« Celui qui pousse un cri ne sait jamais quel écho éveillera sa voix ». Lucien Febvre
le manifeste des harratines est l’ultime cri de cette couche
laborieuse, patiente, victime de l’injustice et de l’arbitraire depuis
des siècles qui je l’espère sera celui qui éveillera un élan de
solidarité nationale pour faire triompher la fraternité.
Cette fraternité des croyants maintes fois recommandée dans le livre saint le coran et la sunna et qui figure dans notre devise de république islamique : honneur fraternité justice. Les harratines ont été depuis plusieurs siècles notre force de travail :, ils ont cultives( nos) leurs champs , gardes (nos) leurs troupeaux nourris et élèves nos (leurs) enfants, ainsi que femmes et hommes .
Notre solidarité envers les harratine doit être une reconnaissance de leur rôle dans la préservation de l’espèce d’hommes que nous sommes dans cet immense désert coupe du monde.
Imaginons une vie ante sans leur apport, nous serions certainement depuis longtemps extermines par la faim, le scorbut et autres pandémies comme les peaux rouges des Amériques. Allah nous a sauvé pour nous donner l’occasion d’une rédemption en demandant à nos frères harratine le pardon ici-bas avant celui d’en haut, pour nous et nos ancêtres qui certainement ignores que leurs actes cruelles envers leurs semblables frères dans l’islam étaient illicites et inhumains. Aussi pour la petite histoire qui de nous n’a pas de sang harratine dans les veines : des prestigieux émirs a l’arabe lambda.
Nous sommes un seul peuple, ayant la même langue, la même culture et le meme sang metisse qui coulent dans nos veines. Abdel Wedoud Ould Cheikh, notre sociologue national ne disait-il pas que nous sommes des arabo- berberes matines de nègre. Au nom de l’islam, au nom de la fraternité, au nom de la justice, au nom de la solidarité, au nom de l’unité, au nom des générations futures :
-répondant favorablement au cri d’espoir des harratine que constitue le manifeste.
-soyons solidaires de toutes les victimes des injustices.
-bâtissons une nation fidèle aux principes de fraternité de justice et d’Egalite tels que prônes par notre sainte religion. -bannissons la haine et la vengeance. -prônons le pardon et la concorde.
Mohamed Ghoulam Ould Beye
Nouadhibou
Cette fraternité des croyants maintes fois recommandée dans le livre saint le coran et la sunna et qui figure dans notre devise de république islamique : honneur fraternité justice. Les harratines ont été depuis plusieurs siècles notre force de travail :, ils ont cultives( nos) leurs champs , gardes (nos) leurs troupeaux nourris et élèves nos (leurs) enfants, ainsi que femmes et hommes .
Notre solidarité envers les harratine doit être une reconnaissance de leur rôle dans la préservation de l’espèce d’hommes que nous sommes dans cet immense désert coupe du monde.
Imaginons une vie ante sans leur apport, nous serions certainement depuis longtemps extermines par la faim, le scorbut et autres pandémies comme les peaux rouges des Amériques. Allah nous a sauvé pour nous donner l’occasion d’une rédemption en demandant à nos frères harratine le pardon ici-bas avant celui d’en haut, pour nous et nos ancêtres qui certainement ignores que leurs actes cruelles envers leurs semblables frères dans l’islam étaient illicites et inhumains. Aussi pour la petite histoire qui de nous n’a pas de sang harratine dans les veines : des prestigieux émirs a l’arabe lambda.
Nous sommes un seul peuple, ayant la même langue, la même culture et le meme sang metisse qui coulent dans nos veines. Abdel Wedoud Ould Cheikh, notre sociologue national ne disait-il pas que nous sommes des arabo- berberes matines de nègre. Au nom de l’islam, au nom de la fraternité, au nom de la justice, au nom de la solidarité, au nom de l’unité, au nom des générations futures :
-répondant favorablement au cri d’espoir des harratine que constitue le manifeste.
-soyons solidaires de toutes les victimes des injustices.
-bâtissons une nation fidèle aux principes de fraternité de justice et d’Egalite tels que prônes par notre sainte religion. -bannissons la haine et la vengeance. -prônons le pardon et la concorde.
Mohamed Ghoulam Ould Beye
Nouadhibou
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