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mercredi 10 août 2016

Faux procès des cadres IRA-Mauritanie, la montagne du général Aziz accouche la petite souris Louleid Saad .



Les dix malheureux arrêtés dans l’affaire du déguerpissement du bidonville côté hôpital Bouamatou ont nié catégoriquement à plusieurs reprises toute implication des cadres IRA-Mauritanie que le pouvoir a pris en otage depuis le 30 juin 2016. Ils disent qu’ils n’ont jamais connu ni les rencontrés ni avoir entendu leurs noms avant qu’ils ne se retrouvent dans le même box d’accusés à tort aujourd’hui. La police terroriste du général les a torturés pour les obliger à signer des faux procès verbaux qu’ils n’ont jamais lus.


Ils ont donné les noms deux bras cassés dans cette sale besogne du docteur en blablalogie Saad Ould Louleid qui a été exclu d’IRA à cause de son chauvinisme communautaire. Ils ont dit avoir vu dans la Gazra Bouamatou deux individus fortement impliqués. Il s’agit de : Cheikh Ould Mohamed et Hassane Ould Hahmoud. La traitrise retombe dans la pleine gueule des menteurs policiers et leur objet volant Saad.

Le calame : « Les neuf habitants de la gazra qui avaient quant à eux décidé de se présenter devant  la Cour ont plaidé non coupable, nié toute participation aux affrontements du 29 juin et déclaré ne connaître aucun des 13 prévenus membres de IRA. En revanche, ils ont indiqué  pouvoir reconnaître un proche de Saad Ould Louleïd, un transfuge de IRA. Ils ont fait part à la Cour  des cas de torture dont ils ont été victimes les poussant à signer des procès verbaux. Les 13 abolitionnistes, qui  récusent les faits qui leur sont reprochés, n’ont pas été auditionnés et sont restés dans le box des accusés. » lire l’article complet : http://www.lecalame.info/?q=node/4364


On ne peut plus appeler cela un procès mais plutôt la loi du plus fort qui écrase des citoyens. La police et leur procureur de mensonges arrachent la parole au juge, aux avocats de la défense et aux accusés. Un policier va jusqu’à mettre un avocat parterre pour lui couper la parole lors de son plaidoyer sans que le juge ne pipe un mot.


Le juge est appelé à chaque fois dans un coin comme un caniche qu’on abreuve les mensonges de l’état, pour se concerter avec le procureur nous dit-on. Tout un cinéma qui montre des incompétents arrogants par complexe au sommet de nos institutions, c’est l’état qui dicte au clown « juge » ce qu’il doit faire. Qu’il y ait condamnation où non, l’état a déjà perdu toute crédibilité, c’est la honte de cette république islamique tenue en otage, malmenée par des petits incompétents voyous.

Diko Hanoune
 

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