Le texte du jeune ingénieur est un texte incroyablement subversif car les
conséquences des faits historiques qu'il rappelle sont terribles et mettent la
lumière sur les rapports sociaux entre ceux qui ont gazré la religion et leurs
frères, cousins et autre parentèle car ils peuvent alors dire entre eux en
douce, souvenez-vous de ce que le prophète a fait à l'époque... La
famille la parentèle même mécréants furent graciés quand les gens du Livre
juifs furent exterminés même ceux qui avaient refusé de participer à la
conspiration. Présentés ainsi de façon un peu courte, c'est terrible ! C’est
cela qui rend fou les mollahs et tous leurs complices silencieux ou qui
parlent de cette affaire en faisant diversion évitant soigneusement de parler
du fond de l’article, des faits historiques énumérés de façon un peu courte
mais qui méritaient justement pour cela des éclaircissements sereins de la part
des gens de bonne foi.
Avec de tels exemples, les
hypocrites déguisés en barbus ont toute la science pour faire mille crimes au
nom de la religion et l’exemple du prophète PSL car ils peuvent se servir
de son exemple pris de travers et savamment orienté vu qu’ ils connaissent
toute l'histoire et les moindres gestes du prophète PSL, sinon pourquoi
craignent-ils le débat ? Pourquoi refusent-ils aux gens d’en savoir
plus ? Pourquoi cette rétention d’information ? Pourquoi diaboliser
ce jeune certainement un peu égaré à cause de la passion et des affres de la
naissance forgeronne sous le régime d’une culture féodale devenue au fil du
temps hypocrite et sans pitié ?
Le jeune forgeron n'est pas
allé jusqu’à énumérer les corollaires de son rappel historique car il est assez
fin et intelligent pour savoir que citer ces épisodes suffit pour mettre le feu
aux poudres quand en face on a des gens de mauvaise foi prêts à tout pour
sécher toute goutte de vérité et de savoir au milieu d’un désert de
manipulation.
De là la phrase de la fin :
" ce lionceau provient d'un autre lion...'
C’est texte audacieux
exécuté un peu de travers avec toute la fougue de la jeunesse et dont les
petites dérives sont dues à la frustration d'un forgeron éduqué face aux
hypocrites qui l'ont fait grandir dans une culture où on le présente comme
maudit, moins que rien, méprisé même par les esclaves, ce texte ne mérite pas
d’être accusé de blasphème contre le prophète avec toutes les
conséquences : promis à l’enfer, banni de la communauté des
croyants, sa femme le quitte, il perd son emploi, on le jette en prison et voilà
qu’un plumitif qui ne l’a pas même lu, le présente désormais comme notre
Rushdie national.
Mais Dieu suffit comme
témoin et s’il y avait encore dans ce pays des esprits éclairés, ils
trouveraient les moyens juridiques de porter plainte contre ceux qui l’ont fait
enfermer pour dénonciation calomnieuse et contre l’état pour détention
arbitraire mais malheur à ceux qui osent même parler de cette affaire
« sensible », ils subiront eux-mêmes bientôt les foudres de la
mauvaise foi, de la propagande pour être jetés en pâture à la pauvre opinion
publique abandonnée aux mains des terroristes contre l’Islam des lumières qui
ne craint pas le débat car convaincre est son but et qui ne méprise pas les
esclaves de Dieu réduits à la malédiction sociale inventée de toute pièce par
les hommes car l’homme a été créé faible et nul n’est à l’abri d’Ibliss pas
même les mollahs !
Comment vouloir laisser dans
l’ignorance le plus grand nombre quand Dieu lui-même a choisi un illettré comme
prophète PSL et que la première phrase qu’il ait entendu c’est «
Lis ! » ?
Le prophète PSL est plus
grand que tout ça et on ne peut pas le réduire à de petits épisodes mais il
faut en parler pour ne pas que les mollahs s'en servent entre eux pour la
culture de l'ignorance et de la manipulation. De Là qu'ils veulent fuir le
débat...
Mais la vérité trouve
toujours un chemin.
Dieu merci
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contribution de notre ami Mohamed Hanevi :
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contribution de notre ami Mohamed Hanevi :
" Du vivant du prophète Mohamed (psl), ses contemporains
l'ont traité de menteur, de magicien, de charlatanisme de tous les
qualificatifs possibles et imaginable-ment mauvais. Ceci ne l'a pas détourné
outre mesure de continuer à les convaincre et à essayer de leur dévoiler la
vérité par la sagesse et la bonne parole.
Il a affirmé, lui-même : "Je suis venu en miséricorde pour l'humanité
toute entière." Un bédouin arabe poussa l'insolence jusqu'à pisser dans sa
mosquée. Il le ramona avec patience et douceur pour lui faire comprendre que
son acte était répréhensible. Un autre lui demanda de lui rendre licite la
fornication. Il ne s'emporta pas et lui demanda simplement et calmement :
"voudrais-tu qu'on le fasse avec ta mère, ta fille ou ta sœur?" NON,
répondit le bédouin et très calmement et sans passion, l'envoyé lui fit
remarquer que toutes les femmes sont mères, filles ou sœurs de quelqu'un.
Aujourd'hui, un jeune homme emporté, transporté, chauffé à blanc par des
injustices sociales, qu'on s'acharne à expliquer par des ascendants fictifs et
mensongers et qu'on essaie d'appuyer par des explications religieuses, a
"blasphémé", et tout le monde crie en même temps "Haro sur le
baudet".
Je dirais d'abord que les vrais coupables sont ceux qui se font de la
religion un bâton efficace pour fermer la bouche qu'ils veulent et ouvrir celle
qu'il leur plait d'ouvrir. Ceux qui ont détourné le sens et l'essence du
message pour le mettre à leurs services et aux services de leur descendance,
exactement comme une royauté. Pourtant Mohamed, l'envoyé direct de Dieu, n'a
pas laissé d'héritage à ses enfants. Il a dit n'insultez pas le dieu des
mécréants de peur qu'ils insultent le vôtre.
Pousser la jeunesse à ce stade de désespoir est un crime très grave et qui
aura certainement son châtiment de la part de celui qui voit et qui entend. On
peut crier et jouer les comédies pour tromper les créatures, mais il est
impossible de cacher les mauvaises intentions à celui qui a créé les cœurs et
voit ce qui se cache dans les poitrines.
Il est beaucoup mieux et plus efficace de consacrer quelques émissions radiotélévisées
pour combattre ces inégalités. Faire comprendre à ce jeune et à d'autres
jeunes, que le prophète Mohamed n'avait ni griot, ni forgerons, ni esclaves.
Qu'il habitait dans une modeste chambre en banco. Qu'il cousait ses habits
lui-même et aidait sa famille dans les travaux ménagers. Que malgré la
spécificité unique qu'Allah lui a octroyé, il n'a eu ni château, ni gardien, ni
bien amassé sur le dos des autres. Qu'il est mort endetté d'un "Saa'"
de blé contracté auprès d'un juif. Que ceux qui, aujourd'hui s'enrichissent ou
s'anoblissent par une pseudo-relation avec lui, sont des imposteurs. Car les
hommes de Dieu ne peuvent être attachés par l'amour des biens du monde.
C'est seulement ainsi qu'on pourra barrer le chemin à tous les
observateurs, qui a chaque fois se tordre de rire de nous voir si ignorants et
si primitifs. "
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