Un problème foncier vient d’éclater entre anciens
esclaves et ancien maître à Tachott Botokho, un problème récurrent dans la
région de la vallée et plus précisément au Guidimakha. Suite au décès de Madame
Rekhiyé Sidibé en janvier 2012 sur venue à Tachott Botokholo, ces enfants se
sont vu retirés la terre que la défunte cultivait depuis plus d’un quart de siècle c'est-à-dire pendant quarante-quatre
ans. Cet acte est en représailles à l’engagement du frère de la défunte
Monsieur MORO SIDIBE dans la lutte contre les pratiques de l’esclavage et ses
Séquelles dans la communauté soninké et par conséquent membre du conseil
d’administration de ARMEPES section France. Le prétexte farfelue consiste à
dire que cette terre a été prêtée à la défunte.
Nous, association des ressortissants mauritaniens pour l’éradication des pratiques de l’esclavage et ses séquelles section France, dénonçons cette tentative d’expropriation et d’humiliation et soutenons notre camarade MORO SIDIBE dans toutes ses démarches en vue de récupérer la terre de sa sœur défunte au profit de ses enfants qui résident toujours au village de Tachott Botokholo.
L’association ARMEPES section France lance un appel aux autorités compétentes, revoir la question foncière au Guidimakha pour la paix et la concorde sociale.
PARIS LE 18 AOÛT 2013
TRAORE GAYE KAROUNGA
Nous, association des ressortissants mauritaniens pour l’éradication des pratiques de l’esclavage et ses séquelles section France, dénonçons cette tentative d’expropriation et d’humiliation et soutenons notre camarade MORO SIDIBE dans toutes ses démarches en vue de récupérer la terre de sa sœur défunte au profit de ses enfants qui résident toujours au village de Tachott Botokholo.
L’association ARMEPES section France lance un appel aux autorités compétentes, revoir la question foncière au Guidimakha pour la paix et la concorde sociale.
PARIS LE 18 AOÛT 2013
TRAORE GAYE KAROUNGA
Secrétaire Général d’ARMPES Section France
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