In the name of Allah, Most Gracious, Most Merciful
Il a été dit à Mr. Bocar Almada Fouta que, quand
une personne ou un groupe de personnes entreprennent des actes
positives, eh bien, il faut reconnaitre et apprécier ces actes positives,
et donc d’encourager les individus ou l’individu à en faire d’avantage.
Il y a du POSITIVE dans cette première partie de l’interview du responsable
politik du parti. Et ceci en attendant de savoir ce qu’il aura dans la
deuxième partie—une interview conduite par notre ami Mr. Ba Bocar Almada
Fouta, « l’homme parmi les hommes qui ne fuient pas les débats ».
Ce qu’il ya de Positive dans l’interview, est que, le responsable
du parti politik, pour la première fois , n’a pas mâché ses
mots a l’égard du SYSTEME APARTHEID beydane raciste esclavagiste, et
surtout a l’égard du petit brigadier beydane raciste qui, a l’époque,
était qualifie’ de «homme de confiance» (Revoir vos archives).
Dans cette première partie de l’interview, le langage du chef du
parti politik est clair, limpide, et sans ambages a l’égard de tous les
beydanes racistes chauvins qui veulent l’entendre ---de commencer par le
« faux general»-- c'est-à-dire «Sénéral Azziz».
Ce qui suit une analyse de quelques passages de l’interview du
responsable politik. Et pour plus de clarté, cet exposé est divisé en
différentes parties:
I. Le Chef du parti explique exige que lumière soit faite sur
l’assassinat du jeune Lamine Mangane
« [….] Le Bureau Politique de l’AJD/MR a décidé sur le coup de
suspendre toute participation à la majorité et posé en autres conditions que la
lumière soit faite sur ce crime et que les coupables soient traduits devant les
tribunaux. Au bout de six mois d’attente et après avoir fait le bilan de notre
participation à la majorité, nous décidons notre retrait définitif. »
Retenons ici : « Que la lumière soit faite sur ce
crime et que les coupables soient traduits devant les tribunaux » mais
surtout : « […] on ne pouvait pas continuer à travailler avec un
régime qui tue nos enfants. »
II. Le Chef du parti politik reconnait que, «Rien n’a
change’ a l’intérieur de la Mauritanie», contrairement a « Tout
a change’ a l’intérieur de la Mauritanie » comme le croyaient naïvement
certains kadres du parti, au congre’ des FLAM en 2005.
-« Le système qui dirige ce pays depuis toujours et incarné par
l’actuel régime n’a plus de gêne pour agir de la sorte. L’exclusion des
négro-africains de l’administration est presque achevée, les élites ne se
renouvellent pas et, ce n’est même plus une question de langue, les arabisants
négro-africains ne sont pas promus pour autant, ceux qui sont en place ne sont
pas utilisés. »
Cet extrait de l’interview se passe de commentaires, surtout quand
le chef du parti politik se lamente en ses termes: «L’exclusion
des négro-africains de l’administration est presque achevé ». Pour
étayer son argument, le chef du parti politik évoque les dernières nominations
racistes du petit brigadier beydane raciste anti Noirs —des nominations
racistes dans lesquelles, sur 43 nominations au total (nominations
konseil de ministres et nominations police), il n’y avait en tout et pour tout
que trois (3) Toukouleurs. Ces trois toukouleurs étaient des
halpulaars. C’est dire que les Soninkés, les Wolofs et les Bambaras n’existent
pas en Mauritanie (Revoir vos archives)
-- « Le système esclavagiste et racial est devenu
par la force des choses tribal. En effet, un peuple qui en opprime un autre
n’est jamais libre».
De ce passage, la déduction logique est que, les Beydanes racistes
esclavagistes sont également des esclaves, car « un peuple qui en
opprime un autre n’est jamais libre.»
--« La situation particulière des négro-africains résulte en
premier lieu de l’action néfaste du système ségrégationniste depuis le régime
de Moctar Ould Daddah, elle a été surtout aggravée par la purge ethnique
organisée par le régime le plus négrophobe de tous les temps, celui de Moawiya
Ould Sid’Ahmed Taya, appuyé par certains groupes nationalistes arabes.»
De ce dernier passage, il faut surtout garder: « Le Système
ségrégationniste depuis le régime de Moctar agrée par ; la purge
ethnique organise’ par le régime negrophobe de Maouya Sid’ahmed Taya appuyes
par des beydanes [racistes complexxes’].»
III. Au cours de l’Interview, le chef du parti politik affirme que les
Noirs ont désormais perdu la bataille.
-- « Nous avons fondé beaucoup d’espoir sur le
Président Mohamed Ould Abdel Aziz, qui peine à résoudre le passif humanitaire
matériel depuis déjà trois ans qu’il est légalement au pouvoir. Avant 1986,
même Moawiya n’osait pas faire des nominations de ce genre en Conseil des
Ministres, mais comme disent les pulaars « Be kawii Be kanndiima », la boucle
est bouclée ! »
De ce passage sans ambages, le ton de désespoir double’ d’une
grande frustration du chef du parti, est bien clair quand il dit : « Nous
avons fondé beaucoup d’espoir sur le Président Mohamed Ould Abdel Aziz, qui
peine à résoudre le passif humanitaire matériel depuis déjà trois ans qu’il est
légalement au pouvoir.»
