Le président de l’IRA tient sa deuxième conférence depuis son retour d’Inal. Il s’explique sur les rumeurs de projet d’attentat commandité contre lui par des tribus proches du pouvoir, et sur le refus de la COD de prendre part à ses cotés au voyage d’INAL. Le 28 Novembre 2012, il se rendra avec les autres défenseurs de droits de l’homme cette fois-ci à Sori Malé, dans la region de brakna en Mauritanie.
Une semaine tout juste après son voyage d’INAL, le président de IRA Mauritanie entouré de son staff est revenu sur les rumeurs ayant fait état d’un attentat qui visait sa personne. Il informe avec à ses cotés le Sénateur Youssouf Sylla que le projet d’attentat révélé par les médias ces derniers jours contre lui est« diabolique et bête».
La main sur le cœur Biram témoigne qu’il est prêt à mourir pour servir son combat contre l’injustice et la défense des plus vulnérables. Sa mort explique t-il va accélérer « la chut du régime du chef de l’Etat ».
Avant cette mise en garde, le patron de l’IRA a remis en cause l’attitude de la COD qui a refusé selon lui de prendre part au voyage d’Inal prétextant que cela ne figurait pas sur son ordre du jour. Cette attitude qu’il juge « décevante » lui fait dire que la COD sort de son terrain de prédilection, qui est « la lutte contre le parti de l’armée ».
La Coordination de l’Opposition Démocratique qui n’a rien gagné dans ce revirement d’après ses propos «veut rassurer les génocidaires ». Biram somme les responsables de cette mouvance politique de se réveiller de leur sommeil pour créer « un rapport de force » face au régime en place.
Pour le Sénateur Youssouf Sylla, « la mort de Biram ne va pas résoudre le problème » car d’autres incarnent le même combat que lui, il propose plutôt la mise en place d’une commission d’enquête pour éclairer l’opinion nationale et internationale sur tous les événements passés depuis 1986 à 1990.
La main sur le cœur Biram témoigne qu’il est prêt à mourir pour servir son combat contre l’injustice et la défense des plus vulnérables. Sa mort explique t-il va accélérer « la chut du régime du chef de l’Etat ».
Avant cette mise en garde, le patron de l’IRA a remis en cause l’attitude de la COD qui a refusé selon lui de prendre part au voyage d’Inal prétextant que cela ne figurait pas sur son ordre du jour. Cette attitude qu’il juge « décevante » lui fait dire que la COD sort de son terrain de prédilection, qui est « la lutte contre le parti de l’armée ».
La Coordination de l’Opposition Démocratique qui n’a rien gagné dans ce revirement d’après ses propos «veut rassurer les génocidaires ». Biram somme les responsables de cette mouvance politique de se réveiller de leur sommeil pour créer « un rapport de force » face au régime en place.
Pour le Sénateur Youssouf Sylla, « la mort de Biram ne va pas résoudre le problème » car d’autres incarnent le même combat que lui, il propose plutôt la mise en place d’une commission d’enquête pour éclairer l’opinion nationale et internationale sur tous les événements passés depuis 1986 à 1990.
Awa Seydou
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