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mardi 7 janvier 2014

SOS : L’état Mauritanien et les barbus utilisent l’islam pour terroriser les citoyens.



Vous dites que ce faux général Aziz combat le terrorisme ? Vous en êtes sûr ?  Êtes vous sûr qu’il est musulman et croit à Dieu ? Vous ne pensez pas qu’il croit plutôt à l’argent de la drogue que Dieu ? Qu’est ce qu’un homme qui se prend comme un Dieu vivant  à faire avec une quelconque foi ? Un jeune qui a posté un article dénonçant les inégalités se retrouve menacer par la peine de mort, la prostituée de la république Mme Irabiha Mint Abdel Wedoud vient d’exhiber la fameuse loi qui devrait déjà emporter le  délinquant fils du général lui-même le nommé Badr Ould Mohamed Abdel Aziz depuis belle lurette, Irabiha incite la décapitation selon la peine de mort en vigueur dans le pays quelle horreur du jeune Mohamed cheikh Ould Mohamed. L’histoire retiendra qu’on n’a jamais eu une aussi mauvaise présidente de ladite commission nationale des droits de l’homme  que nous avons  identifiés  étant la commission qui couvre les crimes des barbus et de l’état comme cette fumiste notoire. L’islam religion de l’état, alors coupez les mains des voleurs en leur tête Aziz, l’islam religion de l’état alors condamner à mort Taya qui a tué des innocents en plein mois du ramadan, islam religion de l’état alors tuer les criminels qui se pavanent dans la capitale Nouakchott depuis en 1989. Nous avons compris que l’islam de l’état Mauritanien et ces barbus barbares est mis en avant soit pour condamner des personnes par rapport à leur ascendance ou imposer un pardon aux victimes de la barbarie raciste de certains mauritaniens qui s’identifient à l’arabité en revendiquant leur ascendance arabesque fausse. Les vrais criminels, se sont les imams menteurs en leur tête ce faux incompétent général Aziz terroriste. Libérez  le martyr des mensonges éhontés des barbus terroristes et l’état Mauritanien Mohamed cheikh ould Mohamed sans condition.

Irabiha Abdel Wedoud Présidente de la Commission Nationale des Droits de l’Homme/ CNDH Mauritanie
« Tout musulman coupable du crime d'apostasie, soit par parole, soit par action de façon apparente ou évidente, sera invité à se repentir dans un délai de trois jours.

S'il ne se repent pas dans ce délai, il est condamné à mort en tant qu'apostat, et ses biens seront confisqués au profit du Trésor. S'il se repent avant l'exécution de cette sentence, le parquet saisira la Cour suprême, à l'effet de sa réhabilitation dans tous ses droits, sans préjudice d'une peine correctionnelle prévue au 1er paragraphe du présent article. Toute personne coupable du crime d'apostasie (Zendagha) sera, à moins qu'elle ne se repente au préalable, punie de la peine de mort».

« Cette violence, théorisant des thématiques diffamatoires ayant pour but de discréditer l'Islam et son Prophète, est inacceptable en ce qu'elle trouble et outrage tout un peuple dans ses convictions les plus profondes. La Commission Nationale des Droits de l’Homme marque sa désapprobation et sa condamnation fermes, d'une telle conception de la liberté d'expression et de conscience. »

Diko hanoune

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