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jeudi 3 mai 2012

Voici le visage de la propagande criminelle qui fera la perte d’Aziz…


Voici le visage de la propagande criminelle qui fera la perte d’Aziz…
Ce monsieur que vous voyez là est un intellectuel mauritanien redoutable de la clique à Oumeir. Il fait peur à tout le monde car il n’a aucun scrupule : mentir, calomnier, salir, ou vanter les mérites d’un salaud ou d’un honnête homme, voilà son talent ! Son pseudo officiel sur cridem, il ne s’en cache pas car il s’en sert en signant son commentaire «  M.S.Beheite », ce pseudo c’est trisomi21 : tout est dit ! Aussi dans la pure tradition des écrits anonymes qui pullulent sur le net jusqu’aux sites les plus respectables, je ne signerai pas car j’apporte la preuve de son infamie. Ce n’est pas comme si on  se servait de l’anonymat pour calomnier…
 
Disons que mon pseudo est Kimporte ! courageux mais pas téméraire car attaquer Aziz ! Ould Dedew ! oui ! mais avoir affaire à Beheite ! Non merci… car c’est l’assurance d’être traîné dans son repaire : la boue…
 
Aussi, on pourrait se passer de parler de ce genre de créature, s’il ne participait une fois de plus à une campagne mensongère visant à fanatiser les ignorants et ce faisant insulter l’islam car pendant que l’érudit et théologien mauritanien Cheikh Ahmed ElHady explique clairement que les ouvrages incinérés par Birame ne sont pas sacrés pour les musulmans,

cliquez ici

 ce criminel de  Beheite compare le geste de Birame à ceux qui ont porté atteinte à l’image du prophète psl !
 
je cite : « 
Un acte dont les conséquences ne se mesurent qu’à l’aune de la Fetwa contre Salman Rushdie ou encore les représailles contre le journal Danois jyllands-posten coupable d’atteinte à l’image du prophète Mohamed PSL. »
 
Cette propagande n’est-elle pas doublement criminelle ? D’abord en le chargeant à tort de crimes qu'il n'a pas commis et ensuite en imputant frauduleusement à l'Islam leur verdict inique ! C’est la dangereuse politique crasse des hypocrites.

Combien sont-ils ainsi à fanatiser les lecteurs ?


Ces gens ne sont-ils pas plus dangereux que Birame car leur haine est telle qu’ils sont prêts à tout faire pour qu’il se fasse tuer dans la rue ! Ils diront alors « bien fait ! » mais non pas pour le faux blasphème mais pour le combat de Birame qui n’est rien d’autre que le renversement de la table politique économique et sociale afin que les haratines soient dominants ainsi que certains nationalistes arabes ou certains négro-mauritaniens le souhaitent aux leurs.

 
Le retour de flamme sera terrible quand on joue avec la religion or c’est ce qui se passe à voir les marches du pouvoir et même de la C.O.D accusant Birame comme le pense hypocritement Beheite alors que des érudits honnêtes sont là pour prouver le contraire !

 
Les alliés occidentaux d’Aziz doivent comprendre que la propagande du pouvoir est en train de fanatiser les populations sciemment pour des raisons politico-raciales ! La C.O.D faisant de même pour ne pas subir la vague que le pouvoir lève ! mais voilà le retour de flamme :  déjà ça dégénère car les différents courants religieux commencent à se manifester pour rappeler que l’orientation islamique n’est le monopole de personne !

 
Des gens comme Beheite et leurs complices en propagande criminelle ne devraient-ils pas être traînés devant les tribunaux pour incitation à la haine et même au meurtre ?

 
Rassurez-vous trisomi21 peut écrire le contraire, c’est la marque de son talent de redoutable plumitif qui ne laisse aucune place à la conviction sinon celle qui justife cette vocation de mercenaire sans foi ni loi sinon mordre à la commande ou pour attirer l'attention de ceux qu'il croit servir et dont il espère toujours un os, le gras étant pour Oumeir !
 
Voici son article au complet :

 
« 
Biram ou le dilemme cornélien d’Aziz.
 
Enfin Biram Dah Abeid a crevé le seuil de tolérance de sa couverture démocratique. Il est allé au-delà de ce qui est permis en incinérant les textes de référence qui dirigent la vie de centaines de Millions de musulmans, des textes qui fondent à la fois le raisonnement et tout ce qui relève de la foi chez les croyants sunnites auxquels appartiennent les mauritaniens.

