A Dieu le tout puissant et notre prophète nous demanderons de nous nous guider dans les lumières du coran et des hadiths de son prophète (PSL). Nul autre ne mérite l’admiration que l’on porte à Allah et Mouhammad (PSL). Le coran ne doit pas être comparé à aucun ouvrage quelque soit son auteur car il est inégalable et incomparable.
Mon but n’est pas de fournir d’excuse au comportement de Biram, mais d’inciter les mauritaniens à réfléchir et à ne pas agir par émotion sur l’incinération des ouvrages. Biram a, certes, touché la moralité de certains mauritaniens. Chose qui est condamnable à un degré moins par respect aux valeurs de la culture d’autrui mais qui doit être critiqué si elles sont basées sur des rapports inégales au point de priver à d’autres cultures toute dignité et valeurs humaines.
Arrêtons d’instrumentaliser la religion à des fins idéologiques ou politiques pour l’amour de Dieu. J’étais stupéfait de voir la campagne qui a été faite par le régime contre Biram et relayée par la « rumeur publique » pour assassiner politique (après plusieurs tentatives échouées) l’homme qui est devenu l’épine sur les pieds d’un lobby esclavagiste. Comprenez bien ici, la question est plus politique que religieuse. Ce qu’il faut noter dans cet acte, bien des textes écrits par des érudits arabes avaient et continuent de légitimer l’esclavage sous la couverture de l’islam. Et tout celui qui s’y attaque sera traité de mécréant et verra tomber du ciel des doctrinaires et non pas celui de Dieu une foudre d’incompréhension et d’indignation.
Certains sont très vite aller au besogne en taxant le président de l’IRA de mécréant qui mériterait d’être exécuté au nom d’un texte qui stipule que « la femme esclave ne doit pas cacher son corps, contrairement à la femme libre, mais si son maître la possède et trouve un enfant avec elle, même sans mariage, elle doit se comporter comme les femmes de « bonne extraction ». Qui demande du respect de ses valeurs en doit faire autant pour celles des autres.
Musulmans nous sommes de par la grâce de Dieu et du prophète et musulmans nous resterons.
Mon but n’est pas de fournir d’excuse au comportement de Biram, mais d’inciter les mauritaniens à réfléchir et à ne pas agir par émotion sur l’incinération des ouvrages. Biram a, certes, touché la moralité de certains mauritaniens. Chose qui est condamnable à un degré moins par respect aux valeurs de la culture d’autrui mais qui doit être critiqué si elles sont basées sur des rapports inégales au point de priver à d’autres cultures toute dignité et valeurs humaines.
Arrêtons d’instrumentaliser la religion à des fins idéologiques ou politiques pour l’amour de Dieu. J’étais stupéfait de voir la campagne qui a été faite par le régime contre Biram et relayée par la « rumeur publique » pour assassiner politique (après plusieurs tentatives échouées) l’homme qui est devenu l’épine sur les pieds d’un lobby esclavagiste. Comprenez bien ici, la question est plus politique que religieuse. Ce qu’il faut noter dans cet acte, bien des textes écrits par des érudits arabes avaient et continuent de légitimer l’esclavage sous la couverture de l’islam. Et tout celui qui s’y attaque sera traité de mécréant et verra tomber du ciel des doctrinaires et non pas celui de Dieu une foudre d’incompréhension et d’indignation.
Certains sont très vite aller au besogne en taxant le président de l’IRA de mécréant qui mériterait d’être exécuté au nom d’un texte qui stipule que « la femme esclave ne doit pas cacher son corps, contrairement à la femme libre, mais si son maître la possède et trouve un enfant avec elle, même sans mariage, elle doit se comporter comme les femmes de « bonne extraction ». Qui demande du respect de ses valeurs en doit faire autant pour celles des autres.
Musulmans nous sommes de par la grâce de Dieu et du prophète et musulmans nous resterons.
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