Les images suivantes ont été
prises lors d’opérations de déménagement forcé des habitants des bidonvilles à
Alèg (le 3 mars 2013, Alakhbar à droite) et à Toujounine, près de Nouakchott
(le 19 mars 2013, Taqadoumy à gauche).
Une question se pose
d’elle-même: si on admettait que les habitants des bidonvilles sont des
pauvres, comment expliquer qu’en deux lieux différents, en deux dates
différentes, dans deux journaux différents on ne voit que des Hratine parmi ceux
dont on détruit l’habitat?
Le
lot quotidien réservé aux hratin est partout le même; déguerpissement,
marginalisation, châtiment, dénuement, discrimination, stigmatisation et
j'en passe
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