Et d’ajouter
à propos que l’élite de cette communauté sur laquelle repose le gros espoir de
faire de la justice politique et socioéconomique une réalité vécue que
« dés qu’il est assis dans la voiture ministérielle, derrière le
chauffeur, le ministre Hartani oublie ses origines, son passé et son
avenir ! Il se fait des nouveaux amis et une nouvelle cour de flatteurs et
de flatteuses ! Finie la cause harratine, parce que le ministre change de
langage, d’ habitude et de fréquentations … ».
Et de
poursuivre : « une métamorphose complète qui fera de lui la cible des
courtisans mouchards, de griots obséquieux et de mystificateurs ! »,
précisant par ailleurs que « la meilleure façon de saper la cause des
Haratines , est d’en nommer donc un ministre parce que , plus il aura de
l’argent plus il s’ éloignera des siens ! ».
Reste à
savoir si nommer un hartani, pour faire définitivement ainsi que les siens
leurs adieux au besoin et dont à la servitude de subsistance n’est pas un
moindre mal que désigner un autre compatriote libre qui peut être enclin à
encourager les pratiques esclavagistes et dont à accentuer la fracture
sociale ? It s the question.
MOML
Réaction de Vlane
Ainsi la place du h’artani serait d’être éternellement
derrière avec les siens et non derrière un chauffeur. Par contre pour l’arabo
c’est normal d’être devant avec siens derrière un chauffeur, Car bien entendu l’arabo
lui n’oublie pas les siens. Tu parles !
Combien d’arabos ont été nommés ministres pour leur médiocrité histoire de marginaliser les autres maures compétents et moralement propres ?
Combien de féodaux négro-mauritaniens ont été nommés ministres pour avoir trahi les leurs ?
Combien toutes castes confondues restent simples et disponibles arrivés au sommet du pouvoir ?
Si la fracture entre arabos et haratines est désormais consommée c’est la faute à ces nobles petits types qui distillent ce genre d’argument selon lequel la place du h’artani est derrière et si on le met devant il devient gonflé
Souvenez-vous ces mots en rimes que les petits arabos récitent depuis tout petits :
Haratine baratine
Oulad a’m cheyatines
Jabou lek hal mene le khnaviss
Jabou le khneuz meun le’tariss
La kalou yeu balgou
La ja’ou yeu sargou
Traduction :
Les haratines sont les neveux des diables
Ils ont reçu la couleur des cafards
Et l’odeur des boucs
S’ils ont faim ils volent
S’ils mangent ils deviennent gonflés
Combien d’arabos ont été nommés ministres pour leur médiocrité histoire de marginaliser les autres maures compétents et moralement propres ?
Combien de féodaux négro-mauritaniens ont été nommés ministres pour avoir trahi les leurs ?
Combien toutes castes confondues restent simples et disponibles arrivés au sommet du pouvoir ?
Si la fracture entre arabos et haratines est désormais consommée c’est la faute à ces nobles petits types qui distillent ce genre d’argument selon lequel la place du h’artani est derrière et si on le met devant il devient gonflé
Souvenez-vous ces mots en rimes que les petits arabos récitent depuis tout petits :
Haratine baratine
Oulad a’m cheyatines
Jabou lek hal mene le khnaviss
Jabou le khneuz meun le’tariss
La kalou yeu balgou
La ja’ou yeu sargou
Traduction :
Les haratines sont les neveux des diables
Ils ont reçu la couleur des cafards
Et l’odeur des boucs
S’ils ont faim ils volent
S’ils mangent ils deviennent gonflés
Vlane
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