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mardi 8 novembre 2011

Attention, Le jeune Bakary Bathily doit son salut à un policier noir mauritanien qui a menacé l’usage de son arme de service contre ses collègues….

Bakary Biry Koïta a commencé à fréquenter l'école Française en 1958 à Kaédi, il a obtenu son Bac au lycée national de Nouakchott série A4 ; option Philosophie en juin 1973 avec mention Assez bien. Par la suite, il obtiendra dans le cadre de la coopération Mauritano -Marocaine, une bourse d'études pour préparer une maîtrise en sciences juridiques à l'université MohamedV de Rabat:( Royaume du Maroc). Ces études supérieures ont été sanctionnées en juin 1978, par l'acquisition d'un diplôme de maitrise en droit avec mention assez bien.
De retour en Mauritanie il a occupé les postes de responsabilité ci après d'abord:
1)- Conseiller juridique du président de la cour spéciale de justice  de Mauritanie.
2)- Et par la suite, chef du département juridique et contentieux de l'ex banque internationale pour la Mauritanie dénommée à l'époque:( BIMA ) le 26 Janvier 1983.
Fort de ces trente trois ans de vie et d'expériences professionnelles, il s’est toujours  consacré à la lutte au respect des droits de l'homme en Mauritanie. Il parle couramment l'anglais un peu l'espagnol et peu en arabe.


Voila pourquoi nous  avons recueilli le témoignage poignant  pas comme les autres du maitre Bakary  Biry Koita juriste chevronné. Il nous a dit toute la vérité  sans langue de bois sur les barbaries des policiers Maures blancs qui ont sauvagement agressés le jeune étudiant Bakary Bathily  devant des élus locaux Kaediens  sans qu’ils ne bougent le petit doigt en guise de protestation. Bathiliy faisait partie des sept représentants des contestataires qui devraient négocier la libération de leurs camarades. Ils étaient convoqués le samedi 24 septembre 2011, dans les locaux de la Mairie. Le jeune Bakary Bathily  doit son salut à un policier noir mauritanien qui a menacé l’usage de son arme de service contre ses collègues, s’ils n’arrêtaient pas leur macabre scène de mise à mort du jeune dont le seul crime était de manifester pacifiquement pour réclamer son droit de sang d’appartenir à la Mauritanie, le pays de ces ancêtres. Nous avons décidé de briser le silence autour de cette affaire gravissime dont les auteurs continuent d’exercer non seulement au sein de cette police barbare, raciste, xénophobe mais aussi les auteurs sont sous la protection de leur hiérarchie comme se fut le cas des meurtriers du jeune Lamine Mangane de Maghama. Ces élus nègres de service de leurs poches ne sont plus dignes de nous représenter nulle part dans l’administration, ils doivent payer cher leur traitrise qui perdure depuis l’indépendance à nos jours. Rien doit rester impuni.

Écouter le témoignage sur les liens ci-dessous :





Merci

Diko hanoune

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