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jeudi 21 mars 2013

Alerte : Un membre de la délégation Mauritanienne à Genève en danger de Mort.



Le  seul délit qu’il a commis, c’est d’avoir refusé de cautionner les mensonges de l’état Mauritanien, la corruption de certaines ONG Africaines dites de « défenses des droits humains » qui sont malheureusement accréditées au cœur des Nations-Unies par le pervers ambassadeur Ould Zahave. L’état Mauritanien au lieu de libérer les victimes de l’esclavage préfère utiliser l’argent des aides  des pays occidentaux et du monde arabe qu’on nous chante tous toujours sont destinées à combattre la pauvreté, lutte contre l’esclavage, de  l’analphabétisme et j’en passe pour financer des ONG bidons, cartables afin de camoufler ce crime contre l’humanité au cœur même des nations-unies.  C’est scandaleux que la commission des droits de l’homme à Genève laisse faire, nous avons la preuve que se sont bien les autorités Mauritaniennes qui corrompent des certaines ONG et ses affiliées pour taire l’esclavage. Les sommes colossales que l’état Mauritanien dépense ici et là, ne peuvent elles pas financier des centres d’accueils et de formations pour les victimes de l’esclavage qu’on libère ? Pourquoi cette cruauté inhumaine gratuite en 2013? Cela nous prouve une fois de plus que l’état Mauritanien sans contrainte, ne combattra jamais l’esclavage. Parler des séquelles de l’esclavage sans jamais avoir combattu le fléau relève de l’utopie. Pas d’écoles dans les Adwaba, pas de sanitaires, aucun projet au développement mais l’état Mauritanien de par son nègre de service l’ambassadeur Ould Zahave  utilise tous les moyens pour écraser les victimes et les abolitionnistes. Non, la Mauritanie doit être fermement  condamner en coupant toutes les aides destinées aux faux projets qu’elle soumette alors qu’ils sont faits pour enrichir les maitres d’esclaves mais aussi corrompe certaines ONG africaines qui ont un pied au siège des nations unies à Genève. La crédibilité de la commission de « certaines ONG Africaines » est grave atteinte, la communauté internationale doit réagir au plus vite pour rappeler à l’ordre l'état Mauritanien.


Ci-joint le courrier d’alerte et le témoignage poignant d’un désespéré. Bonne réception.



  



Mohmed Ould ElKory, citoyen mauritanien, membre de  la communauté Hratin(esclaves et anciens esclaves de Mauritanie), actuellement à Genève en Suisse.

       Lettre au

-          président du conseil des Nations-Unies pour les droits de l’homme à Genève

-          à la Haut Commissaire des Nations-Unies pour les Droits de l’Homme à Genève

-          au président d’IRA-Mauritanie à Nouakchott(Mauritanie)



Messieurs, Madame, je fais partie de l’ethnie Hratin, la communauté la plus nombreuse de Mauritanie, mais hélas celle qui continue à subir les pratiques de l’esclavage, la discrimination raciale et de naissance, les privations d’éducation, de santé et la paupérisation économique et sociale.

Notre communauté est aussi victime de la répression et d’interdiction de s’associer, de manifester et au droit de s’exprimer sur notre situation de désolation multiséculaire ; à toute notre élite, le pouvoir discriminatoire et esclavagiste en Mauritanie, impose  le silence sur nos problèmes ou les fausses déclarations et faux témoignages ; et c’est à ce prix que certains de nos cadres et personnalités puissent occuper des postes dans l’Etats ou obtenir des avantages en contre-partie de cette infamie.

C’est pourquoi messieurs et mesdames,  mon oncle Mohamed ould Brahim à bénéficier de l’enregistrement par le ministre de l’intérieur de Mauritanie, d’une prétendue ong des droits humains(organisation contre le discours extrémiste), et ce au lendemain de l’emprisonnement du président d’IRA-Mauritanie et certains de ses compagnons, le 13 décembre 2010 à propos de leur dénonciation d’une affaire d’esclavage. Cet oncle qui avait pour mission, en compagnie d’autres hratin comme lui, de vilipender le président d’IRA et le charger injustement dans les journaux du pays et dans les forums internationaux, cet oncle  qui est très introduit dans les milieux des renseignements, je dépendais de lui et il m’a enregistré comme membre de son ong.

Je n’avais pas le choix, mais bien sûr qu’en tant que hartani, mon cœur et mon âme battaient pour IRA et son président ; je ne pouvais pas exprimer ce sentiment publiquement à l’intérieur  vue ma dépendance totale de mon oncle et les mesures de rétorsion qu’il pouvait prendre contre moi ; mais maintenant que mon oncle m’a fait voyager à Genève sur demande de l’ambassadeur Ould zahaf  avec la mission de m’attaquer à IRA et à son président au conseil des droits humains, je profite de cette occasion et de l’environnement de liberté dans ce pays, pour clamer haut et fort, mon refus du système esclavagiste qui opprime ma communauté et toute ma solidarité avec Biram Dah ABEID  et IRA-Mauritanie.

Et dans un second document, qui sera adressé au destinataires de cette lettre et à l’opinion publique nationale et internationale, je dévoilerai comment le commissariat au droits de l’homme, à la lutte contre la pauvreté et pour la relation avec la société civile en Mauritanie, l’ambassade de la Mauritanie à Genève et une ong africaine accréditée à Genève, accréditée à l’ECOSOC, comment toutes ces parties procèdent pour décaisser l’argent du contribuables mauritanien pour payer  les frais de voyage, l’argent de poche et autres avantages illicites à ceux qui sont chargés de mener la guerre contre les vrais défenseurs des droits humains. 


Je vous informe, chers messieurs, chères mesdames, que le président de l’ong  Comité Internationale pour le Respect et l’Application de la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des peuples ( CIRAC), monsieur Malusa Wa Mavula M. qui m’avait fourni l’invitation sur ordre de l’ambassadeur et l’accréditation pour participer à la 22 éme session ordinaire du conseil des droits de l’Homme au Palais des Nations à Genève, du 22(février au 22 mars 2013, m’a refusé le badge d’entrée car m’a-t-il dit , il nous faut le feu vert de l’ambassadeur de Mauritanie à Genève, Cheikh Ahmed Ould Zahaf ; ce dernier ayant eu vent je ne dirai pas ce qui est conforme à la ligne de définie du gouvernement mauritanien, a purement et simplement  ordonné aux ongs qui lui sont  inféodées, celle de mon oncle, l’Association contre le discours extrémiste, et celle de M Malusa, citée plus haut, il leurs a ordonné de m’empêcher d’accéder à  la salle ou se déroule la cession du conseil ;

Ainsi, avant de revenir en détail, sur les menaces aux quelles je suis l’objet, dans d’autres écrits, je dénonce avec vigueur cette copinage entre ongs sensées et prétendument indépendantes et les cercles  diplomatiques et policiers des États.

Genève, le 20 mars 2013  
    
 Mohmed Ould ElKory

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