire à continuer sa politique extrémiste.
Malgré les Violations des droits de l’homme dans la vallée du fleuve de 1986-1989 ou les cibles des extrémistes des forces gouvernementales sont des villageois négro-africains sélectionnés en fonction de leur appartenance à un groupe ethnique déterminé à travers des exécutions extrajudiciaires, la torture, le viol, les déportations, arrestations et détentions illégales ; ces negrions traitres et vendus n`ont même pas perdu une seconde pour mettre en place des lois d`Amnisties permettant à tous ces Esclavagistes génocidaires de se mettre à l`abris pour ne jamais répondre de leurs actes devant la loi Mauritanienne et des institutions internationales .
Harouna Demba Diallo dit Hadji, âgé de 34 ans Sinthiane Padalal, Hamady Djoumo Bâ originaire de Djéol, Abdoul Bouka N’Diaye 30 ans, Mamadou N’Diaye Djéol, Ciré Djékou Sow, les villages de Gourel Pé, Liradji, Marsel et Gourel Manadji, dans la région de Sélibabi, le village de M’Bomé, Thierno Alassane N’Diaye, chef religieux domicilié à Boghé-Less, les fosses de sori Male, les pendu d`Inal , les exécution a Wallata, Jreida, Tene Youssouf Gueye, Ba Abdoul Goudouss, …….. LA LISTE EST TRES TRES TRES LONGUE ne sont-ils pas nos parents ?
Les orphelins, les orphelines, les femmes veuves, les rescapes, les déportés apatrides, les déportés jeté et oublie au Mali ne sont-ils pas nos parents ?
Je vais les dénoncer et divulguer leurs noms sans gêne car ils ont permis à TAYA, ces complices et aux différents commandants des forces armées et de sécurité génocidaires et les milices extrémistes qui sont responsables de ces tueries de bénéficie d’une impunité totale.
Je ne cherche pas à faire plaisir, ni à faire du mal, mais à dire ma vérité et la vérité.
Nous non plus, membres de la race noire, les Negros-Mauritaniens ne sommes pas totalement à l’abri de ce genre de fléau. Si j’exprime le fond de ma pensée, je dirai même que nous en sommes affligés plus que toute autre race, parce que nous n’avons pas la formation et la préparation nécessaires pour occuper la place qui nous revient parmi les peuples et les nations du monde. Chez les autres races, le rôle du traitre se limite en général à l’individu médiocre et irresponsable. Les traîtres de la race noire, malheureusement, sont la plupart du temps, des gens haut placés par l’instruction et la position sociale, ceux-là même qui s’arrogent le titre de leaders. De nos jours, en effet, tout individu, ou presque, qui tente sa chance comme leader de la race, commence par s’établir, tel un animal domestique, dans les faveurs d’un philanthrope d’une autre race : il va le voir, dénigre sa race dans les termes les plus vils, humilie sa fierté d’homme, et gagne ainsi la sympathie du « grand bienfaiteur », qui lui dicte ce qu’il doit faire dans son rôle de leader de la race noire.
Comment cela est-il possible qu`on ne doit pas les dénoncer parce qu`ils sont des pères, mères, oncles, frères, sœurs bref des PARENTS ?
Leurs conspirations clandestines posent des problèmes très difficiles à nos mouvements d`action, à nos partis politiques, à nos ONG et a tous les opprimées.
Comment la police politique et les agents de renseignements du système ont pu connaître les plans et les intentions de tous nos mouvements, nos intentions et nos programmes a l`intérieurs et a l`extérieur du pays ?
Ces Negrions vendus que certains soit disant combattant pour la liberté défendent sur tous les réseaux comme étant leurs parents ont contribué à la peur psychologique que vive les habitants de la vallée, ce qui a décourage la résistance et réduit le nombre de participants à certaines activité politique.
Ils ont aussi contribué à répandre la suspicion et entraîner des vagues d’accusations, de trahison souvent injustifiées, à l’intérieur de la lutte pour aider le système Esclavagiste et génocidaire à continuer sa politique extrémiste.
Malgré les Violations des droits de l’homme dans la vallée du fleuve de 1986-1989 ou les cibles des extrémistes des forces gouvernementales sont des villageois négro-africains sélectionnés en fonction de leur appartenance à un groupe ethnique déterminé à travers des exécutions extrajudiciaires, la torture, le viol, les déportations, arrestations et détentions illégales ; ces negrions traitres et vendus n`ont même pas perdu une seconde pour mettre en place des lois d`Amnisties permettant à tous ces Esclavagistes génocidaires de se mettre à l`abris pour ne jamais répondre de leurs actes devant la loi Mauritanienne et des institutions internationales .
Harouna Demba Diallo dit Hadji, âgé de 34 ans Sinthiane Padalal, Hamady Djoumo Bâ originaire de Djéol, Abdoul Bouka N’Diaye 30 ans, Mamadou N’Diaye Djéol, Ciré Djékou Sow, les villages de Gourel Pé, Liradji, Marsel et Gourel Manadji, dans la région de Sélibabi, le village de M’Bomé, Thierno Alassane N’Diaye, chef religieux domicilié à Boghé-Less, les fosses de sori Male, les pendu d`Inal , les exécution a Wallata, Jreida, Tene Youssouf Gueye, Ba Abdoul Goudouss, …….. LA LISTE EST TRES TRES TRES LONGUE ne sont-ils pas nos parents ?
Les orphelins, les orphelines, les femmes veuves, les rescapes, les déportés apatrides, les déportés jeté et oublie au Mali ne sont-ils pas nos parents ?
Je vais les dénoncer et divulguer leurs noms sans gêne car ils ont permis à TAYA, ces complices et aux différents commandants des forces armées et de sécurité génocidaires et les milices extrémistes qui sont responsables de ces tueries de bénéficie d’une impunité totale.
Je ne cherche pas à faire plaisir, ni à faire du mal, mais à dire ma vérité et la vérité.
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