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samedi 4 août 2012

Urgent : Tortures des jeunes Ould-Yengé, les gendarmes cherchent à acheter le silence des victimes.




Chasser le naturel, il revient en galopant, comme d’habitude, les commandants des brigades des  gendarmeries de Ould-Yengé et Selibaby cherchent à acheter le silence de leurs victimes. Les cinq jeunes qui sont : Yero Bayal Ba, Oumar Dengueré Diallo, Oumar Dia, Belel Diallo et Abda Demba Makam, originaires de la localité de Goumbana, ont été sauvagement torturés par la Brigade de la Gendarmerie de Ould yengé, sous les ordres du commandant de la Brigade bourreau des populations, Sid’Ahmed Ould Mouchtaba avec des fausses accusations d’un commerçant du village. Selon nos sources, les deux brigades de gendarmes refusent d’enregistrer les plaintes des victimes mais proposent une somme d’argent dont nous ignorons à la hauteur de combien ? C’est bon à savoir, l’état Mauritanien sous les ordres d’un nègre de service, le ministre de l’intérieur Mohamed Ould Boilil refuse de prendre les soins des jeunes victimes en charge mais propose d’acheter leur silence quel paradoxe ? D’énormes pressions sont exercées sur les familles avec des menaces sérieuses de mort. Nous suivons cette affaire très grave de corruption alors que le général Ould Abdel Aziz avait fait la lutte anti-gabegie son cheval de bataille. Nous demandons la mobilisation urgente des partis politiques, ONG et associations de défenses des droits de l’homme, la société civile dans son  l’ensemble en faveur des victimes innocentes battues sauvagement par des gendarmes barbares. La région du Guidumakha est le nid de tous les injustices depuis la création de l’état islamique de Mauritanie en 1960, elle est restée enclavée pratiquement inaccessible faute d’infrastructure donc à l’abandon totale.

Agissons vite pendant qu’il est temps pour mettre fin à l’injustice qui touche les pauvres populations en toute impunité. Les élus de la région habitent tous dans la capitale Nouakchott dans des somptueuses villas à l’abri sans jamais se soucier des populations. Ils ne sont visibles que lors des élections avec des liasses de billets banques pour corrompre les chefs de villages, chefs religieux et l’administration locale pour se faire réélire. Trop , c'est trop, il faut que ça cesse.



 

 
Diko Hanoune

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