Malgré leurs paliers intellectuels, leurs apports politiques et les nombreuses associations, ils n’arrivent pas à s’entendre entre eux, pour faire face à cette minorité dominante. Où est donc passé ce courage caché derrière des pages kilométriques sur le web ?
C’est par faiblesse, par manque de maturité, de l’irresponsabilité et une grande carence de vouloir diriger ou de vouloir propulser quelqu’un, qui a fait que l’on s’est retrouvé avec des dizaines d’associations pour une même cause. Et le malheur dans tout ça, c’est que ces associations sont devenues des ennemies les unes contres autres et des fois, elles portent le même nom.
Il est temps que la Diaspora arrête son petit spectacle(fenaande nde juutii), de vouloir être les irréprochables ou les plaignants de l’injustice, en entamant une campagne de dénigrement contre ses aînés, qui représentent aujourd’hui les pionniers de la résistance des noirs en Mauritanie, tel Que Ibrahima Moctar Sarr:(Oon ko remɗa,satta nanndo mum.Ɗaɓɓaani neema yooli renndo mum.Mo dogaani oppiri gaño ngenndi mum.Mbaroodi wullee jaaña.)..
Nous n’allons pas revenir sur le passé de Mr Sarr(Ndeen so pamaro hakkille nanii,ƴuufa,duka,ƴettoo haa kunungal waɗa nguufa), connu de tous, mais il est à retenir encore qu’il fait parti des indomptables qui n’ont pas abandonné leur pays sous la pression d’un gouvernement (Oo, wonaa haljinaa dogi yeeƴaaki)et il continu de résister sous une autre forme que les chétifs d’esprit n’arriveront jamais a discerner. Même dans la majorité, Mr Sarr a fait preuve de son engagement en imposant sa langue comme moyen de communication au sein de cette même majorité ,un acte digne d’un bon dirigeant et incorruptible.
Avec Mr Sarr, la population noire opprimée depuis les airs des indépendances, s’est rendue compte de l’importance de se rassembler autour d’un et seul dirigeant(mone ndaara wone yoo hoyno bajjo). Qu’elle ne doit pas attendre un miracle des pays occidentaux, ni de la Diaspora. Cette dernière est composée d’une minorité de personnes, qui n’ont même plus la possibilité de fouler le sol Mauritanien et ne sont plus valables comme électeurs..
Ils doivent se dire qu’ils ont une grande part de responsabilité de ce qui se passe aujourd’hui en Mauritanie(Dogɗo oppiri gaño ngenndi mum hoto woyru hay gooto), en négligeant un peuple affaibli par la barbarie et discrimination d’un gouvernement ségrégationniste, sans jamais se retournés pour savoir la réalité des choses sur le terrain(Fiirateeɓe,ndiiwe golle sibu ina njiidi e mon).
Aujourd’hui, protégés et logés paisiblement dans des Pavillons ou appartements climatisés en été et réchauffés en hiver, dans des pays démocratiques(Europe, Amérique)(wosteede ko ɗo mon haaɗi,kala ko kaalɗon yaadata ko e henndu),loin du système du gouvernement Mauritanien ou loin de Ould Abdel Aziz, ils se prennent pour des courageux et incorruptibles. Ouf !!!!que des diffamateurs !(Haala,yaadata ko e golle).
Car, malgré leurs paliers intellectuels(Jomen gannde ɗe naftataa), leurs apports politiques et les nombreuses associations, (Keeweendi ndi barkinaani),ils n’arrivent pas à s’entendre entre eux, pour faire face à cette minorité dominante. Où est donc passé ce courage caché derrière des pages kilométriques sur le web ?
C’est par faiblesse, par manque de maturité, de l’irresponsabilité et une grande carence de vouloir diriger ou de vouloir propulser quelqu’un, qui a fait que l’on s’est retrouvé avec des dizaines d’associations pour une même cause(Ronkuɓe rentude,mbaawa ardaade). Et le malheur dans tout ça, c’est que ces associations sont devenues des ennemies les unes contres autres et des fois, elles portent le même nom. Jusque là donc, cette dite « Diaspora » n’a pas fait preuve de ses capacités, autres que le fait de dénigrer ou d’abaisser ceux qui veulent jouer le jeux avec ce gouvernement xénophobe.
