Suite à la lecture de l'interview du capitaine Ely Ould krombolé,
ex officier de l'armée mauritanienne dans le Blog « au secours des
haratines » avec beaucoup l’intérêt, il me semble que l'ex capitaine
n'est pas sincères ni cohérent dans ses propos ; quand il affirme que
« les négros- mauritaniens étaient beaucoup plus nombreux que les maures
et les haratines réunis, même si la majorité des commandants étaient
blancs.
Chaque militaires avait une arme (kalachnikov) et sa dotation en minutions soient 600 cartouches de 7,62 MM. Les Peulhs pouvaient contrôler la situation lorsqu'ils voyaient leurs camarades, frères, cousins appelés par seulement le cdt de sous-groupement (pk 55) et deux soldats hartanes, chauffeurs de citerne et de camion 1113 pour être tabassés, ligotés, balancés dans un véhicule direction Inal. Comment peut-on voir son frère ligoté et être conscient que votre tour viendra sans avoir eu la présence d'esprit de tirer sur tout ce qui bouge? Et surtout en tant que militaire en pleine campagne. Ils se sont laissés massacrer comme des pigeons sans avoir eu l'opportunité de tirer une seule cartouche pour l'Histoire ».
Mon capitaine comme on dit dans le langage militaire vous devriez dire radicalement le vérité car la vérité c'est la conformité de l'idée avec son objet, conformité de ce que l'on dit ou pense avec ce qui est réel.
Vous étiez dans le peloton du commandement au PK 55 à Nouadhibou, vous savez plus que tout au monde qu'à partir 1987 les autorités militaires avaient ordonnés le désarmement des militaires négros mauritaniens dans toutes les casernes militaires et même ceux qui prenaient les services de garde le faisaient avec une arme sans percuteur ou sans arme.
En 1990, aucun militaire négro mauritanien n'avait ni arme, ni cartouches, ni couteau militaire et pire même, dans certaines unités militaires il était interdit aux militaires négro- mauritaniens de détenir tout objet tranchants ou pointus. En effet l’objectif réel des maures étaient de désarmer les militaire négros mauritaniens, le cas échéant, ils n'auraient jamais eu le courage d’agir, de procéder à l'arrestation, à humiliation et à l’exécution des militaires noirs.
Monsieur Krombole, sur la question des douloureux événements 1989 qui sont toujours présents dans nos esprits, partagez votre témoignage sincère sur ces faits réels : pourquoi l’armée Mauritanienne s’est livrée à des exécutions sommaires des soldats noirs, c’était quoi le motif ? les ordres venaient de qui ?
Navré mais votre réponse est superficielle, parce que vous savez bien tout ce qui s'est passé à l'époque dans toutes les unités de Nouadhibou en tant capitaine et chef de section au sous-groupement PK55 dont tout les éléments négros mauritaniens furent exécutés à Inal.
Sur la question : Le 18 novembre 1987, trois Officiers : les lieutenants Saydou SY, Amadou SAAR et Seydi BA furent condamnés à la peine de mort et furent exécutés le 6 décembre 1987 à Jreida. Ils sont accusés de tentative de putsch ; est ce qu’il y a eu putsch ou simple tentative ? Ces hommes ont-ils mérité cette sentence suprême ?
Vous manquez de courage mon capitaine, le fait d’être en stage en France ne vous empêche pas d’avoir une lecture de la situation en 1987, il y a pas eu de début de coup d’état ni effusion de sang et pourtant trois officiers noirs ont été exécutés, alors qu'en 2003, il y a eu bien putsch et effusion de sang avec la mort du colonel et chef d’état-major de l'armée, le colonel Ould Diayane et toute la ville de Nouakchott terrorisée par des tirs d’obus, de Kalachnikov pendant soixante-douze heures et pourtant les auteurs tous maures n'ont pas été condamnés et ironie du sort ils ont un parti politique représenté au parlement actuel.
Monsiuer krombole il faut avoir le courage et le courage, c'est chercher la vérité et la dire.
Source: boolumbal.org
Chaque militaires avait une arme (kalachnikov) et sa dotation en minutions soient 600 cartouches de 7,62 MM. Les Peulhs pouvaient contrôler la situation lorsqu'ils voyaient leurs camarades, frères, cousins appelés par seulement le cdt de sous-groupement (pk 55) et deux soldats hartanes, chauffeurs de citerne et de camion 1113 pour être tabassés, ligotés, balancés dans un véhicule direction Inal. Comment peut-on voir son frère ligoté et être conscient que votre tour viendra sans avoir eu la présence d'esprit de tirer sur tout ce qui bouge? Et surtout en tant que militaire en pleine campagne. Ils se sont laissés massacrer comme des pigeons sans avoir eu l'opportunité de tirer une seule cartouche pour l'Histoire ».
Mon capitaine comme on dit dans le langage militaire vous devriez dire radicalement le vérité car la vérité c'est la conformité de l'idée avec son objet, conformité de ce que l'on dit ou pense avec ce qui est réel.
Vous étiez dans le peloton du commandement au PK 55 à Nouadhibou, vous savez plus que tout au monde qu'à partir 1987 les autorités militaires avaient ordonnés le désarmement des militaires négros mauritaniens dans toutes les casernes militaires et même ceux qui prenaient les services de garde le faisaient avec une arme sans percuteur ou sans arme.
En 1990, aucun militaire négro mauritanien n'avait ni arme, ni cartouches, ni couteau militaire et pire même, dans certaines unités militaires il était interdit aux militaires négro- mauritaniens de détenir tout objet tranchants ou pointus. En effet l’objectif réel des maures étaient de désarmer les militaire négros mauritaniens, le cas échéant, ils n'auraient jamais eu le courage d’agir, de procéder à l'arrestation, à humiliation et à l’exécution des militaires noirs.
Monsieur Krombole, sur la question des douloureux événements 1989 qui sont toujours présents dans nos esprits, partagez votre témoignage sincère sur ces faits réels : pourquoi l’armée Mauritanienne s’est livrée à des exécutions sommaires des soldats noirs, c’était quoi le motif ? les ordres venaient de qui ?
Navré mais votre réponse est superficielle, parce que vous savez bien tout ce qui s'est passé à l'époque dans toutes les unités de Nouadhibou en tant capitaine et chef de section au sous-groupement PK55 dont tout les éléments négros mauritaniens furent exécutés à Inal.
Sur la question : Le 18 novembre 1987, trois Officiers : les lieutenants Saydou SY, Amadou SAAR et Seydi BA furent condamnés à la peine de mort et furent exécutés le 6 décembre 1987 à Jreida. Ils sont accusés de tentative de putsch ; est ce qu’il y a eu putsch ou simple tentative ? Ces hommes ont-ils mérité cette sentence suprême ?
Vous manquez de courage mon capitaine, le fait d’être en stage en France ne vous empêche pas d’avoir une lecture de la situation en 1987, il y a pas eu de début de coup d’état ni effusion de sang et pourtant trois officiers noirs ont été exécutés, alors qu'en 2003, il y a eu bien putsch et effusion de sang avec la mort du colonel et chef d’état-major de l'armée, le colonel Ould Diayane et toute la ville de Nouakchott terrorisée par des tirs d’obus, de Kalachnikov pendant soixante-douze heures et pourtant les auteurs tous maures n'ont pas été condamnés et ironie du sort ils ont un parti politique représenté au parlement actuel.
Monsiuer krombole il faut avoir le courage et le courage, c'est chercher la vérité et la dire.
Source: boolumbal.org
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