Le
seul délit qu’il a commis, c’est d’avoir
refusé de cautionner les mensonges de l’état Mauritanien, la corruption de
certaines ONG Africaines dites de « défenses des droits humains » qui
sont malheureusement accréditées au cœur des Nations-Unies par le pervers ambassadeur
Ould Zahave. L’état Mauritanien au lieu de libérer les victimes de l’esclavage
préfère utiliser l’argent des aides des
pays occidentaux et du monde arabe qu’on nous chante tous toujours sont
destinées à combattre la pauvreté, lutte contre l’esclavage, de l’analphabétisme et j’en passe pour financer
des ONG bidons, cartables afin de camoufler ce crime contre l’humanité au cœur même des
nations-unies. C’est scandaleux que la
commission des droits de l’homme à Genève laisse faire, nous avons la preuve
que se sont bien les autorités Mauritaniennes qui corrompent des certaines ONG et ses affiliées pour taire l’esclavage. Les sommes colossales que l’état
Mauritanien dépense ici et là, ne peuvent elles pas financier des centres d’accueils
et de formations pour les victimes de l’esclavage qu’on libère ? Pourquoi
cette cruauté inhumaine gratuite en 2013? Cela nous prouve une fois de plus que l’état
Mauritanien sans contrainte, ne combattra jamais l’esclavage. Parler des
séquelles de l’esclavage sans jamais avoir combattu le fléau relève de l’utopie.
Pas d’écoles dans les Adwaba, pas de sanitaires, aucun projet au développement
mais l’état Mauritanien de par son nègre de service l’ambassadeur Ould
Zahave utilise tous les moyens pour écraser
les victimes et les abolitionnistes. Non, la Mauritanie doit être fermement condamner en coupant toutes les aides
destinées aux faux projets qu’elle soumette alors qu’ils sont faits pour enrichir
les maitres d’esclaves mais aussi corrompe certaines ONG africaines qui ont un
pied au siège des nations unies à Genève. La crédibilité de la commission de « certaines ONG Africaines » est grave atteinte, la communauté internationale doit réagir
au plus vite pour rappeler à l’ordre l'état Mauritanien.
Ci-joint
le courrier d’alerte et le témoignage poignant d’un désespéré. Bonne réception.
Mohmed
Ould ElKory, citoyen mauritanien, membre de
la communauté Hratin(esclaves et anciens esclaves de Mauritanie),
actuellement à Genève en Suisse.
Lettre au
-
président du conseil des Nations-Unies pour les droits de l’homme
à Genève
-
à la Haut Commissaire des Nations-Unies pour les Droits de l’Homme
à Genève
-
au président d’IRA-Mauritanie à Nouakchott(Mauritanie)
Messieurs,
Madame, je fais partie de l’ethnie Hratin, la communauté la plus nombreuse de
Mauritanie, mais hélas celle qui continue à subir les pratiques de l’esclavage,
la discrimination raciale et de naissance, les privations d’éducation, de santé
et la paupérisation économique et sociale.
Notre
communauté est aussi victime de la répression et d’interdiction de s’associer,
de manifester et au droit de s’exprimer sur notre situation de désolation
multiséculaire ; à toute notre élite, le pouvoir discriminatoire et
esclavagiste en Mauritanie, impose le
silence sur nos problèmes ou les fausses déclarations et faux témoignages ;
et c’est à ce prix que certains de nos cadres et personnalités puissent occuper
des postes dans l’Etats ou obtenir des avantages en contre-partie de cette
infamie.
C’est
pourquoi messieurs et mesdames, mon
oncle Mohamed ould Brahim à bénéficier de l’enregistrement par le ministre de
l’intérieur de Mauritanie, d’une prétendue ong des droits humains(organisation
contre le discours extrémiste), et ce au lendemain de l’emprisonnement du
président d’IRA-Mauritanie et certains de ses compagnons, le 13 décembre 2010 à
propos de leur dénonciation d’une affaire d’esclavage. Cet oncle qui avait pour
mission, en compagnie d’autres hratin comme lui, de vilipender le président
d’IRA et le charger injustement dans les journaux du pays et dans les forums
internationaux, cet oncle qui est très
introduit dans les milieux des renseignements, je dépendais de lui et il m’a
enregistré comme membre de son ong.
Je
n’avais pas le choix, mais bien sûr qu’en tant que hartani, mon cœur et mon âme
battaient pour IRA et son président ; je ne pouvais pas exprimer ce
sentiment publiquement à l’intérieur vue
ma dépendance totale de mon oncle et les mesures de rétorsion qu’il pouvait
prendre contre moi ; mais maintenant que mon oncle m’a fait voyager à
Genève sur demande de l’ambassadeur Ould zahaf avec la mission de
m’attaquer à IRA et à son président au conseil des droits humains, je profite
de cette occasion et de l’environnement de liberté dans ce pays, pour clamer
haut et fort, mon refus du système esclavagiste qui opprime ma communauté et
toute ma solidarité avec Biram Dah ABEID
et IRA-Mauritanie.
Et
dans un second document, qui sera adressé au destinataires de cette lettre et à
l’opinion publique nationale et internationale, je dévoilerai comment le
commissariat au droits de l’homme, à la lutte contre la pauvreté et pour la
relation avec la société civile en Mauritanie, l’ambassade de la Mauritanie à
Genève et une ong africaine accréditée à Genève, accréditée à l’ECOSOC, comment
toutes ces parties procèdent pour décaisser l’argent du contribuables mauritanien
pour payer les frais de voyage, l’argent
de poche et autres avantages illicites à ceux qui sont chargés de mener la
guerre contre les vrais défenseurs des droits humains.
Je
vous informe, chers messieurs, chères mesdames, que le président de l’ong Comité Internationale pour le Respect et
l’Application de la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des peuples (
CIRAC), monsieur Malusa Wa Mavula M. qui m’avait fourni l’invitation sur ordre
de l’ambassadeur et l’accréditation pour participer à la
22 éme session ordinaire du conseil des droits de l’Homme au Palais des Nations
à Genève, du 22(février au 22 mars 2013, m’a refusé le badge d’entrée car
m’a-t-il dit , il nous faut le feu vert de l’ambassadeur de Mauritanie à
Genève, Cheikh Ahmed Ould Zahaf ; ce dernier ayant eu vent je ne dirai pas
ce qui est conforme à la ligne de définie du gouvernement mauritanien, a purement
et simplement ordonné aux ongs qui lui
sont inféodées, celle de mon oncle, l’Association
contre le discours extrémiste, et celle de M Malusa, citée plus haut, il leurs
a ordonné de m’empêcher d’accéder à la
salle ou se déroule la cession du conseil ;
Ainsi,
avant de revenir en détail, sur les menaces aux quelles je suis l’objet, dans
d’autres écrits, je dénonce avec vigueur cette copinage entre ongs sensées et
prétendument indépendantes et les cercles
diplomatiques et policiers des États.
Genève,
le 20 mars 2013
Mohmed
Ould ElKory
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