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lundi 20 août 2012

Indignation : CRIDEM s’attaque à la vie privée de l’éminent professeur d’économe Mauritanien Ely Mustapha


 Que c’est horrible, affreux, je n’ai pas assez de mots dures à l’égard de ce que je viens de découvrir. Après avoir publié l’article du professeur Ely Mustapha, il s’en est  suivi de réactions virulentes à l’encontre du  responsable du site cridem.org en personne d’ailleurs  que je condamne au passage, apparemment CRIDEM cherche à se racheter, en  validant un  article mettant en exergue la vie privée du professeur Ely bafouant  ainsi la déontologie de la presse.  Nous avons été alerté par ces attaques indignes  que nous condamnons avec la plus grande fermeté, l’atteinte à la vie privée d’un homme quelque soit les propos tenus n’est pas tolérable,  l’article publié par cridem  le 20 08 2012 sous le titre : «L’amalgame du Professeur Ely Moustapha ». Nul doute, ceci est fait dans le but de déstabiliser une personne qui n’a dit et a le droit de dire  ce qu’elle pense de la société Mauritanienne actuellement, nous sommes outrés,  consternés par la tournure aux  règlements de comptes certains  hommes du général Ould Abdel Aziz veulent en faire  de son article via le site CRIDEM.  Le responsable du site Mr Claude.K  est l’unique responsable des publications qu’il valide. Dès lors, nous sommes en mesure de constater cette grave atteinte à la vie privée du professeur Ely Mustapha qui n’a rien à envier aux détractés mentaux qui l’en veulent sans aucune raison.  Que dit l’article incriminé signé  par un certain Mohamed ould sidi Aly  ?

«J’ai lu avec attention le pamphlet du Professeur sur la société maure. Des assertions non fondées, des jugements préconçus dans l’objectif de plaire aux partisans de Biram (qui n’existent plus heureusement) en voulant discréditer toute une société à travers des préjugés que Monsieur Ely puise de son imagination. Je rappelle aux lecteurs que le professeur Ely est issu de cette communauté avec laquelle il a rompu tout lien depuis les années 80 lorsqu’il avait obtenu une bourse d’étude en Tunisie. Il s’est installé dans ce pays, coupant les liens avec sa propre famille, complexe oblige, en n’assistant pas aux obsèques de ses siens qui sont morts sans le voir. Le Professeur a fait un mariage d’intérêt avec une tunisienne fortunée et s’est installé dans ce pays et a obtenu sa nationalité.  »


Les lois  et procédures sont claires en plus l’auteur rappelle aux lecteurs du site comme s’il faisait parti de la rédaction. L’objectif n’était pas d'apporté une contradiction aux propos du professeur mais atteindre à sa vie privée  en la mettant sur la place publique. Ceci est une erreur monumentale de la part de CRIDEM qui doit des explications publiques à la famille du professeur Ely Mustapha  et aux militants des droits de l’homme.

INCRIMINATIONS protégeant la personne humaine
LA protection de l’honneur et de la considération

Intérêt protégé : « L’honneur concerne l’intégrité morale de la personne ; la réputation ses relations sociales. Notre législateur protège par priorité la réputation (ou considération). »

Nature du délit : délit formel (attentat) : «  En ce domaine, puisqu’il est délicat de prouver une atteinte effective à l’intérêt protégé, le législateur part d’un délit formel, c’est-à-dire d’un acte de nature à porter atteinte à cet intérêt. Cet acte est particulièrement grave quand il consiste en un mensonge ; mais l’incrimination varie selon que le législateur autorise ou non la preuve de la vérité des faits imputés. »

Incriminations principales

Notions d’injure et de diffamation : « Toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation . La publication directe ou par voie de reproduction de cette allégation ou de cette imputation est punissable, même si elle est faite sous forme dubitative ou si elle vise une personne ou un corps non expressément nommés, mais dont l’identification est rendue possible par les termes des discours, cris, menaces, écrits ou imprimés, placards ou affiches incriminés. Toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l’imputation d’aucun fait est une injure. »

Diko hanoune

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