Et bizarrement, il suffit un seul passage de Ould Abdel Aziz pour voir apparaître des trahisons entre ces associations(Moni kala so fewnitiima njanfo).
Oui !arrêtés votre cinéma car vous n’avez même pas entamé votre combat et vous voilà séparés et aveugles(Puɗɗaaki luurdi en), cependant que l’ennemi enfonce les racines de son pouvoir raciste.
Depuis les airs des indépendances (1960),particularité faite de la toute petite période de résistance de certains honorables hommes comme :Mamadou Samba Diop(Baaba Lenol),Djigo tapsirou,Téne,Youssouf Guéye,
Djibi Hamet Ly,Ibrahima Moctar Sarr,Bâ Fara,Kane Saydou (Hannde noon dummbirɗi nguddii jiɗɗo fof haala)et autres, les noirs mauritaniens sont victimes d’une discrimination incontestable, d’où il est important de se poser la question : Faut-il croire encore à cette Diaspora ?(Holi gollal mon maantin ngal?)
Mr Dicko, si vous l'avez oublié,alors on doit vous rappeler, que vous avez une grande et trés compliquée tâche(Foti wojde ɓuutaaɗo ko dolde), qui est de soutenir et vous battre pour l’abolition totale de l’esclavage en Mauritanie. Vous le savez mieux que tout le monde, que les Haratines sont scrutés comme une classe d’esclaves et donc invalides chez les maures blanc. Même si très tôt, leurs aînés, ont eu l’idée de mettre en place le grand mouvement « AL HOR »(la liberté),les haratines restent encore aux services des maures blanc et constitue sa grande base électorale depuis le vent de la dite « Démocratie » en Mauritanie(Ɗum dey mboɗo sikki yonii ngaƴa?).
Il est donc important Mr Dicko de conscientiser cette partie et éviter des diffamations qui ne font que creuser la très grande fossé qui existe déjà entre les composantes de ce peuple noir.
La lutte ne peut continuer et aboutir, que si l’on arrête de nous en prendre entre nous et arrêter d'être des hypocrites.
"So puuyɗo nanii sikka ko dokkal,soko mo wiiñi tawa ko timmal".
Sarr Abdallahi
Dit
Demba sarr
Nous n’allons pas revenir sur le passé de Mr Sarr(Ndeen so pamaro hakkille nanii,ƴuufa,duka,ƴettoo haa kunungal waɗa nguufa), connu de tous, mais il est à retenir encore qu’il fait parti des indomptables qui n’ont pas abandonné leur pays sous la pression d’un gouvernement (Oo, wonaa haljinaa dogi yeeƴaaki)et il continu de résister sous une autre forme que les chétifs d’esprit n’arriveront jamais a discerner. Même dans la majorité, Mr Sarr a fait preuve de son engagement en imposant sa langue comme moyen de communication au sein de cette même majorité ,un acte digne d’un bon dirigeant et incorruptible.
Avec Mr Sarr, la population noire opprimée depuis les airs des indépendances, s’est rendue compte de l’importance de se rassembler autour d’un et seul dirigeant(mone ndaara wone yoo hoyno bajjo). Qu’elle ne doit pas attendre un miracle des pays occidentaux, ni de la Diaspora. Cette dernière est composée d’une minorité de personnes, qui n’ont même plus la possibilité de fouler le sol Mauritanien et ne sont plus valables comme électeurs..
Ils doivent se dire qu’ils ont une grande part de responsabilité de ce qui se passe aujourd’hui en Mauritanie(Dogɗo oppiri gaño ngenndi mum hoto woyru hay gooto), en négligeant un peuple affaibli par la barbarie et discrimination d’un gouvernement ségrégationniste, sans jamais se retournés pour savoir la réalité des choses sur le terrain(Fiirateeɓe,ndiiwe golle sibu ina njiidi e mon).
