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samedi 18 août 2012

Pauvre Mauritanien, au lieu de fêter, indigne-toi....


 
Que dire ? Bonne fête à qui ? Aux esclavagistes qui savourent la sueur du front des esclaves en ôtant la virginité de leurs petites filles mineures en criant Allah Akbar? Une pensée pour ces milliers d’esclaves qui travailleront demain jusqu’à l’épuisement pendant que les maitres mangent et dansent. Vous oubliez chers croyants de bonne foi, cette nuit, les esclavagistes Mauritaniens vont violer plusieurs filles mineures esclaves pendant que les parents et grands parents travaillent d'arrache pieds pour les graisser ? Pauvre Mauritanien, au lieu de fêter, indigne-toi, il est claire comme l’eau de la source, nous ne fêterons les fêtes religieuses que lorsque le clergé Mauritanien arrête de cautionner les livres qui justifient les pratiques barbares de l’esclavage. Une pensée pieuse aux militants abolitionnistes séquestrés arbitrairement depuis le 28 avril 2012. Tant que l’esclavage sauvage persiste avec la complicité des autorités Mauritaniennes, nous ne devons fêter aucune fête. Boycottons tout ce qui est lié aux manipulations religieuses. Jugez vous même se qui est écrit dans les livres  qu’ils considèrent comme saints:
1-La femme esclave doit entretenir son maître par sa chair.
2- Elle ne doit pas couvrir son corps du regard de son maître.
3- L'enfer promis à l'esclave qui n'obéit pas son maître
4-. Un maître peut vendre ou marier son esclave à qui il veut et a tout moment.
5- Le maître peut terminer le mariage de son esclave chaque fois qu'il le veut.

6- interdiction pour un esclave ou descendant d'esclaves de diriger la prière
7- Un maître peut à tout moment entretenir des rapports sexuels avec son esclave.


Vous cautionnez ça vous aussi? C'est ça la religion sérieusement? Vous croyez vraiment à ça, en plus  êtes vous prêt à passer à l'acte cette nuit pour aller au paradis? Sur ce , je vous laisse réfléchir en bon musulman!

Diko hanoune

1 commentaire:

  1. Je n'ai pas de mots, j'ai honte de l'être humain, rdv au jour du jugement.

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