De ce passage, on ne peut plus clair, il faut conclure que, nom
seulement « l’homme de confiance » est un raciste
épaté, mais également un traitre vulgaire a la nation. D’où donc il ne fallait
jamais avoir confiance a «l’homme de confiance.»
Cependant le désespoir et la frustration du chef du parti politik
atteignent surtout le sommet quand il confesse que, Noirs ont
perdu la bataille devant les Beydanes racistes et le Système Apartheid racistes
esclavagiste. Et c’es pour confirmer cette defaite, il dit : «Avant
1986, même Moawiya n’osait pas faire des nominations de ce genre en Conseil des
Ministres, mais comme disent les pulaars « Be kawii Be kanndiima », la boucle
est bouclée ! »--
Pour ceux qui ne parlent pas la langue Pulaar : « Be kawii Be
kanndiima », cela a veut dire qu’ils [les Beydanes et le Système
apartheid beydane raciste esclavagistes] ont totalement remporte’ la victoire
contre les Noirs qui ont perdu la bataille.
IV. Le Chef du parti fait politik fait recours au
Hadiths du Prophète (PLS) et fustige le petit brigadier beydane raciste et le
système Apartheid raciste :
-« Donc, aucune gêne, aucune honte, qui ose parler de peur
d’offenser ? Le prophète (PSL) n’a-t-il pas dit « celui qui n’a pas honte,
qu’il fasse ce qu’il veut ». Je crois sincèrement que Mohamed Khouna Ould
Haïdalla a été le Président le plus soucieux de l’unité et de l’égalité entre
nos composantes nationales. C’est lui qui a aboli l’esclavage et promulgué les
mesures d’octobre 1979 donnant aux langues nationales pulaar soninké et wolof
une place de choix que nous avons perdu aujourd’hui. »
Cet extrait de l’interview se passe également de commentaires. Le
responsable du parti politik affirme, et a juste titre que, les beydanes sont
des munaafiquun qui n’ont honte de rien. Se dire « Musulmans »
et en même temps se livrer à des actes racistes abjects, c’est mentir: Car un
Musulman ne doit pas discriminer. « Akaramakoum inndal Laah
atqaakoum» (L e saint Coran)
V. Le Chef du parti politik fustige les Negres de services traitres
-espions qui ont aide’ Maouya de commettre le génocide contre leur propre
race :
« Qui pourrait imaginer qu’en 2012, deux chaînes de
télévision et cinq chaînes de radio privées seraient autorisées en excluant les
promoteurs négro-africains ? Encore une fois, il ne s’agit plus de pleurnicher
sur la situation, personne ne doit plus s’en étonner, même certains arabes de
bonne foi le reconnaissent quand ils n’en font pas un cheval de bataille contre
l’actuel pouvoir, alors qu’ils ont participé au génocide organisé par Moawiya
devant la complicité de certains cadres négro-africains qui veulent jouer
aujourd’hui aux défenseurs de la communauté martyrisée. Quand on voit
maintenant ceux qui parmi des négro-africains qui niaient systématiquement
cette oppression nationale et taxaient tous ceux qui la dénonçait d’ennemis du
peuple, de diviseurs et de nationalistes étroits, s’ériger en grands
théoriciens de l’exclusion, on peut dire que la situation a évolué ! »
Ce qui est révélateur c’est quand le responsable du parti politik dit :
« il ne s’agit plus de pleurnicher sur la situation, personne ne doit plus s’en
étonner, même certains arabes de bonne foi le reconnaissent quand ils n’en font
pas un cheval de bataille contre l’actuel pouvoir, alors qu’ils [Beydanes
terroristes] ont participé au génocide organisé par Moawiya devant la
complicité de certains cadres négro-africains qui veulent jouer aujourd’hui aux
défenseurs de la communauté martyrisée ».
Ici il faut surtout retenir quand il dit : «la complicité
[du GENOCIDE] de certains cadres négro-africains qui veulent jouer aujourd’hui
aux défenseurs de la communauté martyrisée.»
Conclusion-Question :
Mr. Bocar Alamada Fouta, de par cette interview, est-ce à dire que
l’AJD/MR-C est sur la bonne voix de devenir un mouvement de masses, a
l’image de TPMN et de l’IRA ?
Il n’est jamais tard pour un parti politik mal parti de se ressaisir et
de devenir un mouvement de masses opprimées , exclues, et marginalisées qui
continuent de languir sous la domination. Mais malgré cette marginalisation
continue, un des kadres du parti, politik, répondant au nom de « Moulaye
Dioum », lui regrette le départ de l’AJD/MR de la « Majorité
présidentielle raciste».
Ce kadre égaré exprime son regret en ces termes : «Je pense que
nous aurions dû rester dans la majorité présidentielle. Même si nous n'occupons
pas des fonctions nos idées pourrons l'être ». ??!!!!
Quelquefois il est vraiment difficile de comprendre la psychologie
du Negro opprime’. Sinon, « rester dans la Majorité présidentielle
raciste» what for
Kowri Soh
Baltimore, USA
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