Quelques jours après son arrestation, il s’est plaint des douleurs abdominaux, les autorités ont ignorées ces hurlements dans une souffrance terrible et nous avons appris plus tard qu’il s’est évanouie sous les éclats de rires des policiers qui répondaient aux ordres de l’un des cousins du général au niveau de la DSE. Peut être le produit commander depuis la Russie était entrain de faire son effet dans le corps. On sait aussi personne ne pouvait le rendre visite ni même les avocats de la défense. Quand on sait dans un passer récent, le pouvoir du général Ould Abdel Aziz avait tenté de monter un dossier médical à partir de la capitale Sénégalaise Dakar pour coller une image sur l’encombrant militant abolitionniste comme quoi, il est déséquilibré et malade mental. Là à partir d’aujourd’hui, l’opinion peut s’inquiéter sérieusement, d’autant plus jusqu’à nos jours, on refuse de remettre le rapport médical à sa femme et pour la première fois dans l’histoire du pays, on peut imaginer le scenario de l’empoisonnement des opposants à un régime militaire sous l’ère du général Aziz. Selon nos informations, cette année, il n’y a pas eu de grâce présidentielle et de remise des peines pour les prisonniers parce que les militants des droits de l’homme figuraient dans la liste. L’autre inquiétude concerne l’aspect de la rencontre Biram- Moustapha Limam Chavi, le général a juré de se débarrasser de Biram Ould Dah en sachant qu’il n’arrivera jamais à mettre la main sur Chavi. Donc la solution trouvée est de liquider Biram Ould Dah pour décapiter le conseil de transition qu’il pilotait ainsi tout danger de renverser le pouvoir sera écarté Voila le dessous de l’affaire dite « l’autodafé-incinération des livres rites malikites », et la raison sur laquelle se base les autorités Mauritaniennes pour accuser les abolitionnistes de « terrorisme ».
J’appelle toute personne qui lira le présent message d’agir vite pour sauver les vies des militants des droits de l’homme qui sont en Danger de mort. Mobilisons nous avant que cela ne soit trop tard.
Diko hanoune
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