Après plusieurs jours de dialogue entre certains politiciens mauritaniens, le constat reste le même qu’il ya 10 ans ; les acrobaties et autres discours des courtisans n’y ont rien fait. Tous les participants sont d’accord que le pays est malade. Tout le monde a reconnu que la Mauritanie va mal.
Pour extirper ce pays du mal qui l’affecte, il faut des remèdes de cheval. Pour ces remèdes, des hommes politiques se sont parlé pour ressasser les maux de la Mauritanie. A la lumière de cet examen, on a l’impression que tout est à refaire.
Il nous faut tout simplement repenser, comme on a eu à l’écrire, les principes-base de ce sempiternel projet-Etat qu’est la Mauritanie. Le diagnostic n’est pas très loin de celui des journées nationales de concertation de l’époque du CMJD ni celui des 24 points de l’UE, encore moins loin de la facture ou ordonnance du HCE pour le malade : La Mauritanie.
De toutes ces rencontres, rien n’y a fait car la situation du pays est pire que ce qu’elle a été avant l’avènement du CMJD en 2005. Car la posologie de l’administration des remèdes pour soigner ce pays a été sabotée. Victime encore de ces politiques sournois incapables de transformer ces forums en salles d’opérations pour repenser la Mauritanie pour un avenir égalitaire, viable, stable ; en optant pour un état de droit après des rencontres sanctionnées par des conclusions dont la duré de vie ne prendrait pas fin avec les clôtures de ces mêmes rencontres…
Le dialogue national a eu lieu. Des mesures de nature à requinquer la Mauritanie politique sont prises. Le peuple est dans l’attente de la vulgarisation, voire la concrétisation de ce minimum sur lequel les politiques qui se sont rencontrés se sont entendus ; en attendant un autre forum…
Espérons que pour une fois, les conclusions du dialogue qui a duré des semaines accouchera de quelque chose de sain et que la Mauritanie se libérera de son hypocrisie congénitale qui fonde notre quotidien ; ce qui démentira le cercle des nombreux sceptiques qui pensent que les mentalités des Mauritaniens sont « inoxydables ».
Seydi Moussa Camara
Source : La Nouvelle Expression
Pour extirper ce pays du mal qui l’affecte, il faut des remèdes de cheval. Pour ces remèdes, des hommes politiques se sont parlé pour ressasser les maux de la Mauritanie. A la lumière de cet examen, on a l’impression que tout est à refaire.
Il nous faut tout simplement repenser, comme on a eu à l’écrire, les principes-base de ce sempiternel projet-Etat qu’est la Mauritanie. Le diagnostic n’est pas très loin de celui des journées nationales de concertation de l’époque du CMJD ni celui des 24 points de l’UE, encore moins loin de la facture ou ordonnance du HCE pour le malade : La Mauritanie.
De toutes ces rencontres, rien n’y a fait car la situation du pays est pire que ce qu’elle a été avant l’avènement du CMJD en 2005. Car la posologie de l’administration des remèdes pour soigner ce pays a été sabotée. Victime encore de ces politiques sournois incapables de transformer ces forums en salles d’opérations pour repenser la Mauritanie pour un avenir égalitaire, viable, stable ; en optant pour un état de droit après des rencontres sanctionnées par des conclusions dont la duré de vie ne prendrait pas fin avec les clôtures de ces mêmes rencontres…
Le dialogue national a eu lieu. Des mesures de nature à requinquer la Mauritanie politique sont prises. Le peuple est dans l’attente de la vulgarisation, voire la concrétisation de ce minimum sur lequel les politiques qui se sont rencontrés se sont entendus ; en attendant un autre forum…
Espérons que pour une fois, les conclusions du dialogue qui a duré des semaines accouchera de quelque chose de sain et que la Mauritanie se libérera de son hypocrisie congénitale qui fonde notre quotidien ; ce qui démentira le cercle des nombreux sceptiques qui pensent que les mentalités des Mauritaniens sont « inoxydables ».
Seydi Moussa Camara
Source : La Nouvelle Expression
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Je dois être honnête, je ne sais pas tellement au sujet de la situation dans cette région mais je suis intéressé à cette situation, merci pour l'information
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