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vendredi 8 mars 2013

Camara Seydi Moussa directeur du journal La Nouvelle Expression nous donne rendez-vous avec l’histoire.





L’homme ne sait pas tricher, voila un journaliste exceptionnel qui nous donne rendez vous avec l’histoire de la Mauritanie et du monde journalistique. Croyez moi personne ne sera déçu ce jour là. Le digne fils du Guidumakha a tout planqué pour  dire rien que la vérité Haut et Fort  en disant stop à toute injustice, mensonges etc… Sa plume est un diamant, elle a fait couler beaucoup de larmes de  joies soulageant les victimes de la barbarie militaire, de l’esclavage, du racisme. Ils ne sont pas si nombreux à suivre ce choix difficile mais l’histoire retiendra son nom dans un livre d’or.
 L’homme est persécuté, étiqueté d’ami d’organisation extrémistes et d’opposant au régime en place parce qu’il a choisi le camp de la vérité et Dieu sait ses écrits dérangent  terriblement. On se souvient encore des ses écrits sur Inal, sur les généraux Meguett, Dia Aderrahmane mais surtout son édito intitulé « A mon ami Biram », quand le leader de IRA avait incinéré les livres de khalil. C’était au moment où toute la presse avait enterré Biram ; il était le premier et le seul journaliste à défendre Biram pour la bonne cause.  Nous souhaitons la bienvenue à notre ami, militant journaliste et frère qui abat un travail de titan au pays du royaume diktat militaire.
Certainement  vous ne connaissez pas  assez cet homme même ayant lu ses articles, éditoriaux, donc voila un avant goût pour vous : il est le pilier de toute la médiatisation que bénéficient nos organisations et partis politiques sans jamais faire le fanfaron ni la trompette à plus forte raison d’en tirer profit. Tout ce qu’il fait, c’est par conviction qu’un pays ne peut se développer sur des mensonges et/où l’hypocrisie.  Il s’appelle Camara Seydi Moussa, natif du village de Daffort, venez le rencontrer le 30 Mars 2013 à partir de 14h, soyez nombreux et à l’heure pour lui rendre hommage largement mérité sans exception.
Mobilisons nous Mesdames et Messieurs.

Diko hanoune

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