Aujourd’hui, protégés et logés paisiblement dans des Pavillons ou appartements climatisés en été et réchauffés en hiver, dans des pays démocratiques(Europe, Amérique)(wosteede ko ɗo mon haaɗi,kala ko kaalɗon yaadata ko e henndu),loin du système du gouvernement Mauritanien ou loin de Ould Abdel Aziz, ils se prennent pour des courageux et incorruptibles. Ouf !!!!que des diffamateurs !(Haala,yaadata ko e golle).
Car, malgré leurs paliers intellectuels(Jomen gannde ɗe naftataa), leurs apports politiques et les nombreuses associations, (Keeweendi ndi barkinaani),ils n’arrivent pas à s’entendre entre eux, pour faire face à cette minorité dominante. Où est donc passé ce courage caché derrière des pages kilométriques sur le web ?
C’est par faiblesse, par manque de maturité, de l’irresponsabilité et une grande carence de vouloir diriger ou de vouloir propulser quelqu’un, qui a fait que l’on s’est retrouvé avec des dizaines d’associations pour une même cause(Ronkuɓe rentude,mbaawa ardaade). Et le malheur dans tout ça, c’est que ces associations sont devenues des ennemies les unes contres autres et des fois, elles portent le même nom. Jusque là donc, cette dite « Diaspora » n’a pas fait preuve de ses capacités, autres que le fait de dénigrer ou d’abaisser ceux qui veulent jouer le jeux avec ce gouvernement xénophobe.
Et bizarrement, il suffit un seul passage de Ould Abdel Aziz pour voir apparaître des trahisons entre ces associations(Moni kala so fewnitiima njanfo).
Oui !arrêtés votre cinéma car vous n’avez même pas entamé votre combat et vous voilà séparés et aveugles(Puɗɗaaki luurdi en), cependant que l’ennemi enfonce les racines de son pouvoir raciste.
Depuis les airs des indépendances (1960),particularité faite de la toute petite période de résistance de certains honorables hommes comme :Mamadou Samba Diop(Baaba Lenol),Djigo tapsirou,Téne,Youssouf Guéye,
Djibi Hamet Ly,Ibrahima Moctar Sarr,Bâ Fara,Kane Saydou (Hannde noon dummbirɗi nguddii jiɗɗo fof haala)et autres, les noirs mauritaniens sont victimes d’une discrimination incontestable, d’où il est important de se poser la question : Faut-il croire encore à cette Diaspora ?(Holi gollal mon maantin ngal?)
Mr Dicko, si vous l'avez oublié,alors on doit vous rappeler, que vous avez une grande et trés compliquée tâche(Foti wojde ɓuutaaɗo ko dolde), qui est de soutenir et vous battre pour l’abolition totale de l’esclavage en Mauritanie. Vous le savez mieux que tout le monde, que les Haratines sont scrutés comme une classe d’esclaves et donc invalides chez les maures blanc. Même si très tôt, leurs aînés, ont eu l’idée de mettre en place le grand mouvement « AL HOR »(la liberté),les haratines restent encore aux services des maures blanc et constitue sa grande base électorale depuis le vent de la dite « Démocratie » en Mauritanie(Ɗum dey mboɗo sikki yonii ngaƴa?).
Il est donc important Mr Dicko de conscientiser cette partie et éviter des diffamations qui ne font que creuser la très grande fossé qui existe déjà entre les composantes de ce peuple noir.
La lutte ne peut continuer et aboutir, que si l’on arrête de nous en prendre entre nous et arrêter d'être des hypocrites.
"So puuyɗo nanii sikka ko dokkal,soko mo wiiñi tawa ko timmal".
Sarr Abdallahi
Dit
Demba sarr
Lundi 28 Novembre 2011
Boolumbal Boolumbal
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