Un acte dont les conséquences ne se mesurent qu’à l’aune de la Fetwa contre
Salman Rushdie ou encore les représailles contre le journal Danois jyllands-posten coupable d’atteinte à l’image du prophète Mohamed PSL.

Ce défi étant lancé à la communauté, tout le monde se pose la question de savoir ce qui a bien pu amener
Biram à commettre un acte aussi grave ; un acte dont il sait qu’il ne saurait rester impuni ne serait-ce que pour sa portée symbolique dans l’entendement de croyants attachés à leur religion et prêts à tout pour en défendre l’intégrité.

L’on se pose également la question de savoir sous quelle emprise
Biram a-t-il agit et au nom de quel idéal. Se pourrait-il que dans sa manière d’asseoir les principes de son combat abolitionniste, Biram a confondu la responsabilité des hommes, celle de l’histoire et celle de la religion.

Ou
Biram pense qu’en s’attaquant aux bases et aux codes de la religion il satisfait à un objectif qu’il ne s’est jamais gêné de déclarer publiquement, à savoir la sape des fondements de la société Maure, oubliant au passage que la religion est une affaire de mauritaniens indépendamment de leur appartenance communautaire???

Peu importe, toutes ces considérations n’ont plus de sens aujourd’hui car désormais, la seule chose qu’on voit se profiler derrière l’action de
Biram, est le sacrilège commis sur la pensée de l’Imam Malek d’un coté et de l’autre, la volonté, visiblement inébranlable, des mauritaniens d’en découdre avec le coupable.

Par ailleurs, si
Biram doit payer pour son acte il doit le faire conformément à la loi. L’on ne doit pas oublier qu’en démocratie la gravité de la faute commise ne saurait en aucun cas soustraire le coupable aux garanties de la défense. Biram ne doit pas être jeté en pâture à La vindicte populaire comme le demandent certains manifestants. Un procès juste et équitable doit lui être assuré car la Mauritanie est un Etat de droits où les crimes, délits, contraventions, infractions mais aussi péchés ne doivent être juger que par des tribunaux constitués.

La justice populaire et la loi des Fetwa ne sont pas applicables dans un Etat moderne tout comme il n’appartient qu’à la justice de connaitre du contenu des faits répréhensibles et de faire respecter la loi. En cas de vide juridique pour sanctionner le cas d’espèce, un recours à la jurisprudence et/ ou à la Charia Islamique doit être envisagé car, autant les libertés fondamentales et de pensée doivent être assurées à
Biram, autant le respect du culte dans une république islamique qui rejette la laïcité doit être garanti.

Cet impératif implique l’existence d’une équation qu’il convient de résoudre aujourd’hui et qui consiste à tenir compte de l’exigence populaire et de l’attention apportée à cette affaire par les organisations des droits de l’homme qui ont les yeux rivés sur la
Mauritanie pour voir le traitement qui lui sera appliqué et duquel dépend désormais la satisfaction d’une demande interne et l’attachement à un concept universel. Un imbroglio politique dans lequel le président Aziz semble faire face à un dilemme Cornélien où le devoir, l’affectif, l’émotionnel et le religieux font bon ménage.

Mais le souci de rester juste envers
Biram doit être le même envers la Mauritanie et envers sa religion. Il convient, par conséquent, de savoir que les vertus de la démocratie ne doivent pas être subordonnées à la satisfaction d’objectifs étroits ou racistes, tout comme chacun doit s’interdire de mener ses expéditions vindicatives et punitives sous le couvert de la démocratie en identifiant sa propre cause à l’essence même du droit et de la légitimité au moment où, par principe, il les réfute aux positions de son adversaire.

Le leader de
IRA a sans doute justifié son acte par le fait que les livres incinérés ne sont pas le Coran mais des spicilèges où des théologiens ont consignés les interprétations qu’ils s’en font. Biram a cependant oublié au passage que la pratique de la religion se fait autant par la Sunna et le respect des préceptes de l’Islam que par le Coran et que toucher aux premiers, s’assimile à une négation du second, d’où le caractère blasphématoire de son acte.

M.S.Beheite »

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