Le commissaire aux droits de l'homme, le nègre de service M. Ba Mariam Koita compte
se rendre demain 21 septembre 2012 à
Genève. Il est prévu dans son discours de nier l’existence de l’esclavage
et le racisme d’état sur le sol Mauritanien. Il sera accompagner dans sa sale
besogne par le témoignage d’un autre negre de service qui se présentera au nom
d’une association cartable qui n’existe que de nom, créée de toutes pièces par le
général Ould Abdel Aziz pour saboter les actions des vrais associations et ONG
Abolitionnistes. Il appuiera ainsi le
discours négationniste de M.
Ba
Mariam Koita pour couvrir les mensonges d’état au nom de la
communauté victime « haratine » . Nous demandons la mobilisation
des militants des droits de l’homme dans le monde entier pour claquer la porte
au nez à ces marchands de crime contre l’humanité
sans vergogne. Nous sommes au 21ème siècle, les pratiques de l’esclavage
perdurent encore en Mauritanie avec la complicité active des autorités du pays sur place qui refusent de reconnaitre la
réalité des choses. Les ONG affilient à l’ONU qui invitent l’état Mauritanien
sans le contraindre à combattre le fléau sont aussi responsables et coupables
de complicité de ce crime contre l’humanité. Comment l’état Mauritanien peut il
nier l’évidence en séquestrant les militants abolitionnistes pendant plusieurs
mois en prison sans aucune raison ? Ils viennent d’être libéré provisoirement
en leur tête M. Biram Ould Dah Ould Abeid qui est tombé gravement malade au
cours de sa détention en prison et les
autorités lui avaient refusés l’accès aux soins catégoriquement. Lire sur lien :
http://haratine.blogspot.fr/2012/09/sos-liberte-provisoire-pour-biram-ould.html
D’autant
plus, ils étaient accusés à tort de « terrorisme » après avoir incinéré
des livres qui cautionnent et encouragent l’esclavage avec une doctrine la plus cruelle au monde. Vous voyez comment
un état qui prétend combattre l’esclavage accuse les mouvements et ONG de
terroristes parce qu’ils défendent les victimes de l’esclavage et du racisme.
Tant que ces traditions ancestrales comme certains rites frauduleusement
greffés à la religion qui définissent le statut de l’esclave comme ci-dessous
ne sont pas abandonnés, l’esclavage ne sera jamais aboli dans ce pays .
1- La femme esclave doit entretenir son maître par sa chair.
2- Elle ne doit pas couvrir son corps du regard de son maître.
3- L'enfer promis à l'esclave qui n'obéit pas son maître
4-. Un maître peut vendre ou marier son esclave à qui il veut et a tout moment.
5- Le maître peut terminer le mariage de son esclave chaque fois qu'il le veut.
6- interdiction pour un esclave ou descendant d'esclaves de diriger la prière
7- Un maître peut à tout moment entretenir des rapports sexuels avec son esclave.
2- Elle ne doit pas couvrir son corps du regard de son maître.
3- L'enfer promis à l'esclave qui n'obéit pas son maître
4-. Un maître peut vendre ou marier son esclave à qui il veut et a tout moment.
5- Le maître peut terminer le mariage de son esclave chaque fois qu'il le veut.
6- interdiction pour un esclave ou descendant d'esclaves de diriger la prière
7- Un maître peut à tout moment entretenir des rapports sexuels avec son esclave.
Je vous remercie
Diko hanoune
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