("Nous devons rester prudents. Les autorités n'ont pas pris du recul dans le cadre l'enrôlement. Elles veulent tout simplement refroidir les gens et continuer leur sale besogne", a déclaré Abdoul Birane Wane, coordinateur du mouvement Touche pas à ma nationalité.
Le coordinateur a déploré aussi le cas de "deux mauritaniens d'origines étrangère qui ont été conduits à la police suite à une tentative de s'enrôler". Ce, malgré qu'elles aient"légalement acquis la nationalité mauritanienne". Il s'agit d'un certain "Maïga marié à une mauritanienne depuis plus de 5ans et père de huit enfants, et un mauritanien d'origine guinéenne", a expliqué le coordinateur.
Allassane Dia, membre dans la coordination, a estimé que "le recensement n'est que la goutte d'eau qui fait déborder le vas. Il a ajouté qu'il est de notre devoir de parler d'autres problèmes des négro-mauritaniens. Ces problèmes existaient mais les gens n'osaient pas aller les dénoncer sur le terrain".
Dia a tenu à rappeler que "les maures sont les premiers bénéficiaires du système raciste mais ne sont pas notre cible. Notre cible c'est l'Etat qui leur accorde avoir savoir et pouvoir".
Yacoub Bâ, chargé des affaires humanitaires dans le mouvement, a ajouté que "nous avons la certitude que les étrangers qui étaient jugés et expulsés ont été arrêtés en marge des manifestations. ils ont été arrêtés dans leur maison ou au lieu de travail. C'est le cas de Abou Sow, qui est arrêté chez-lui devant sa femme. lors de son arrestation, ce sénégalais marchand ambulant a été tabassé par les éléments de la Garde nationale qui lui ont spolié argent et téléphone portable, selon Yavoub Bâ qui reprenait le témoignage des voisins de Sow.
"Pour ce qui est des mauritaniens arrêtés, Yacoub Ba a ajouté que nous n'avons pas de certitudes qu'ils ont été arrêtés pendant les manifestations. Ils sont de toute façon au nombre de 9 et nous sommes en contact avec des avocats pour s'occuper de leur sort". Parmi ces avocats,il y a Me Fatimata Mbaye qui "suit le dossier de Mangane".
D'ailleurs Balla père de Lamine Mangane était prèsent lors de la conférence de presse. Il a rappelé que "les jeunes de Maghama ont repéré l'assassin de mon fils". Mais en ce qui lui concerne, il ne peut pas désigner un coupalble précis. cepedant, il rejette la esponsabilité sur le commandant de brigade qui,dit-il, a "l'habileté d'ordonner de tirer".
Le coordinateur a déploré aussi le cas de "deux mauritaniens d'origines étrangère qui ont été conduits à la police suite à une tentative de s'enrôler". Ce, malgré qu'elles aient"légalement acquis la nationalité mauritanienne". Il s'agit d'un certain "Maïga marié à une mauritanienne depuis plus de 5ans et père de huit enfants, et un mauritanien d'origine guinéenne", a expliqué le coordinateur.
Allassane Dia, membre dans la coordination, a estimé que "le recensement n'est que la goutte d'eau qui fait déborder le vas. Il a ajouté qu'il est de notre devoir de parler d'autres problèmes des négro-mauritaniens. Ces problèmes existaient mais les gens n'osaient pas aller les dénoncer sur le terrain".
Dia a tenu à rappeler que "les maures sont les premiers bénéficiaires du système raciste mais ne sont pas notre cible. Notre cible c'est l'Etat qui leur accorde avoir savoir et pouvoir".
Yacoub Bâ, chargé des affaires humanitaires dans le mouvement, a ajouté que "nous avons la certitude que les étrangers qui étaient jugés et expulsés ont été arrêtés en marge des manifestations. ils ont été arrêtés dans leur maison ou au lieu de travail. C'est le cas de Abou Sow, qui est arrêté chez-lui devant sa femme. lors de son arrestation, ce sénégalais marchand ambulant a été tabassé par les éléments de la Garde nationale qui lui ont spolié argent et téléphone portable, selon Yavoub Bâ qui reprenait le témoignage des voisins de Sow.
"Pour ce qui est des mauritaniens arrêtés, Yacoub Ba a ajouté que nous n'avons pas de certitudes qu'ils ont été arrêtés pendant les manifestations. Ils sont de toute façon au nombre de 9 et nous sommes en contact avec des avocats pour s'occuper de leur sort". Parmi ces avocats,il y a Me Fatimata Mbaye qui "suit le dossier de Mangane".
D'ailleurs Balla père de Lamine Mangane était prèsent lors de la conférence de presse. Il a rappelé que "les jeunes de Maghama ont repéré l'assassin de mon fils". Mais en ce qui lui concerne, il ne peut pas désigner un coupalble précis. cepedant, il rejette la esponsabilité sur le commandant de brigade qui,dit-il, a "l'habileté d'ordonner de tirer".
Samedi 22 Octobre 2011
Boolumbal Boolumbal
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