Maitre Brahim Ould Daddah actuel ministre de la
justice oups plutôt ministre des « injustices », est le premier responsable qui
appuie, téléguide, conseille surtout qui a rassuré son fou faux général
président à violer les lois, les règles et procédures juridiques du pays ; les
traités, conventions internationales que la Mauritanie a signé, ratifié pour
faire taire les abolitionnistes Mauritaniens. Pourtant, c’est lui qu’on avait
envoyé à Genève pour mentir, tromper la communauté internationale que la Mauritanie
respecte les lois plus que même la communauté internationale, les mensonges de
l’état mauritanien habituels lors de la présentation du rapport Examen
Périodique Universel «EPU» 03 novembre 2015. Il a vite oublié sa cure de
savonnage qu’il avait ramassé le pauvre, complètement dépassé, largué par les réalités
juridiques!
Cet homme traîne malheureusement un lourd complexe
sérieux vis-à-vis des militants abolitionnistes, il a une haine particulière,
viscérale indescriptible envers la communauté haratine victime de l’esclavage
maure. Brahim Ould Daddah est un enfant qui a été conçu sur l’exerce d’un droit
de la terreur des viols systématiques de femmes esclaves des maures «
hartaniattes ». Il est issu du droit de cuissage de ses maîtres maures blancs
de cette ville de Boutilimit, qui ont violé sa pauvre mère qui était une
esclave de la famille, feu Daddah paix à son âme, premier président de la
république islamique de Mauritanie dont le père n’est autre que le « grand
frère » de Moktar Daddah qui fut représentant au début de l’indépendance de la
Mauritanie aux nations unies à New-York. Voila pourquoi son complexe lui pousse
à penser que le maure blanc est sacré, il représente Dieu sur terre qu’on doit
vénérer, obéir au doigt et à l’œil comme un caniche.
C’est cet homme aujourd’hui, qui conseille les
cancres faux généraux Mauritaniens, sur, comment il faudra procéder pour se
débarrasser des abolitionnistes encombrants pour leur pouvoir. Le discours
insultant de la communauté haratine à Néma, c’est lui à l’origine. Aziz ira
jusqu’à dire selon Me « Brahim » qui a de l’expérience ! Le faux général
putschiste Aziz s’en est violemment pris à la communauté haratine en disant
qu’ils sont irresponsables, incapables de contenir leurs libidos. Ils se
reproduisent comme des sauvages « nègres » dans le désert, ils font des enfants
sans avoir les moyens de les prendre en charge, c’est sur conseil de Me Brahim
Ould Daddah que ces propos ont été sortis publiquement.
Seulement comment le fou général a oublié si vite,
avec sa mémoire courte d’une poule mouillée, d’un coq qui montre son derrière à
la direction d'un vent qui souffle fort, que son conseiller en matière de
bafouer le droit mauritanien, les codes de procédures judiciaires, les règles
internationales du droit qui sont au dessus des lois locales etc.., n’est autre
que l’entant d’un maure blanc qui avait représenté l’état Mauritanien au niveau
international, qui n’a pas pu ou su contenir ses pulsions sexuels pour violer
une femme hartania dont l’enfant est son actuel ministre et un conseiller
confident?
Comment ces gens là, peuvent-ils dire que
l’esclavage n’existe pas alors que l’actuel ministre de la justice est le
symbole même de la continuité de l’esclavage en Mauritanie ? Il lui a fallu une
longue bataille judiciaire sous l’ère de Taya, le mentor du faux général Aziz
pour arracher la reconnaissance paternelle de son père et vous dites que
l’esclavage n’existe pas ? Il existe combien d’enfants sur le sol mauritanien
issus du droit de cuissage, des viols de parents par les esclavagistes maures qui
ne reconnaissent pas ces enfants issus de leur viol et violence?
Me Brahim Daddah est un vieux renard complexé, usé
par son complexe haineux vis-à-vis du réveil de la conscience de cette nouvelle
génération haratine décomplexée, si fière d’elle-même à conquérir ses droits,
ses devoirs et il est complètement dépassé par les nouvelles règles juridiques
locales donc n’en parlons pas des normes et règles internationales.
L’actuel ministre de la justice doit savoir que sa
mère a été victime de l’abus d’un maure blanc non d’un hartani, foulani,
soninké, wolof ou bambara. S’il veut se venger, qu’il montre ses muscles plutôt
aux bourreaux esclavagistes maures. Nous lui demandons qu’il libère
immédiatement les militants abolitionnistes qu’il séquestre illégalement même
s’il doit donner son derrière à Aziz à qui il a menti royalement.
Diko Hanoune/ Militant
Abolitionniste
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