Le président d’IRA-Mauritanie, Biram Ould Dah Ould Abeid, a affirmé mardi qu’il donnait aux autorités mauritaniennes un ultimatum de six mois notamment au Conseil Constitutionnel et au Haut Conseil Islamique pour la Fatwa pour "abolir la présence et la préséance du rite malékite dans le corpus juridique constitutionnel et islamique mauritanien".
"Nous sommes en train de préparer une lettre pour le président du Conseil Constitutionnel et une autre pour le président du Haut Conseil Islamique pour la Fatwa", a indiqué Biram Ould Dah Ould Abeid, lors d’une conférence de presse qui s’est tenue à quelques mètres de la Direction Générale de la Sûreté Nationale.
"J’espère que ces deux lettres seront suivies d’effet sinon au bout de six mois, nous allons porter à l’opinion publique internationale cette affaire gravissime, cette affaire de droit esclavagiste, de code d’esclavage qui entache l’Islam chez nous", a lancé le leader d’IRA-Mauritanie, qui vient de terminer une tournée d’une semaine à l’intérieur du pays.
Le président d’IRA-Mauritanie a confié que l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI) allait être également saisie si la Mauritanie ne souscrivait pas à leur demande. "Ce sera nous et les musulmans contre la Mauritanie. Ce sera nous et Dieu contre la Mauritanie. Ce sera nous et le Prophète (PSL) contre la Mauritanie", a-t-il souligné.
"Mais, encore une fois de plus, nous optons pour laver le linge sale en famille. Nous lançons un appel pressant aux autorités mauritaniennes, aux partis politiques, aux intellectuels pour qu’ils entendent notre appel et acceptent de souscrire à la vérité et à la justice inscrites par Dieu dans son Saint-Coran et traduites par son Prophète dans ses action", a conclu Biram Ould Dah Ould Abeid.
Babacar Baye Ndiaye
"Nous sommes en train de préparer une lettre pour le président du Conseil Constitutionnel et une autre pour le président du Haut Conseil Islamique pour la Fatwa", a indiqué Biram Ould Dah Ould Abeid, lors d’une conférence de presse qui s’est tenue à quelques mètres de la Direction Générale de la Sûreté Nationale.
"J’espère que ces deux lettres seront suivies d’effet sinon au bout de six mois, nous allons porter à l’opinion publique internationale cette affaire gravissime, cette affaire de droit esclavagiste, de code d’esclavage qui entache l’Islam chez nous", a lancé le leader d’IRA-Mauritanie, qui vient de terminer une tournée d’une semaine à l’intérieur du pays.
Le président d’IRA-Mauritanie a confié que l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI) allait être également saisie si la Mauritanie ne souscrivait pas à leur demande. "Ce sera nous et les musulmans contre la Mauritanie. Ce sera nous et Dieu contre la Mauritanie. Ce sera nous et le Prophète (PSL) contre la Mauritanie", a-t-il souligné.
"Mais, encore une fois de plus, nous optons pour laver le linge sale en famille. Nous lançons un appel pressant aux autorités mauritaniennes, aux partis politiques, aux intellectuels pour qu’ils entendent notre appel et acceptent de souscrire à la vérité et à la justice inscrites par Dieu dans son Saint-Coran et traduites par son Prophète dans ses action", a conclu Biram Ould Dah Ould Abeid.
Babacar Baye Ndiaye
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